J'entends sa grosse voix rocailleuse. Il me parle. Il dit que je n'ai pas le choix, que ces lui qui commande et que je ne suis qu'une pauvre fille bien trop gâter. Je le regarde, l'implore des yeux d'arrêter de m'insulter. Rien n'y fait. Mon père m'explique qu'il ma trouver un marie convenable et que nous nous marierons cet été. Je prends une gorgée de vin. Le bar est plain à craquer. Soudain mon père me donne une gifle et une douleur cuisante se fait sentir sur ma joue. Je me mets à lui crier dessus, lui dis tout se que j'ai sur le cœur, il m'étouffe a trop vouloir chercher une flamme pour moi ! Il m'écrase de parole de la vielle école, disant que le père a les plains pouvoir sur sa famille... Je n'en peux plus, je pleure.
Des larmes se mêlent au vin. Il me dévisage, me juge, me critique puis s'en rien dire, s'en va. Je sens les regards des hommes dans le bar. Ils pensent tous pareil. Ils disent que les femmes sont bonnes a resté a la maison, a faire la cuisine et les taches ménagères. Ils pensent sûrement aussi que j'aurais dû écouter mon père, que je ne trouverai pas l'amour toute seule et qu'il me faut son appui pour réussir dans la vie. Je finie mon verre d'un trait. Nous somme dans une société qui a besoins de nous mais nous méprise. Peut-être on t'ils peur des femmes ? Tellement que ces gens la ne veulent pas que nous votions... Ils nous mettent sous le nez notre dite « incapacité » a se gérer toute seul ainsi qu'a pensé. Certains pensent que la politique n'est pas notre affaire et d'autre pense des choses plus absurdes encore. Je ne pense pas être féministe. Je crois plutôt être normal. Je suis juste une personne comme les autres qui pensent qu'elle mérite autant que son voisin. Je suis une rêveuse qui pense que les femmes seront mieux traiter plus tard.
Sa n'arrivera pas... Après tout, dans un monde dirigé par des hommes, comment une femme peut gagner un minimum d'égalité ? Je commande un deuxième verre de vin. Il me faut au moins sa. Je termine mon verre et prend mon manteau. Il fait froid dehors. Le soleil est caché par un épais brouillard. Je marche quelque temps sur le trottoir puis me décide à traverser pour rentrer a la maison.
Je n'est pas vus la voiture conduite par un homme a moitié ivre. Renversé, le regard perdu, du sang sur la route. Voilà comment je termine, tuez par la société. Des gens se presse autours de moi pour m'aider mais c'est trop tard, mon agonie et finie, celle de temps d'autres commence. Mon dernier mot aura été « Liberté » et mes dernières pensés auront été « entravés ».
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Sorti d'un cerveau d'adolescent
Short StorySe livre est un recueille de nouvelles courte qui on prit naissance dans le cerveau d'un adolescent. Je vous invite dans le monde des mots, ou se croise le mystérieux et l'évident, l'humours et la tristesse, le rêve et la réalité. Avertissement: L'a...