À vous de trouvez un titre chère/ cher lecteurs lectrices!!!

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Chers lecteurs et lectrices je vous mets au défis de trouver un titre à cette histoire. À vous de jouer. C'est encore une réécriture et une suite d'une histoire. Maintenant que l'histoire commence. 

          Lors de notre première rencontre, je fus comme une mouche tournant autour d'un pot de miel, là,  Je croyais que je serais encore plus insistant pour cette deuxième  tentative, je m'avancerais sur ce champ de bataille plein de pièges, de bombe axphixiantes  ave avec ces gazs toxique roses remplis d'amour.
Là ! Je l'aborderais avec la violence de mes sentiments, fougueux, mais tous cela se passerait DEMAIN.
         
          En ce frais matin, je la voit encore avec sa jolie robe bleu avec des violette cousu mains, je la vois et soudain elle me regarde, me sourit et là, mon coeur s' emballe, mon visage s' empourpre mes jambes flageollent, je vois trouble comme si le Paradis s' ouvrais et me transportait vers ma bien aimée, mais je dois me contrôler, je dois ... Ouf, sauvé par le glas sonore, la cloche nous rappelant à l'ordre tels de bon petits soldats. Donc je rentre dans cet endroit de torture qui est l'école et qui me sépare de ma tendre et chère dulcinée pendant une éternité.
         
          Enfin libre, je vais pouvoir l'admirer, Non! La dernière fois je me suis cramer les globes oculaires et cela n'as pas aboutit, cette fois ci, je m'approcherais tel une un fauve chassant sa délicieuse proie, lui tapoterais délicatement l'épaule, elle se retournera, me verra, me sourira de son doux sourire d'ange céleste et nous parlerons tous le reste de l'après-midi  et nous nous marierons et nous aurons plein d'enfants et... faut que je me calme il faudrait déjà lui parler.
Il faudrais ne pas rêver éveillé, en premier lieu je devrais aller me ravitaillé comme tous homme fort et viril. Je rentrais donc chez moi et dévorais le délicieux pot au feu de ma douce mère la première élue de mon coeur. Mais me brûlait la langue, je partis en claquant la porte et inspirait une grande bouffer d'aire et expirais tel un commandant qui allais conduire une grande légions de soldats au combat, car OUI je m'apprêtais à mener la guerre à l'Amour, je partis donc au parc, là où l'élue de mon  coeur allait chaque après-midi.

          À  l'entrée du parc, que vois je!? Mon ennemis de toujours Janeck le bouffeur de timbre, entrain de courtiser MA Valentine, mon coeur flamba, je vis rouge j'avais envis de tous détruire sur ma route tel les tanks de guerre envoyant tous leurs chargement et comme point cible ce maudit Janeck! Mais contrôlant mon raz marée de fureur qui rugissait en moi  Je m'avancait vers mon soleil radieux et ce troll puant malfaisant.

Quelque minutes, longue comme l'éternité, il partit enfin sans omettre de lui donner un vieux bouquet tous rabougris, elle l'accepta et lui fit un baiser sonore qui résonna au plus profond de mon être et fini de fêlé mon coeur. Je la vit partir mais je pris mon courage à deux mains et restait. Elle me vit mais repartit, je la suivit et commençait à  discuter avec elle:
                    " - hum comment vas tu?
                       - Bien me dit-elle. Sur un air pincer.
                       - Heu vas tu garder ces fleures? Sur un air soucient.
                       - Non elle sont moches et toutes rabougris. De plus pourquoi reste-tu, n'as tu pas autre choses à faire comme jouer à la baballe avec tes p'tit amis?
                       - Heu non. Tu c'est tu est le soleil qui illumine mes jours et ton sourire radieux me transporte dans le pays de l'Amour, ta joie de vivre ranime mon petit coeur fêlé et le restaure, alors en ce jour je veux te dire que tu est mon aimé ma dulcinée pour l'éternité Valentine Delagarce veux tu m'aimer?
                       - ...
                       - Alors?
                       - Non! Sa va pas dans ta cervelle d'artichaut, tu est idiot collant énervant et tes yeux de lambris frit ne me fais ni chaud ni froid, alors vas pleurer dans les jupe de ta mère vieux petit bébé. Tu n'est pas le garçon que j'aime et que j'aimerais de toute façon!"
Je restait abasourdie mon coeur étant déjà fêlé fut piétiner briser annihilé par cette sorcière sans coeur. Et je lui répondit tel l'enfant que j'étais:
                      " - Eh bien toi tu n'es qu'une sorcière au coeur de pierre. Ignoble individus!!!
                         - Adieu Crétin!!!
                         - Adieu Sorcière!!!"

Je la quittai sur ce douloureux échange et depuis je ne fréquentait plus de femme ou pendant un petit moment.    
                                                                                                                           

histoires en vracs ou batmaman a histoire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant