Le vertige et son adiction.

L'intriguant Mr. Morrow.

Je m'appelle Vincent Leroy, je suis âgé de 23 ans, même si parfois je fais plus âgée, ou moins, à vous d'en juger.
J'habite dans un appartement miteux, au murs pourri, mon petit cagibis, ma cage pour garder mon colibris, enfin tout ça.
Vous devez vous en doutez, j'aime écrire, je me fascine pour les biographies et les romances.
Si je me suis acheté un carnet, avec le peu d'argent que j'ai, c'est pour écrire sur mon tout premier patient.
Oui, je suis apprentis médecin et d'ailleurs, je vous passe le comment du pourquoi j'ai pue entrer dans cette université. J'en reviendrai peut-être plus tard, ou dans un autre de mes écrits.
Mon corp s'élançait dans le corridor de l'appartement appartenant aux riche bourgeois, de première classe. Je sonnais en mordillant la tête stressé? J'en était la définition même.
Tout se joue au premier contact, j'espère ne rien raté, après tout j'ai déjâ foiré deux fois.
Je joue avec la manche de ma veste, la fesant glisser entre mes doigts.
« Mr. Morrow? Je suis Vincent, le médecin.. » je n'ai pas le temp de finir que la porte s'ouvre rapidement, j'entre, bon sang! C'est magnifique!
Un magnifique salon s'offre a moi, je peu apercevoir la cuisine, lorsque l'odeur de l'alcool et du tabac viens cogner mes narines.
L'homme se nomme Jude Morrow, un prénom intriguant vous allez penser, c'est vrai, il est très intriguant, je me souviens de ces premières paroles, enfin de ce premier mot.
« bonjour. » un bonjour froid, qui cache tant de chose, un beau jours qui s'envole comme de la fumée et qui se regarde comme une pensée, l'aire froid et impassible, il se tenait dans la pénombre, je peu apercevoir une ciguarette à moitié finis et des yeux claires, je l'imaginais plus vieux, beaucoup plus.
Il s'avance vers moi et sort de la pénombre, j'aperçois les roues de son fauteuil et ces fines jambes. Mon regard noisette croise le siens, il n'est pas égal à ces yeux fumés mais au moins ils peuvent le voir.
Je ne sais pas trop comment m'y prendre, bon, brise le silence.
« Bonjour, je suis Vincent, de la faculté de médecine, vous devez surment le savoir.. » j'ai envie de me frapper à ces paroles que j'ai lancées, de devrais plus réfléchir et moins parler, stupide timidité.
Son regard de dragon nuage crache la fumée de sa ciguarette,
« la routine, c'est ça? »
Me voilà bien gêné, j'hoche la tête en lui fesant un sourire du regard.
« oui c'est ça.. »
Il me montre son avant bras et sa manche tiré.
Je sort mon matériel et lui entoure le bras avec un élastique pour lui retiré un peu de son sang.
« Dites-moi si je vous fais mal »
Il laissé échapper un rire moqueur, je fais un petit sourire en coin je dois avoir l'aire stupide. Je me rappelle de la phrase que tout les médecins disent.
« Vous devez le savoir mais, fumer et boire de l'alcool peut altérer les médicaments, vous devriez arrêter.. »
Il tourne la tête et me regarde du coin de l'œil.
« c'est une blague? »
« pourquoi le serait-ce? »
J'attrape un tabouret, je me doute qu'il ne répondra pas alors je reprend.
« vous vous doutez que je ne suis pas venue ici que pour vous faire des analyses.. »
Il m'offre un sourire en avançant son siège sur le sol, il chuchota.
« oui. Je m'en doute bien. »
Il s'affare dans son fauteuil roulant en roulant des yeux.
« Comment allez vous procéder pour enlever mon envie de boire? » il leva un sourcil, il devait se demander ceux que j'allais répondre, mais je me le demandais aussi.
Je prît une petite respiration pour essayer de calmer mon stresse.
« je me doute que vous n'en avez rien à faire du côté poison de vos addictions, mais, si pendant plusieurs mois on ne trouve aucune traces d'alcool dans votre sang, les médecins vous laisserons en paix et ne viendront plus vous voir, enfin presque plus.. »
À cet instant, je me souviens avoir attrapé un carnet pour y noter quelques mots.
Il brisa le silence qui n'avais durée que quelques secondes.
Il fit un soupirs de soulagement et reprît.
« La libération, plus de médecins pour m'emmer..» il s'arrêta pour me regarder, moi je n'avais pas levé la tête de mon journal pour le regarder.
« Quoi que, je m'en fiche, ça occupe mes horribles journées de solitude. » il fumait en soupirant, je le regarde, ces yeux sont cernés, par l'alcool et la tristesse sûrement.
Je ne sais plus trop quoi dire ou faire, je me lève et dis la première chose qui me passe par la tête.
« vous avez faim peut-être? » j'avance vers la cuisine lui fesant dos, le pauvre, il me fais de la peine, être seul, sans rien.
Je me retourne en entendant aucune réponse.
« Mr. Morrow? »
Il pleure, des larmes dépourvu de sel, des larmes de vin, des larmes de rien, des larmes de fatigue, des larmes de crocodiles.
Il tremble, il n'a pas dû manger depuis plusieurs jours.
Cet homme à besoin d'humanité! De se sentir aimé mais pas de santé.
Je m'avance vers lui et glisse ma main sur son épaule.
« qu'est-ce qui se passe? »
Il relève sa tête en prenant une grande respiration, il ferme ces yeux quelques instants.
« Everything Allright.. »
Il pinça ces lèvres en me regardant, il avala sa salive et ces larmes de vin.
Je ne savais même plus ceux que je fesait ici, je pinçait mes lèvres légèrement pulpeuse.
« je vais vous faire à manger.. vous voulez un sandwich? »
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Sa vous plaît?
Cette histoire est tirée d'un rpg.. et bon sang qu'il est beau! Je me devais de vous le partager.
Excusez moi pour les fautes.. j'espère que sa n'empêche pas la compréhension du chapitre.