Quatrième Nouvelle: Eau chaude, eau froide

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 	La douche me fait un bien fou

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La douche me fait un bien fou. L'eau brulante glisse sur moi. Je sens une douleur on contacte des gouttes. Du sang suinte de ma peau. Ca doit être les effets des médicaments des scientifiques... Ils ne veulent pas que je puisse toucher l'eau directement, alors ils m'enduisent d'une espèce de cire et me bourre de pilules ! Ils n'ont pas remarqué que leurs cachés ne servent t'a rien. J'ai réussi a m'enfuir de cette chose qu'ils appellent hôpital psychiatrique mais qui est en vérité le paradis des expériences et des tests.

Cela fait plus de vingt ans que je suis piégé chez eux, mais cette fois j'ai réussi ! Je sens l'eau qui arrive sur ma vrai peau... quel bonheur ! Je regarde les gouttelettes se former sur moi, puis être évaporée par la chaleur ou complétement absorbé. Soudain, je n'en peux plus, je pleur. Des larmes glacer coules sur mes joues. Je crie, je tape contre les dalles grises claires. Je frappe si fort que l'une d'entre elle se brise en deux ! Le désespoir s'empare de moi, mes sens son brouiller, je me tape la tête contre les murs, je tombe. Mes jambes ne veulent plus me répondre... Je me regarde dans la glace, mes cheveux noirs son plaquer sur mon visage. Musculature simple voir un peu trop et yeux bleu sombre. Je prends un gobelet et sens prendre le temps d'enlever la brosse a dents qui s'y trouver, le balance contre le miroir.

Les éclats volent, je les vois défiler, comme au ralentie, voyant ma face blême dans les reflets. Tout d'un coup je me mets à crier ce que je n'ai pu dire, a hurlé a la mort, aboyer la vie, gueuler l'injustice. J'invoque le monde, accuse les Dieux, appelle ma mère et réclame mon père. Je jure sur ce qui m'est de plus cher, gronde l'Homme, hulule, piaille, glapie et m'égosille, comme si j'étais restés muer toute ma vie. J'entends les voisins qui me dise d'arrêter mais rien n'y fait... Je m'époumone, je rugis, siffle, tonne et supplie. Soudain, dans mon propre vacarme, j'entends une voiture qui s'arrête et des gens entrer dans ma maison. Eux aussi il crie ! Ils signales leur présence en croassant tel des corbeaux ayant repérer un festin. Ils sont la pour moi... Ils m'ont retrouvé ! Je verrouille la porte de ma salle de bain, sa va les retenir. Ils frappent et tente de la briser en tirant dessus. Je ne risque rien, elle est blindée, tout comme la pièce en elle-même d'ailleurs ! Ils me veulent ? Et bien qu'ils essayent de m'attraper ! Je crie de derrière la porte, leurs disant qu'ils ne m'auront jamais et puisqu'ils ne semblent pas décider a me laisser tranquille, je les retrouverai et me vengerai. Sur ces mots j'ouvris un tiroir et y sortie une grenade. Qu'ils entre, ils seront accueillient comme il se doit ! La porte comme a s'ébranler et je vois des étincelles qui en jaillisse. Je dégoupille l'arme et la laisse sur le sol. Je rentre dans la douche et au contacte de l'eau me concentre. Mes jambes disparaissent en goutte limpide, puis mes bras, et enfin le reste du corps. Quand ils rentrèrent dans la pièce, il ne restait que la grenade et son ravage. Elle tua deux d'entre eux. Les autre ne remarquèrent rien, a par que je n'étais plus ici, fidèles chien de scientifique qui n'on pas prévenus leurs larbins que j'étais différent.


Sorti d'un cerveau d'adolescentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant