Pas Fréquentable (Michael Jackson Fanfiction)

~ Chapitre 4 ~ Une invitation

Ce soir je me retrouvais devant un tas de personne importante, puisque j'étais dans une maison de disque. Mais là, mon gros client spécial de la semaine dernière auquel je ne pensais plus jamais revoir était bel et bien présent.

- Bon Michael... ton père nous a tout dit, on t'a réservé la même que ton père t'avais commandé. Il y a de quoi se détendre un peu non ?!
Dit sûrement le patron qui organisait la réunion en riant.

- Oh les gars ! On a pas besoin de ça pour se détendre !
Dit la grande star.

J'ai pu apercevoir un Michael Jackson rougissant. C'était bizarre, lui ? Rougir ? Il a pas de quoi. Tout le monde autour de la table riait et criait "Mike le coquin". Celui que j'avais tutoyer pendant toute une nuit à relevé les yeux sur moi, avec une tête bien interrogatrice et ça voulait dire qu'il allait réessayé de prendre le rôle de mon psy.

Ensuite, il s'est levé de son grand siège afin de m'emmener silencieusement dans sa loge. Tandis que Maria me regardait avec envie, mais quand même rassuré pour moi.

C'est quand nous sommes sorti de la salle de réunion que Michael à ouvert la parole :

- Quelle coïncidence !
Souriait-il.

Nous marchions dans les couloirs, je savais qu'avec lui je pouvais me permettre de ne pas lui répondre, de toute façon ça se voyait à deux kilomètres que j'avais pleuré.

Il a fait passer une carte devant une borne de porte et un clignotant vert à donné son autorisation. Michael à ouvert la porte, m'a laissé entré avant lui en gentleman avant de là refermé derrière lui en allumant la lumière de sa loge.

- Vous avez réfléchi à ce que je vous ai dit la dernière fois ?
Me demande t'il.

- De vous tutoyer et que vous pouviez aussi faire la même chose.
Dis-je ignorante.

- Non d'arrêter tout ça !
Dit-il en souriant.

Je n'ai pas répondu, le silence est devenu roi pendant quelques secondes alors que Michael me regardait avec insistance.

Il m'a montré ensuite le chemin de son canapé afin que j'y prenne place à côté de lui.

- Je ne vais encore rien faire ?
Ai-je demandé.

- Vu votre... ton état, il était temps que tu ai des congés payés non ?!
Se corrigea la grande star.

Je n'ai encore rien répondu. De toute façon, il n'allait pas m'en vouloir, lui.

- Tu as pleuré ?
Me demande t'il trop gentiment en cherchant avec ses grands yeux bruns les miens.

Comme une gamine je les ai détourné, jouant à cache cache du regard. Perdante, il a repris :

- Il y a eu un problème ?
Me redemande t'il.

Toujours sans réponse de ma part.

- Je ne pense pas qu'on va pouvoir parler d'autre chose, vu ta forme.
Il reprit.

- Je pourrais prendre une douche ?
Sortis-je enfin le son de ma voix.

- Oui... mais après on ne va quand même pas se regardé dans le blanc des yeux non ?!
Me demanda t'il.

- Non.
Ai-je répondu, esquissant un petit sourire pour le rassurer.

- Alors c'est la porte juste à droite.
Dit-il en me montrant du doigt.

Je n'ai pas attendu longtemps, j'ai pris mes affaires dans mon sac, oui ça paraît bizarre, mais j'ai toujours de quoi me changer depuis que je fais ce travail. Au cas où, dans ce même cas, je me sens extrêmement sale.