Par une nuit d'automne où le froid glacé la ville, Mme Georges qui dormait paisiblement dans sa masure, fut alerté par des cris provenant de la colline voisine . Elle enfila un banal drap sur ses épaules et sortit de sa petite maison. Elle regarda autour d'elle à droite et à gauche. Elle ne vit rien. Elle fit alors demi tour quand les cris reprire de plus belle. Mme Georges retourna dans sa maison et poussa son mari qui s’était endormi dans le fauteuil de la salle à manger. "-Georges! Réveille toi! Bon sang! cria Mme Georges qui grondait son mari -Mon dieu, mais que se passe t’il donc? gronda Monsieur Georges à moitié endormi -J’ai entendu des cris! Ça vient de dehors! -Sûrement un mauvais rêve... -Non, Georges! Il faut que tu me crois! Allez prend donc la lampe et suis moi dans le jardin! ". Monsieur Georges soupira, il se leva de son fauteuil et sortit la vielle lampe à huile qui était posé sur le buffet en bois. Il l’alluma et suivi sa femme au jardin.
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La colline voisine ,que Mme Georges parlait, était là depuis des années. Un arbre plantait là depuis 120 ans. Ici, les femmes du village se retrouvaient l'été pour passer du temps. C’est là que les cris provenaient. "-Dépêche toi ,Georges! Ces cris m'inquiète de plus en plus!" dit Mme Georges Monsieur Georges restait serain malgré la détresse de sa femme. Il pensait qu'elle était devenu folle et balançait la vielle lampe à huile de gauche à droite. Le soleil commençais à se lever et prenait des tons de roses et de violet dans le ciel . Monsieur et Mme Georges se rapprocherent de l'arbre et découvrir au pied, autour des jonquilles, un petit panier d'osier recouvert d’une fine couverture
Madame Georges enleva le drap et découvrit par surprise un bébé qui dormait paisiblement. Suite à cette découverte,le couple se regarda l’air abasourdi comme si ils avaient fait une bêtise. Le petit bébé paraissait différent des autres . Certes, il avait une beauté rare par apport à d’autre nourrisson et un visage parfaitement dessiné mais on sentait que celui là avait quelque chose de plus que les autres. Madame Georges se pencha et pris le bébé dans bras. L’enfant ouvri les yeux ,des yeux splendide comme les nuages dans le ciel. "-Qu’allons nous faire, Georges? On ne peut laisser un enfant dans cette état! -Que veut tu faire? Tu n'a jamais voulu d'enfant! Et puis enfin c’est trop de travail! -Enfin, Georges! Réfléchi, bon sang! "Monsieur Georges se gratta la barbe. Il regarda le nourrisson et sous un silence de réflexion, il dit : "-Bon,disons ce soir. Nous lui donnerons du lait de chèvre mais demain je veux que tu l'amène à l'orphelinat,.D'accord? -Oui,promis! "Madame Georges ,le sourire au lèvre reparti, l'enfant dans les bras. Elle sentit en haut de la colonne vertébrale du bébé quelques chose de dur . Peut être que certains bébés ont cette anomalie? Qu'importe! Elle était si heureuse qu'elle décida de l'appeler Fleur car c’est sous les fleurs qu'elle fut retrouvé. Ils ne le savaient pas encore mais leurs vie allait changer.
