-Voilà tout est en règle, vous pouvez sortir, mais j'aimerais vous voir chaque semaine, annonça le docteur Beker
-euh pourquoi? *avec plaisir beau gosse.....pardon beau médecin*
-vous êtes amnésique alors je dois vous aider à vous souvenir de votre vie, dit il comme une évidence.
-euh....d'accord, répondis-je un peu perplexe.Deux heures plus tard
Aujourd'hui je sors enfin de l'hôpital, même si je n'ai été consciente que quelques heures, cet endroit m'a donné la déprime, je suis trop contente de m'en aller ....et de rentrer chez moi ! ? A cette pensée mon coeur se serre, je pose instinctivement ma main sur mon cou. Une maison dont je ne me souviens même pas, une petite soeur adorable, un grand frère qui ''visiblement'' me déteste, des parents super gentils et un médecin qui me cache des choses....... *vraiment géniale ma vie, pour une part de joie il y a aussi le malheur*.
Dans la peau du médecin
Avant qu'elle ne rentre chez elle, je décide d'aller voir Zara. Arrivé devant sa chambre, je la trouve debout près de la fenêtre avec sa main qui tripote son cou et sa tête dans les nuages. Je m'approche d'elle.
-Zara!? En posant ma main sur son épaule.
-en sursautant, oh docteur BEKER, que faites-vous là ? Surprise
-je mets mes mains dans mes poches, je voulais voir comment tu allais et te dire au revoir.
-oh merci c'est gentil, en baissant la tête
-pourquoi fais-tu cela?
-quoi?
-ça, en lui montrant du doigts le geste qu'elle n'avait pas arrêté de faire.
-elle regarde vers son torse puis me regarde, je ne sais pas trop, je le fais inconsciemment, c'est comme si.....
-tu portais quelque chose sur ton cou d'habitude ? Devinais je
-OUI EXACTEMENT ! ! ! !, je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose.
-comme ça ???Dans la peau de Zara
Le docteur BEKER vient de sortir de sa poche, une chaînette en argent avec une magnifique pierre verte en pendentif. Je le connais, aussitôt dans ma tête un film se mets à passer:
Flash back
Nous sommes le jour de mon anniversaire, je viens d'avoir 13 ans, une personne me prends par la main et m'entraîne à l'extérieur de la salle de fête. Nous sommes dans le jardin.
VOUS LISEZ
Ce n'est pas mon CORPS!
Genç Kurgu-aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ces cris venaient de la chambre d'hôpital de ma fille, je me precipitais dedans pour savoir pourquoi elle hurlait. En pénétrant dans la chambre, je la vis écœuré en se regardant dans un plateau qu'elle avait en...