Poème: 1848

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1848

Horrible est l'esclavage, horrible est ce racisme
Moi je veux être libre, je veux contrée cette atrocité
Moi je veux vivre, ne plus être dupée et goûter la liberté
Fini! Ces chaînes, brisées elle seront, fini ce blancs d'idéalisme

Je veux vivre, je veux aimer
Je veux diriger
Plus d'ordre et de fouet, je me rebelle et j'y me fin
Je je suis pas du bétail, je suis une femme, je ne suis pas rien!
En moi j'ai la force et le pouvoir de voir
De l'intelligence plus qu'on n'en croit
Mes espérances illimitées, j'ai la foi!

Femmes, Hommes, enfants de toutes races, noir ou blanc
Venez, allons de l'avant mordons la vie à pleines dents
Faisons éclatée nos voix et chassons la putréfaction
Tuons ce blanc qui n'est pas si intincellant

Et dévoillons ses secret enfouis dans ces écatombes
Que vents et rafales disperse l'écho de nos coeurs enflammés
Ô oui, car celui qui jouit de ceci ressentira son euphorisme
Et sera enveloppé de paix d'amour et de rébellion contre le racisme.

Que cette hymne soit aimé ou détesté, j'en suis exaltée!
  

Abi blue.

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