Paris, Capitale du Désespoir

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Imaginé en revenant de la Paris Games Week,
Écrit après quelque whiskey (du bourbon pour ceux qui veulent critiquer).

Paris, de ton métro j'ai vu la mort.
Paris, dans tes entrailles j'ai vu leur sort.
Et puis, de cette fenêtre, j'ai versé là,
Une larme idéologique, une arme, hourra.

Paris tu pues la mort, le désespoir.
Et puis tu laisses dormir dans le noir,
Des gens qui semblent à mon miroir.
Paris, tu sues la haine, je hais te voir.

Mais jaillit l'idée d'humour, de fuir,
Paris, tu vires ces beaux hommes.
Paris, qui tire les belles pommes.
Je l'ai vu, couché, je l'ai vu mourrir.

Il était là
Il était las
Il mourrait là
Il couchait bas
Ils périssent
Ils pourissent
Ils méprisent
Ils médisent
Ils dorment et ils meurent!

Paris que fais tu ? Capital du capital
Paris corrompu, crotal qui détale...

Les Essais Poétiques De L'Oncle Steuregg Où les histoires vivent. Découvrez maintenant