Part XXV

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J'envoyai un message à Theresa pour lui annoncer que Christelle avait accepté de signer les papiers du divorce. Mais je ne lui ai pas parlé de sa condition posée.
Le matin, le premier jour, elle s'était préparée. Moi pour le travail, Parker pour l'ecole et elle pour la boutique. Parker était devant la voiture et moi je montai chercher sa mère. Elle avait mis les vêtements que je lui avait offerts après notre mariage. Comme dit, je la pris dans mes mains. Elle était plus léger qu'avant. Elle avait perdu du poids. Elle passa ses deux mains autour de mon cou et avait fermé les yeux. Parker nous voyons sortir se met a rire et à se moquer de son père. Son sourire me rendait heureux. Il nous a applaudit quand je la deposai près de la voiture, je donnai un bisou à Parker et je rejoignis ma voiture. Je me rendit au bureau après quoi je passai un coup de fil à mon père. Cela faisait un bail
Il me demanda comment allait mon couple et je répondis bien. J'avais un peu honte de lui dire. Comment font tous ces hommes qui demeurent avec leur femme pendant longtemps avec toutes ses belles filles qui sont dans la société.
Le lendemain, c'était la routine, je montai la prendre dans sa chambre jusqu'à sa voiture. Une semaine était passé sur ce nouveau devoir. Dans les trois premiers jours, je n'eus aucun effet mais des les jours suivants, je ressentais quelque chose de bizarre. À chaque fois que je montais la chercher, j'avais le cœur qui battait. Mes pensées voyageaient dans le passé pour commémorer les bons moments.
La semaine suivante, tout avait changé, j'avais fini par prendre goût de mon nouveau métier. Je me levai très tôt pour me préparer et aller la chercher. Désormais je ne me précipitait plus mais je marchais lentement. Ses mains autour de mon cou et moi je la fixais des yeux. Je commençai par ressentir de nouveau ce remord mais je n'étais pas sûr de ce que je ressentais. Mais bizarrement, mes sentiments envers Theresa me paraissaient moins importante. Je savourais les moments que ma rose passait dans mes mains.







DE LA JOIE A LA PEINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant