C'est l'histoire de deux souverains d'un royaume, deux jumeaux nommés Elodie et Charles. A la mort de leur père, le Roi, il faut reprendre le royaume en mains ! Mais hélas il n'y a qu'une seule place sur le trône...
Dès l'aube, je fut en route pour la ville sur mon cheval blanc que j'avais eu de la part de mon père quelques années auparavant. Une fois arrivé à destination j'attachai mon destrier et parti vers le marché que l'on pouvais à peine distinguer de là où je me trouver à cause de l'épaisse brume matinal. De plus les rues que j'empruntais étaient glissantes si bien que je manquai de tomber plusieurs reprises. Au bout d'une cinquantaine de pas que j'avais parcouru , j'entendis un lourd bruit de chute suivi d'un petit cri féminin derrière moi. Je me retournai et découvris la personne qui avait chutée, il s'agissait d'une jeune femme à peine plus jeune que moi. Elle était magnifique avec sa longue chevelure blonde avec de léger reflet roux et légèrement ondulés, ses grand yeux bleus et sa robe blanche et bleu.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je lui tendis ma main, elle me souriait et pris ma main, je la relevai puis elle me dit d'une voix tendre et un peu hésitante : "-M... Merci monsieur, l... le sol est si... glissant, qu... qu'il fallait que je tombe u... un jour !" je lui répondis alors "-Mais de rien , il me devait de relever une aussi charmante femme ! Acceptez-vous d'aller dans un salon de thé pour vous réchauffer ?" Elle accepta d'un doux hochement de tête. Sur la chemin elle se présenta. Elle s'appelait Marguerite, elle était fille de paysans qui étaient assez réputés pour la qualité de leurs produits. Nous arrivâmes devant une mignonne devanture de salon de thé, nous pénétrâmes dans le petit salon. Je vis l'un des gardes du château qui était en pause, ma sœur me tuerait si elle apprenait que j'étais avec une femme au lieu de faire les provisions. Je baissai donc ma tête en espérant qu'il ne m'ai pas vu. Mais malheureusement je vis le garde me dévisagé. Marguerite et moi discutâmes, puis je lui dis que je devais aller faire des provisions pour ma sœur. Je lui déposai un baiser sur sa main et je vis qu'elle venait de rougir légèrement. Elle me salua et je partis vers le marché. Ca devait être cela le "coup de foudre" que me parlait ma mère lorsque je devais n'avoir que six ans et que la princesse m'avait formellement interdit. Après avoir fait les grosses courses j'entendis le clocher sonnait dix-sept coups. Je me dépêcha alors de rentrer et ensuite déposé toutes les courses dans la réserve a côté de la cuisine.
Je commençai a monter les marches lorsque je vis ma sœur m'attendre en haut le visage rouge de colère et des larmes coulaient sur son si doux visage. Je me doutais de ce qui l'avais dans cette état, je m'avançais vers elle pour lui expliquer sauf qu'elle me frappa violemment au visage et me hurla: "Comment as-tu pu Charles ?! As-tu donc oublier ce que notre père t'avait dit ? Tu es la seule personne en qui j'ai confiance ! Ne vient plus me voir tant que tu n'as pas trouver un bon moyen pour te faire pardonner ! HORS.DE.MA.VUE !" Les larmes continuaient de rouler sur son visage. Je ne répondis pas puis je partis dans ma chambre, à côté de celle d'Elodie. Je réfléchissait à comment me racheté puis j'eus une idée.