Le collier démoniaque

l'étrangers

Vous allez sûrement croire que je suis fou quand j'aurais terminé de vous raconter mon histoire, mas malheureusement pour moi, elle est vraie.

Avant toute chose, je vais me présenter, je m'appelle Axel, j'ai 15 ans. Je suis quelqu'un de simple, brun aux cheveux frisés, de taille moyenne. Et je suis en couple avec la fille la plus merveilleuse du monde, Marilys. Voilà comment cette histoire débuta.

C'étais bientôt l'anniversaire de Marilys et je voulais donc lui trouver un cadeau. J'avais pour optique de lui acheter un collier, et j'étais donc parti en ville lui en trouver un. J'avais passé la moitié de l'après midi à arpenter tous les magasins, ressortant toujours bredouille. 

Je continua donc ma recherche. Attiré par une vitrine dans une petite ruelle, je me suis arrêté devant, l'observant. Il y avait des colliers de toutes sortes. Fantaisistes, fin et raffinés, d'autres plus lourds et ornés de lourdes pierres colorées. Mais aucun que je trouvais à mon goût. Alors que je m'apprêtais à reprendre la route, je senti une main fine et osseuse sur mon épaule. Je me retourna d'un bond, faisant face à un homme courbé par l'âge. Il maigre, semblait faible, la peau jaunie. Une chose m'interpella. Le vielle homme était encapuchonné. On ne pouvait qu'apercevoir son nez crochu et de une flamme brûlant dans ses yeux obscures. M'étonnant de cette approche, je ne pu que bégayer bêtement : 

- "Que me voulez-vous?

- Je vois que vous cherchez un collier. J'ai ce qu'il vous faut. Regardez ceci. "

Il sortit une boîte bordeaux, et l'ouvrit. L'intérieur de celle-ci était d'un pourpre très profond, d'une matière de velours. Au milieu se détachait un collier magnifique, resplendissant de milles feux. Chaque pierre était taillé a la perfection, un rubis, une émeraude, un lapis-lazulit, une topaze, un saphir. Les couleurs étaient extrêmement vives. Le collier semblait briller d'une lumière provenir du collier lui même, il faisait plutôt sombre dans la ruelle, et peu de lumière parvenait à percer à travers les hautes toitures. 

Un peu hésitant, et m'attendant à un prix élevé, je lui demanda : 

-" Combien me le vendez-vous?

- Dix euros. C'est une très bonne occasion car c'est un collier qui à de la valeur. Mais je vois que tu en cherche un depuis tout à l'heure, et je me suis dis que j'allais faire une exception."

Je réfléchis quelques instants. L'attitude du vieillard était vraiment déconcertante. Et puis, comment savait-il que je cherchais un collier depuis tout à l'heure? Je ne me rappelais pas l'avoir aperçut dans les rues. Mais à la fois, c'était vraiment une superbe occasion, et le collier était magnifique.

-" Je le prend"

Après lui avoir donné mes dix euros, il me tendis la boîte. Je fus étonné de son poids. Le collier semblait bien lourd. Le vielle homme avait un rictus malfaisant aux lèvres. Je repris donc le chemin vers chez moi. Je sentais le regard de l'étrangers peser sur mes épaules. Une fois au bout de la ruelle, j'entendis un rire diabolique qui me glaça le sang. Je me retourna pour regarder mais l'homme avait disparu.

Une fois chez moi, je m'enferma dans ma chambre. Je sortis le collier pour l'observer encore une fois. malgré la lumière vive qui envahissait ma chambre, les couleurs du collier me semblèrent plus ternes, moins éclatantes, moins profondes. Il semblait en émaner une sorte de vibration, ce qui m'étonna, mais la vibration s'arrêta. J'avais du rêver.  Je le rangea donc dans sa boîte.