Pas Fréquentable (Michael Jackson Fanfiction)

~ Chapitre 17 ~ Confrontation

Le temps s'est arrêté, quand le regard fusillant de Blake a rencontré le mien, nous étions maintenant à moins de dix mètres dans une pièce sombre entouré seulement d'un seul policier et d'un autre homme qui n'avait ni l'air de me connaître et ne portait ni d'uniforme de police. Il était posé à côté de Blake et semblait le défendre ainsi que de le représenter. Moi je n'avais personne et j'aurais bien voulu que Mike soit là.

- Bonjour Mademoiselle, veuillez prendre place je vous prie.
Me salua le commissaire Hilaire en me désignant le siège sur lequel je devait m'assoir face à Blake qui cependant nous séparait par une table.

J'ai répondu inaudible, respectant à la ligne les prescriptions de l'agent en fixant méfiante Blake qui avait un sourire méprisant.

- Bon... je vais vous remettre à la page étant donné que nous avons eu beaucoup le temps de parler avec Monsieur Deprun qui soit dit en passant nie beaucoup d'éléments que vous avez voulu dénoncer.

J'acquiesça nerveusement, le laissant poursuivre afin que je l'écoute attentivement.

- Monsieur Deprun nie vous avoir frappé à plusieurs reprise, et que toutes vos marques sont de la culpabilité des clients que vous avez fréquenter et que vous n'avez jamais fait part de vouloir quitté ce job. Ainsi faute de témoins nous ne pouvons pas vraiment faire suite à votre plainte.

Alors que par peur je fixais le coin de la table en fer fuyant grandement Blake, j'ai respiré un grand coup avant de me précipiter pour répondre.

- Je vous assure que c'est lui, il est vrai que quelques clients se permettait parfois de levé la main sur moi... mais celui qui m'a quand même étrangler c'est Monsieur Deprun. Et... c'est quand je lui ai parlé de quitté ce travail qu'il m'a étranglé pour la première fois en me disant que c'était impossible, que ça n'arrivera jamais. Des témoins il y en a ! Je ne sais pas s'ils accepteraient de le déclarer, mais il y a en tout premier Maria Boutin qui m'a vue me faire frappé avec un client... euhm Louisa Come qui peut parler de mon enlèvement devant l'université et... Michael Jackson.

- Voyons ça Michael Jackson ?
Se moqua l'avocat.

Rien qu'entendre des mots qui venaient pour me détruire, je senti une fissure se formée dans mon cœur.

- Oui... une fois il a appelé Monsieur Deprun pour lui demander d'arrêter de me faire subir tout ça et... Monsieur lui a répondu que c'était une correction méritée.

- Dite... avez-vous fait des tests de toxicologie ?!
M'interrogea l'avocat qui paraissait bien trop arrogant et déjà gagnant.

- Je vous prie maître, même au tribunal le juge ne vous autoriserai pas de telle question à une victime.
Calma le commissaire.

- Justement parlons-en quand Monsieur Deprun m'a relâché après deux semaines, et qu'il m'a tellement drogué que je n'ai aucun souvenir passé là bas, mais que mon corps peut témoigner de la violence qu'il a subis.
Intervenais-je.

- Vous n'avez aucune preuve !
S'énerva le représentant de Blake.

- Deux témoins m'ont retrouvé dans cet état au point où je ne savais plus faire grand chose c'était : Michael Jackson et son garde du corps Bill.
Me défendis-je.

- La question est peuvent-ils témoigner ?
Questionna le flic.

À ce moment je perdis mes moyens qu'allait dire Michael sachant que je venais de le balancer.

- Je... si ça reste confidentiel certainement.
Répondus-je sans vraiment savoir.

- Et Maria Boutin ainsi que Louisa Come ?
Demanda le chef policier.