Chapitre 3

53 3 0
                                    


Chapitre  corrigé! Bonne lecture

 

Dans les rue de New-YORK on peut voir des stands illuminés , des passants qui marchent et racontent leurs vies ou même des gens seul dans l'ignorance comme moi,  peut-être qu'il marche simplement retrouver quelqu'un qu'ils aiment... On aime tous cette version de la vie mais malheureusement se n'est pas toujours la réalité, des fois il faut savoir accepter la réalité et vivre en face de ses responsabilités. 

En marchant, j'ai vue certain magasin, des immeubles plus grand, les uns que les autres, sa n'a pas l'air si mal de vivre ici. En fin de compte je dis ça mais je ne suis pas heureuse pour autant de me retrouver à cette endroit. Le point de vue que j'ai est que tout le monde peut-être qui il veut et faire ce qu'il veut temps qu'il assume (je ne cautionne pas, faire ce qu'il veut quand cela consiste à faire du mal à autrui)

Arrivée devant une petite place avec une fontaine je m'assoie sur un banc et pence a ma vie...je repense à ma mère, elle me manque beaucoup, je repense à ce que je vivais à l'époque et me dis que je ne suis pas forcement mieux, je suis juste dans mon monde, en train de fuir.

Quand ma mère est morte, le jour ou elle est morte, je n'y ai pas cru. Je pensais que maman allait rentrer au soir et quel nous ferait son plat de macaronis au fromage comme elle savait si bien les faire, je pensais que papa allait arrêter de pleurer et que tout le monde me regarderaient normalement et non avec cette chose dans les yeux, se sentiment. En grandissant j'ai appris que ce sentiment c'était la compassion qu'ils avaient pour moi. Cela devait être pitoyable à voir. Aujourd'hui je suis comme morte de l'intérieur, il y a juste un détail qui fait que ça ne se voit pas, c'est que je suis vivante de l'extérieur. Pour les autres je vais bien, pour mon père je vais bien, pour moi même j'allais bien mais quand je me retrouve seul, sans personne, sans amis, je vois bien que je ne vais pas bien, je n'arrive juste pas à le dire. Déballer mes idées noir ou mes sentiment et ressentie les plus profond n'est pas dans mes habitude mais que faire quand la seul chose que vous voyez, c'est un écran noir en face des yeux ? Que faire est la question que je me pose.

Je me suis posée trop de question pour se soir il est temps que je rentre, en plus il se fait tard. Je me lève et avance sans regarder en face de moi. D'un coup je bouscule une personne et m'excuse directement, mais cette personne se retourne et me lance un regard de tueur en série. Il avait des yeux brun, grand, légèrement bronzé, un latino peut-être. Il possédait une paire de lunette, les cheveux bien coiffés naturellement, habillé d'une veste en jean bleu. Il me dis:

« Tu pourrais pas faire attention toi !

-Oh ça va je me suis excusée, tu veux pas que je me mette à genoux non plus ? lui répondis-je sur le même ton cassant que le sien.

-Vue comme tu as l'air débile je suis sur que tu le ferais !

-Mais va te faire ! Je ne te permet pas de me parler comme ça !

-Va s'y dégage ou tu vas le regretter.

-Le regretter ? Tu as vraiment crue que tu me faisais peur ou que tu avais la moindre influence sur mes faits et gestes, redescend mon vieux, tu n'es pas roi !

-Mais c'est qu'elle a du répondant la petite ! Faudrait pas la brusquer ou elle risque de nous taper !

-Je te conseil de ne pas me faire chier se soir ! 

-Et tu vas faire quoi sinon,

-ÇA ! »

Et la, sans aucune pression ou moindre compassion à son égard, je lui mis un beau crochet du droit en plein dans l'arcade ! J'avoue que je douille un peu mais j'ai passé une mauvaise journée, je me pose pleins de questions et un con vient me faire chier quand j'essaye de me ressourcer ! Faut pas pousser mémé dans les ortie non plus !

« Toi tu viens de taper la mauvaise personne. »

Sans que je mis attende je reçu à mon tour un coup de point dans le nez qui me fis valser, je me relève et me met en garde, prête à me battre avec cette imbécile, ça va me détendre.


Tout recommencerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant