Je ne suis pas un monstre ! {O.S}

je ne suis pas un monstre !

COUCOU j'écris ce truc sur ordi donc c'est normal si il manque des petites lettres (ou même des mots mais ça vous êtes habitué :))

C'est l'histoire de l'un de mes O.Cs nommé Mélinda. Merci de ne pas me piqué cette histoire.

je me lève, je mets ma tenu, mon collier et arrive dans cette salle. Une grande salle qui a en son milieu un tapis noir usé remplit de poussières parce que oui, ce n'est pas la première fois que j'entre en ces lieu. Car ils m'obligent, eux, mes parents. Ils veulent que je pris. Prier pour l'enlever, lui, mon deuxième moi. Mon démon.

Alors je me mets à genoux, je lie mes deux mains entre elles, ferme les yeux et récite cette formule que je dois dire. Tout les putain de jours je la récite en fermant les yeux, mes cheveux cachant mon visage. Ce visage qui inspire la peur... enfin je suppose parce que toutes les personnes avec qui je voulais m'amuser étant petite sont partit en criant « LE MONSTRE ! » alors je reste seule à faire ce que mes parents me disent de faire. Super, non ?

Quand j'ai enfin fini ce... truc, ma soeur vient me voir pour me dire si j'ai réussi et je lui répond par la négation, comme d'habitude...

Vous voyez, ça ? Et bien c'est mon quotidien. "levage, toilettage, priage." c'est tellement bien ! Quoi ? Vous n'êtes pas d'accord ? Et bien vous êtes bien les seul à le penser. Enfin avec moi. Parce que sinon toute ma famille pense que c'est la bonne solution. La bonne blague ! Mais vous en avez peut êtres marre que je parle, non ?

Il était bientôt treize heures et Mélinda devait aller manger. Elle se changea donc et prit une très longue robe noire avec de longues manche chaude. Elle était obligé de la porter quand elle ne prit pas ou ne dort pas car sinon son père lui faisait "remarquer" que ce n'était pas une tenue pour une jeune fille. Enfin lui faisait remarquer... C'est vite dit. Il lui disait plutôt de mieux s'habiller sinon il se fâchera et l'enfermera dans sa chambre. alors elle entra donc dans petite salle qui servait de salon et prit place. Elle devait attendre tout sa famille avant d'espérer pouvoir prendre les couverts et enfin se nourrir sinon il l'obligerait à manger dès que tout le monde aient fini. Quand ils sont tous la notre petite doit faire un rapport très détaillé de ce qu'il s'est passé dans la salle maudite. celle où Mélinda prie. Et bien-sûr elle répond qu'elle n'a rien sentit, que tous c'est très bien passé mais cela ne lui fait pas plaisir de dire ça, car ses parents lui ont toujours dit qu'elle n'était pas normal, qu'elle ne méritait pas qu'on s'intéresse à elle. Et elle les a crût. On doit toujours croire ses parents, pas vrai ? Et quand elle leur dit que rien ne c'est passé ils la regardent comme si c'était une personne pathétique. Mais c'est ce qu'elle est, non ? Du moins, c'est ce qu'elle pense, car comment savoir si ses parents sont gentils ou pas, quand c'est les seuls personne à qui elle parle ? Elle commence enfin à manger sous les regards méprisant de sa petite soeur. Celle-ci s'appelait Anastasia, elle était assez petite et belle mais c'était bien là ses seules qualités.. la plus petite des deux ne l'aimait pas du tout, elle la trouvait "horrible" "nul" "pathétique" "dégoûtante"... Quand notre héroïne eu enfin fini de manger la modeste et ridicule bouillie elle marcha, en saluant ses parents, vers sa chambre où personne ne venait la voir. elle l'aimait bien cette salle, elle l'avait l'impression d'êtres libre et grande, très grande. Et pendant des heures, elle restait là, sur son lit à comprendre, et peut être accepter, cette seconde nature, ce démon qui sommeillait en elle.

Elle prit alors ses gros livre et les lu... ces livres sont la depuis très longtemps et elle les a tous lu, ne pouvant pas en avoir d'autre, elle les relit, et ça depuis bien trop de temps.

Et voilà qu'elle s'endort, elle va recommencer cette journée tout les jours. A chaque fois.

Et si elle s'échappait ? Et si elle partait de ce monde ? Et si... elle mourrait ? Elle a vu que dans ces nombreux livres, le méchant mourrait. Soit on le tuait, sois il se suicidait. Alors, pourquoi pas ?...