Les maraudeurs nouvelle génération (Terminé)

Les retrouvailles

Cela faisait maintenant 18 ans que la guerre contre Voldemort avait cesser. Les enfants de plusieurs survivants de la guerre allaient maintenant à Poudlard pour leur première année d'études.
Ce qu'ils ne savaient pas c'était que quatre personnes s'étaient installés dans le château cet été...

Pendant l'été.
Un mois avant le début des classe, les professeurs s'affairaient déjà à préparer l'école pour les élèves. Ce qu'ils ne voyaient pas encore c'est que dans la salle commune des Gryffindor quatre silhouettes apparaissaient soudain. Premièrement, la silhouette de James Potter se matérialisa. Il regarda autour de lui un court moment avant de savoir où il était.
-Je suis dans la salle commune de Gryffindor! Trop cool! Dit ce dernier en regardant autour de lui, la salle commune n'avait presque pas changé depuis son entrée à Poudlard.
Sirius apparu soudain. Il regarda le dos de son meilleur ami et dit soudain:
-Cornedrue, c'est toi?
James se retourna, il aurait pu reconnaître cette voix entre milles. C'était celle de son meilleur ami d'enfance, Sirius Black.
-Patmol! Je suis si content de te revoir! Sa fait si...
Les regards des deux meilleurs amis se posèrent sur l'un et l'autre. Ils étaient transparents, transparents comme des fantômes.
-Mais on... on est... commença Sirius.
-Des fantômes, finit James.
Un sourire se dessinèrent sur les visages de chacun.
-On peut traverser les murs, et.... reprit Sirius, les yeux brillant d'excitation.
-Faire pleins de mauvais coups en n'étant jamais en retenue, continua une voix étrangère.
Remus Lupin venait d'apparaître à son tour, ses deux amis se précipitèrent sur lui.
-Toi aussi Lunard, commença James.
-On est tous réunis! Dit Sirius un sourire sur son visage.
Ce sourire s'effaça, ils n'étaient pas trois dans leur jeunesse. Ils étaient quatre.
-Mais non Patmol, il manque Queudver! Rectifia James un sourire au lèvre.
Remus et Sirius se regardèrent.
-Tu devrais lui dire Lunar, je ne raconterait pas très bien l'histoire. J'ai trop de haine pour ce Pettigrow, dit Sirius en regardant toujours Remus dans les yeux.
-Attends Patmol, je crois que tu te trompe de personne, je parle de Queudver, notre ami d'enfance. Il était tout petit et avait des cheveux blonds. Ils nous suivaient partout, intervint James.
Ce dernier regardait avec insistance Sirius, il semblait croire que Pettigrow n'aurait jamais été capable de trahir ses amis. Pourtant, Remus lui raconta l'histoire, il fus interrompu de nombreuse fois par Sirius qui déversa de multiples commentaires de haine envers Pettigrow. Près de 10 minutes plus tard, l'histoire était finit et James se résolu à parler enfin:
-Je suis désolé pour toi Patmol, t'as passé près de 12 ans à Azkaban et puis tout le monde t'as cru coupable.
-Ah c'est pas grave, au moins Lunar m'a cru et est redevenu un ami en qui je pouvait avoir confiance, dit Sirius en souriant à James.
-En tout cas, au moins je m'avais habillé chic pour mourir, c'est pas comme vous les gars, déclara Sirius en riant.
Tous rirent de bon cœur. En effet, James avait une chemise de nuit et un jogging, Remus avait quand à lui une cape qui s'était faite déchiré pendant la bataille et portait en dessus un pull d'un gris cendré et des pantalon qui était supposé être noir et qui était devenu blanc à cause de toute la poussière du aux écroulements qu'il y avait eu à la guerre contre Voldemort. Sirius, pour sa part, avait un veston mauve et d'élégant pantalon noir. Les trois parlèrent un moment de leurs vies avec d'entendre un bruit étrange.
« Bang »
Il se retournèrent vers la source du bruit. Ils découvrirent alors un garçon grand et mince, des tâches de rousseur parsemait son visage et des cheveux d'un roux vif était coiffés dans tout les sens. Il se retourna et leur dit:
-Ah, je suis désolé de vous avoir interrompu, je voulais voir si on pouvait encore prendre des choses dans nos mains si on est fantôme. Mon frère et moi avions caché des pétards ici, dit en pointant la trappe qui était autrefois dissimulés par un tapis rouge.
Il y avait une dizaines de pétard de toute les couleurs.
-Apparemment oui, on peut saisir des objets, ce qui est fascinant c'est que nous pouvons tout de même franchirent les murs, ajouta Lupin d'un air pensif.
-Ouais Ouais ça vas Lunar, fais nous pas un cours de métamorphose ou de je ne sais quoi quand on est mort. C'est déjà assez plate quand on était vivant! Maugréa Sirius.
-En tout cas, c'est quoi ton nom? Moi c'est James ou tu peux m'appeler Cornedrue, dit celui-ci d'un ton amical.
-Moi c'est Fred, Fred Weasley mais toi t'es Cornedrue et vous professeur Lupin, vous étiez un loup-garou donc c'est Lunard. Pis toi Sirius t'es sûrement Patmol, donc vous avez créez la carte du mauradeur! Dit Fred d'une voix qui trahissait la surprise.
-Oui, c'est bien nous, je me demandais aussi comment Harry avait trouver la carte, dit Lupin l'air amusé.
-Mon frère et moi vous devons tellement sans vous nous aurions eu presque le triple de retenu qu'on a eu!
Fred avait le sourire jusqu'au oreille et semblait avoir oublié, du moins un instant, qu'il était mort. Comme si il allait rejoindre son frère et qu'ils continueraient la boutique sur le chemin de traverse comme si le temps s'était arrêté. Mais ce moment ne dura pas longtemps, son sourire s'effaça et son regard se perdit.
-Euhh, ça vas, demanda James qui voulut mettre sa main sur l'épaule de Fred mais celle-ci tomba dans des volutes de fumée.
-Oui, c'est juste, mon frère il a tellement du avoir de peine quand je suis... et puis je doit le voir absolument! On est en quelle année tout compte fait? Demanda Fred en regardant à tour de rôle les mauradeurs.
-Pourquoi pas aller faire un tour du château, il doit bien y avoir quelqu'un à effrayer, dit timidement Lupin.
-Je te connaissais pas comme ça Lunar, planifier des mauvais coup c'était Cornedrue et moi qui fessaient ça. Toi t'étais plutôt là pour nous en empêcher, déclara Sirius en riant.
James et Lupin commencèrent à rire. Fred leva la tête et dit:
-Alors on y vas ou pas?
Ils se regardèrent un moment avant de tous s'élancer sur le mur qu'ils franchirent sans problème.
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