Sorti d'un cerveau d'adolescent

Cinquième Nouvelle: La falaise

Les vagues se brisent contre les rochets. Je regarde l'horizon, paysage d'eau salée a perte de vus. Le soleil commence à se coucher et darde sur la mer, les quelques rayons qui lui reste donnant l'impression au spectateur que l'eau ces changer en or. Malgré ce magnifique spectacle, je ne peux n'empêcher de frissonner. Il fait froid, et on m'a donné rendez vous ici. Il faut que j'écrive a article dans mon journal et pour cela il faut que le rencontre. Il m'a parut absurde et complétement fantastique que se sois lui qui m'appelle au sujet d'un article que je n'avais moi même, pas encore envisager de faire...

Mais le sujet est beaucoup trop important. Je pense que je joue ma carrière voir ma vie pour cet article. La nuit vient de tomber. J'entends des bruits de craquement de feuille et de branche. Des oiseaux s'envole puis le silence. Soudain, des nuages s'amoncellent dans le ciel au-dessus de moi, une pluie d'enfer tombe sens crier gare et des éclaires illumine les alentours. En moins de quelques seconde, je me retrouve entièrement mouillez. Je regarde la mer et vois de gigantesque vague de plusieurs mètres s'écraser contre la falaise. Une tempête effroyable... Le vent me plaque au sol et me maintient tel un étau. J'ai peur ! Il faut que je rentre au village, il ne viendra pas et je ne peux rester ici.

La roche et les vague se frappe comme deux boxeurs sur le ring. Des éclats de pierres se mêlent aux gouttes. Des pans entiers de falaise se décrochent pour aller s'écraser plus bas. J'arrive a me relevez. Je tente de marchez vers la petite forêt derrière moi. Je titube, tombe, me relève et ainsi de suite. Une branche est arrachée par le vent et fond sur moi, comme un aigle sur sa proie. Je réussis à l'éviter mais seulement de justesse. Jamais je n'est vus sa ! Comment cela est t'il possible ? Il fessait beau il n'y a même pas une demi-heure ! Je ne suis pas croyant. Je pense que Dieu n'existe pas, que se sois celui des Juifs et des Chrétiens ou des Musulmans. Je pense qu'après la mort ces le néant, finie, Game Over.

Les religions on était crée par les Hommes, pour des Hommes afin de se rassurer mutuellement. Elle n'apporte que le chaos par leurs guerres et la misère. Un éclaire frappe a seulement a un mètre de moi... les éléments me rappellent que je ne suis pas ici chez moi et qu'il faut que je parte. Je me relève et cours dans la forêt. Une odeur de feuille mouiller règne dans le bois. Dans ma course, des branches mon griffer le visage. Quand, hors d'allène, j'arrive devant un grand arbre aux puissantes racines. Je ne peux résister a la tentation de mi blottir. Soudain, des bruits de branche brisées se font entendre. Je me lève et regarde aux alentours. D'un coup, un éclaire m'aveugle. Je n'arrive que trop tard a discerné la sombre silhouette qui en sort. Un homme habiller de nuit a la face blême et aux yeux vide. Je pousse un cri, un cri d'excitation, de terreur, et de mort. Je tourne les talons et fuis. Je cours aussi vite que mes muscles me le permettent. Mes jambes me brûlent, mes pieds saignent. Je l'entends... La chose est juste derrière moi. Je ne peux plus fuir, je suis au bord de la falaise.

Je n'ose pas me retourner. Quelque minute passèrent ainsi, je suis comme pétrifier. Soudain je pivote. Il est la ! Il me regarde de ces yeux sans vie. Je le supplie, lui demande pourquoi, mais rien n'y fait. De ces mains glacées il me tient, me soulève et me jette de la falaise. L'eau s'approche de moi a un vitesse vertigineuse. J'ai juste le temps de jeter un coup d'œil a l'homme et le vois disparaître dans un éclaire. Maintenant j'entends mes os craquer contre la pierre et sens l'eau rentrée dans mes poumons. Finalement, cet homme était peut être un ange... venant me faire payer pour toutes ces pensées et actions anti-religions ? Je ne sais pas... Je suis mort, un goût de sel dans la bouche.