Monster

Chapitre 2. -Partie 1/4 ~Point De Vue: Benjamin

J'adorais ce camp. Tout le monde me parlait, le chef m'a bien aimé des le début. Beaucoup de personnes le critiquaient Mais moi je l'aime bien il est sympa! Un Jour, il a réuni tout le monde, il a voulu donner un ordre à une meuf elle a pas aimé Elle est partie comme une hystérique suivie d'un gars. Bref, apres ce petit incident le chef m'a mis Avec en duo avec un gars pour aller chercher à boire il était bizarre mais bon je fais avec. On a marché longtemps puis on a fini par trouver un petit coin d'eau mais franchement j'étais pas sur que ce soit De la bonne eau... On s'est quand même dits qu'on allait la ramener au camp comme ça le chef pourra l'examiner... on allait repartir quand soudain j'ai levé la tête puis j'ai vu que la nuit commençait à tomber. On a décidé de s'installer près du ruisseau. Je me suis couché puis j'ai commencé à m'endormir. La nuit est passée. Je me suis réveillé vers 10:00 tellement j'étais épuisé par la nuit. J'ai ouvert les yeux ; je n'ai pas reconnu le paysage. J'étais enfermé dans une sorte de pièce étroite avec des gens qui me fixaient moi et mon camarade. Ils étaient tous habillés pareil Et étaient tres bien armés. J'étais très inquiète et je voyais que l'inquiétude grandissait sud le visage de mon camarade. C'était calme, personne ne parlait quand soudain, un de ses personnes (sûrement le chef) se mit à baragouiner quelque chose, ils ne parlaient pas notre langue. J'ai hésité longuement puis je me suis lancé, j'ai dit: "Euh bonjour est-ce-qu'on peut repartir s'il vous plaît?". L'homme a fait une tête tres étrange puis a sorti du scotch et me l'a collé sur la bouche. Il a remarqué qu'on ne parlait pas sa langue alors il a commencé à faire des gestes. De ce que j'ai compris on avait interdiction de parler. Plusieurs heures passaient je n'étais pas trop rassuré par ces personnes. J'ai commencé à m'endormir, quand soudain au beau milieu de la nuit un cri m'a réveillé. J'ai directement reconnu la voix de mon camarade. J'ai ouvert les yeux. Ce que j'ai vu m'a horrifié.

À suivre... 😉