14. Always but not forever

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"Cher Journal,

J'ai enfin réussi, j'ai prouvé mon amour et quelque soit la sentence ça m'est égal car dans quelques mois je partirai, comblé et en paix"

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Le bouclé était resté un moment pétrifier comme le reste du public ainsi que Alan. Louis avait osé, et on pouvait voir que sur le visage de celui-ci se dessinait un magnifique sourire rayonnant. Et ça, les fans et plus précisément les Larry Shippers, l'avaient très bien compris que désormais il était heureux et que cela lui enlevait un énorme poids des épaules. Mais malgré tout, elles savaient que Louis avait agit contre le règlement qui leur était imposer, et que la conséquence serait certainement grave.

Puis, sans que personne ne le sache, une vague d'applaudissements et de cris envahis le public et le studio tout entier. On pouvait d'ailleurs entendre des personnes crier "Congrats Larry , we love U !!". Tous les membres du groupe se regardèrent et se sourirent. Ils étaient heureux et ça se voyait sur leur visage. Heureux qu'un calvaire prit fin, mais anxieux qu'un autre arrive. Car oui, il y en aurait forcément un autre.

- Et bien félicitation à vous deux, leur dit Alan.

- Merci, répondirent en choeur Harry et Louis.

Le public criait d'avantage, et l'interview se continua dans la bonne humeur.

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Lorsque toute la troupe fut arrivée dans la maison, Niall se dirigeais vers la cave, fit une halte dans la cuisine et retourna dans le salon munit de cinq flûtes et retourna dans la cuisine en chercher cinq autres. Puis il posa la fameuse bouteille champagne qu'ils s'étaient promis d'ouvrir lorsque Larry Stylinson serait réveler au grand monde.

Des coups se firent entendre à la porte d'entrée. Louis décida d'aller ouvrir l'entrée qui laissait apparaître Sophia, Eleanor, Perrie, Kendall et Amy. Quand toutes les filles furent à l'intérieur, Eleanor sauta au cou de Louis en lui hurlant aux oreilles.

- Mon Louis !! Félicitations !! Je suis contente, depuis le temps qu'on en parlait !

Le brun sourit et resserra son étreinte autour de la jeune fille qui, quelques secondes après, fit de même avec le bouclé. La joie et le soulagement qu'émanait cette maison ne pouvait passer inaperçu chez les convives. Mais deux autres sentiments se mélangèrent également, pas encore totalement, mais assez pour être perçu : un soupçon de peur et d'anxiété. Oui, car chez leur management enfreindre une règle d'or peut s'avérer très contraignante. Tous le savaient, et tous s'attendaient au pire de tout : rupture de contrat, des vivres, tout.

Alors que le petit comité fêtait dignement cet événement, de violents coups résonnaient à travers la porte d'entrée. Liam fut le premier à se désigner et alla ouvrir la porte. Quand il ouvrir celle-ci, il ne fut pas surprit de voir deux de leurs supérieurs se tenir dans l'encadrement.

- Messieurs, laissa échapper Liam avant de les faire entrer.

Pendant le cours laps de temps qu'ils avaient eu, le groupe avait cacher les flûtes et la bouteille.

Les supérieurs firent irruption dans la salle et aucuns ne bronchaient, tous restaient très sérieux.

- Je pense que vous savez pourquoi nous sommes là. Ils hochèrent la tête. Bien...

Simon laissa un blanc dans sa phrase. Celui-ci semblait durer des heures pour certains.

- Vous êtes complètement fous ma parole !! Vous croyez que le BigBoss n'a pas vu votre interview ?!

- Bah en fait c'était le but qu'il la voie, déclara Louis, sous l'hilarité de ses camarades.

-Ça peut aller très loin et surtout ça !! Louis tu te rends compte de ta connerie ?! Vous aviez l'interdiction formelle de divulguer cette information et pourtant vous l'avez fait !! Vous ne tenez pas à votre vie et votre carrière ou quoi ?!

- Si mais on tient également à notre liberté ! Intervient Liam. Depuis ce nouveau contrat, notre liberté a été plus que restreinte ! Nous sommes encore des ados, et notre liberté est ce qui nous rattache le plus à notre entourage et qui nous permet de garder les pieds sur terre ! Mais ça, je ne crois pas que vous en avez conscience, seul le fric vous intéresse, trancha Liam. Vous pensez berné tout le monde et pour vous, nous, nos familles et nos fans sommes bêtes, mais se sont celles-ci qui nous ont ouverts les yeux. Elles sont intelligentes ELLES au moins.

Il les avait cloué, littéralement. Les supérieurs savaient qu'ils étaient un soupçon de maturité, mais pas à ce point là.

Après les dires du Daddy, tous approuvèrent, sauf les filles qui restaient en retrait. Simon soupira.

- Attendez vous à ce que le BigBoss vienne. Sachez que je serais toujours là, mais pas pour toujours.

Sur ces mots, les deux hommes repartirent. Les garçons soufflèrent et vinrent faire une accolade à Liam pour le remercier. Cette accolade qui, évidemment, finie en câlin collectif.

Cette joie aurait pu durer, mais aussi vite arrivée, elle disparut.

"Que le calvaire commence" - Modest!

It's Over (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant