Résistance : Échoué.

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Chapitre 09

Je rentrais chez moi énervée , oui énervée de son comportement.
Les gens lunatique ça me saoule.
Il me bloquait il y a deux jours et c'est le premier à vouloir m'embrasser !

Je ne comprends pas , il vaudrait mieux pour moi que je dorme.

Juan

Placé en forme d'étoile sur mon lit , je cogitais dans ma tête.
J'agis complètement à l'envers avec elle , ma tête pense autrement que mon cœur. Je ne sais pas ce qui se passe , c'est la première fois que ça se produit.
Quand je l'ai vu débarqué avec Lewis , mon sang n'a fait qu'un tour . Puis déjà qu'est-ce qu'elle foutais avec lui ? Elle n'est pas censé venir seule ?
Hum , bref je m'en fou.

Maintenant je suis seule chez moi , Laure ne fais plus parti de ma vie et h.e.u.r.e.u.s.e.m.e.n.t.

Je me sens seule , comment je ferai pour satisfaire mes besoins personnels ? C'est pas grave je pourrais attendre.

Avec le temps ,Cassiopée et moi nous nous sommes échangés nos numéros. J'hésitais vraiment à lui envoyer un message ( chose que je ne fait jamais ). Je n'aime pas quand elle ne me parle pas , oui.
Je n'aime pas quand elle ne me fait pas ses blagues de merde.
Je n'aime pas quand elle est avec quelqu'un d'autre que moi.
Oui , certes , ça ne fait que 4 mois que je l'a connais , mais plus le temps passe , plus j'ai l'impression que ça fait des éternités.

Je pris mon téléphone en main pour lui envoyer un message.
C'est ce que je fit de suite.
J'ai décidé de ravaler ma fierté pour elle et puis quoi encore.
Vu qu'elle ne répondait toujours pas , je finis par m'endormir.

***

Je faisais que de constater qu'elle parlais avec Lewis et rigolait avec lui , ça me saoule ouais. Déjà lui il est là pour travailler , pas pour se payer mon assistante.

- Pourquoi tu les regardes d' un air  jaloux Juju ?

Ça se voit tant que ça ? Je ne savais pas.
Je repris ma lecture des documents.
Puis putain ce père ne peut pas le faire ?

Le moment du midi fut arrivée , je mis ma veste.

- Encore cette foutu cravate dénouée Juan.

Ah bah tient , à ce que je vois elle a retrouvé la parole.
Elle vint à moi pour refaire mon nœud.
Une habitude ? Oui.
Faire exprès ? Oui.
Quand elle fut assez proche de moi je plaçais mes deux mains sur sa taille puis la regardait faire.
Ce que j'avais envie de faire ? Lui laisser pleins de suçons sur son cou.
Suis-je devenu fou ?
Elle laissais paraître un petit sourire.

- Mange avec moi ..

- Je voulais manger macdo pour une fois Juan.

- On va au drive et on revient manger là?

- Proposition accepter

Avant que l'on ne parte je pris le malin plaisir de lui laisser un petit bisous sur ses lèvres.
Puis partit triomphant.

Je conduisais sous le regard persistant de Cassiopée , à vrai dire , nous nous sommes échangés quelques petit baisers mais rien de plus. Nous avons céder à la tentation.
Ce n'est pas bien oui mais bon , j'ai 27 piges, il faut que je prenne les choses en mains avec elle , je voudrais me rattraper surtout.

Sur le moment ce que j'ai dit ne rimais pas avec ce que j'avais dans le coeur.

On mangeait dans le bureau , j'avais retrouvé sa joie de vivre et cela ne pouvait que me faire sourire.
Mais on pouvait compter sur mon père pour son arrivée triomphale.

- On doit causé toi et moi.

Jamais de bonjour avec lui a ce que je vois.

Il m'emmena au fond de mon bureau puis me regarda d'un air dur.

- Qu'est-ce qu'il te prend de faire cette accord avec le président du Brésil ? Avec tout les pays qu'on a dans la poche tu voudrais en ajouter le plus malin ? Toujours aussi con.

- Sois déjà content que je prenne en main cette entreprise, je pense que ton cerveau n'a plus les capacités d'exercer.

Il serra es poings d'un coup.

Throwback

La maison était censé être endormi , à l'époque mes petits frères n'étaient pas nées.
Je devais dormir car le lendemain je devais aller à l'ecole. Je ne saurais même pas dire qu'elle heure il étais car je résistais vraiment à mon sommeil.
Comme tout les soirs j'entendais les parents se disputer sans cesse. Mais ce soir là tout à vriller. J'entendais les coups que mettait mon père à ma mère.
J'accourus vers leurs chambre , ouvrit la porte puis vis ma mère en sang elle étais défigurée.
J'assistais à cette scène impuissant.
...

Bien sûr , il fallais qu'elle le pardonne à chaque fois. Pfff pitoyable.
Après ce petit entretien , tout mes gens étaient de retour.
Nous pouvions continuer le travail.

 Le jour et La nuit Où les histoires vivent. Découvrez maintenant