chapitre 1 : tout n'est qu'un jeu.

55 1 0
                                    

Dans un bureau d'une société privée....

- papa, tu sais que tu peux me faire confiance. Répondit Une jeune femme aux longs cheveux bruns, aux yeux verts .
Elle était dans son bureau et jouait avec la corde du téléphone fixe .
- Biensur, que je te fais confiance, ma fille . Rétorqua la voix à l'autre bout du fils .
- pourquoi m'appelles tu alors à chaque moment pour me demander chaque chose par rapport à la société ou aux affaires. Sérieux papa ? Tu es dans un endroit paradisiaque. Tu sais que je t'envie ? Tu peux travailler et en même temps profiter des belles choses . Disa la jeune femme qui regardait un instant par la fenêtre .
- Lauren , je suis sûr que tu t ' amuses plus que moi . A mon âge, on se préserve, je suis juste venir pour les affaires et rien d'autres . Rétorqua son père .
- Papa, tu devrais te relâcher ! Attends il est ( regarda la montre à sa main droite ) ici il est 11h00 . Dit t elle. Là bas quelle heure est t'il ?
- il l' est 18h00 , ici, mais attends jeune fille, tu n' es pas censé avoir une réunion à 11h00 . Déclara t'il .
Lauren roula les yeux et rétorqua :
- J' ai réunion mais mon père est plus important et déjà qu'il est vieux jeu.
- je ne suis pas vieux jeu ! Je te rappelle que j' ai participé à te donner la vie . Disa son père, comiquement .
- Je suis au courant père mais sérieusement tu devrais te relâcher, tiens as tu déjà rencontré Mr chavez ? Dit t elle.
- je croyais que tu me pauserai jamais la question . Déclara Son père, à l'autre bout du fils .
- Sérieux, papa ! L'as tu rencontré ? Parce que si je me souviens bien j'ai un pari à gagner. Dit t elle.
- Décidément tu n'oublies rien, souvent tu me rappelles elle....
Il eut une pause, puis continua :
- Désolé , mais parfois te...
- je ne te comprends pas papa. Cette année, cela fera trois ans qu'elle nous a quitté. Déclara Lauren, qui essayait de rester forte .
- Le temps passe si vite, elle l' à toujours tant de grand projet pour toi. Je suis sûr qu' elle serait fière de la femme que tu es devenue aujourd'hui . Disa t'il.
- .... Oui, papa . Déclara Lauren qui ne put retenir ses larmes. Et le dimanche de la dernière semaine de ce mois, on fêtera l'anniversaire de sa mort .
- Je serai là. Bon ! Je dois te laisser la serveuse vient avec ma commande . Rétorqua son père .
Lauren essuya ses larmes, d'un rapide geste de mouchoir, ce dernier, elle le mit sur la table et elle retrouva le sourire à quelques instants .
- Dis moi papa, la serveuse est t'elle chaude ? Questionna t'elle , Lauren pouvait ressentit que son père roulait les yeux.
- Tu ne cesseras jamais de me surprendre quelques minutes auparavant tu pleurais maintenant tu es en mode playgirl . Dit son père. Et pour ton information, elle l'est décente .
Lauren éclata de rire à çà et répliqua :
- Décent ? Sérieux papa ? C'etait à l'époque de..... Louis IV, qu ' on disait celà.
- Comment connais tu Napoléon. Je pensais que tu n'aimais pas l'histoire . Déclara son père.
- Ce n'est pas dans un livre d'hisroire ou dans un musée que je l'ai connu. L'une des mes ex était française et aimait beaucoup ces choses, elle voulait être prof d'histoire . Rétorqua Lauren, assez naturellement .
- Ouah ! Ma fille est officiellement un playboy, moi qui pensait que ton ex était la top modèle Argentine. Dit t il.
- Oui, elle est une de mes ex également, papa. Déclara Lauren.
- je préfère ne pas te demander leur nombre, cela prendra un siècle pour que tu me dises le nom de tous tes ex . Disa son père.
- Très drôle, papa. Disa sarcastiquement Lauren.
- bref ! Mais pourquoi l'as tu quitté ? elle semblait être une gentille fille , toujours mieux que ta Dieu sait combien d' ex qui était boxeuse. Déclara t'il .
- Papa, pour une seule et même raison que les autres, une nuit, c'est amusant , puis tu as envie de davantage et puis ça devient lassant parce qu'elles veulent tous plus et sont comme sorte possessive et Adriana, n'était pas une boxeuse, son père possédait une sale de boxe, elle faisait le taikoindo. Déclara Lauren.
- Surprenant que tu te rappelles tant de choses par rapport à tes ex mais passons il faut que je raccroche et toi que tu sois à la réunion après ça. Disa son père .
- Papa, je serai à la réunion mais toi tu dois te lâcher. Tu es à Cuba, c'est le pays de la bonne vie, en profite en . Elle fit une pause de quelques secondes et reprit :
- Et arrête de dire que tu es vieux. Tu n'as que quarante ans. Je t'autorise à tout sauf à me ramener une fille enceinte. Je... Suis pas encors près à partager mon père avec un enfant pleurnichard et agaçant.
- Tu sais que tu as été un enfant et tu refusais les hommes qui voulaient te porter parce qu'ils trouvaient que tu étais un beau bébé , tu acceptais leur femme, Quand tu étais bébé, Je trouvai ça étrange mais maintenant, ça tout son sens. Disa son père.
- Que veux tu papa, la bête à toujours été en moi, en plus je suis irrésistible. Déclara Lauren.
- bon, je te laisse Lauren, tu sais que tu es terrible. Dit t il.
Lauren voulut raccrocher mais son père l'interrompit et dit :
- Et surtout évite de mettre toutes les filles de Chicago enceinte avant mon arrivée.
Lauren roula les yeux et juste après son père raccrocha. Elle elle eut juste le temps de replacer le téléphone fixe sur son combiné qu'elle suivit un bruit qui venait de la porte de son bureau : on frappait .
- Entrez ! Dit t elle.
Et une jeune femme vêtu d'une robe assez provoquante qui ne laissait pas de doute, son gloss si rouge rendait ses lèvres si pulpeuses et désirables .
Lauren sourit quand elle croisa son regard, Lauren se leva et alla à sa rencontre.
- je croyais que tu ne viendrais pas. Déclara Lauren qui déshabillait la jeune femme presque du regard .
Cette dernière le remarqua sourit et rétorqua :
- C'est à cause de John que Je suis en retard. Depuis quelques temps, il me harcèle avec son obsession de moi, le tromper. Déjà chacun qui me parle, me regarde est mon amant .
Lauren se rapprocha d'elle et lui caressa la joue, elle dit :
- Mon ami John est si jaloux mais il doit apprendre à partager ( elle descendit sa main jusqu' au niveau de la coupe et la caressa la peau de la jeune femme.
Celle ci émit des sons et regardant innocemment Lauren , elle lui dit :
- John, n'aimerait pas beaucoup , ce qu'on fait actuellement. Tu sais que je suis une femme fidèle Lauren.
Lauren sourit et poussa la jeune femme contre le mur, elle fut à peine le temps de réagir que Lauren la plaqua contre le mur, Lauren la regardait vraiment dans les yeux et d'un sourire pervers, elle lui dit :
- Tu es une telle slut pour moi . ( et se rapprochant de l'oreille de la jeune femme, Lauren murmura :
- je vais te marquer dans chaque partie de telle sorte que quand tu auras des rapports sexuels avec lui, il serra que sa si bonne femme est si cochonne pour moi)
La jeune femme grogna et susurra :
- Il n'appreciera pas beaucoup.
Lauren sourit malicieusement et morda le cou de la jeune femme qui émit un grognement
- Tu es à moi quand tu es avec moi, et maintenant je veux juste que la seule chose qui sort de cette belle bouche ( caressa de sa main les lèvres de la jeune femme) soit mon nom.
- Et tes employés ? Disa la jeune femme qui était déstabilisée par le souffle chaud de Lauren contre son cou .
Lauren se retira d'elle et la tirant par les cheveux , elle obligea à venir jusqu'à la table de son bureau.
Lauren poussa les dossiers autour puis obligea la jeune femme à s'asseoir sur la table puis elle se plaça entre les cuisses de la jeune femme qu'elle écarta, puis elle regarda la jeune femme qui prenait plaisir à çà, dévorait Lauren du regard, Lauren remarqua les lèvres qu' elle morda .
- Tu es une telle Slut ! Je vais te prendre si dur ! Te toucher ! Explorer chaque partie de ton corps que lorsque j'en aurais fini tu ne seras plus capable de marcher. Dit t elle.
Et la jeune femme grogna à çà et Lauren l'embrassa , leur baiser devenait de plus en plus langoureux , et une main de Lauren caressait la poitrine de la jeune femme , tandis que son autre main caressait l'une des cuisses de la jeune femme .

############################

Amérique du sud...

Havane , Cuba .

La nuit était tombé dans cette ville majestueuses , les rues étaient animés de vie et la circulation plutôt calme .
Dans un petit restaurant de la place.....

- Serveuse, si vous plaît, puis je avoir une autre boisson ? Déclara le père de Lauren qui interpella la serveuse qui devait être au moins cubaine, ces traits faciès la trahissaient , elle venait de dépasser sa table, cette dernière se retourna et leur regard se croisa, le père de Lauren eut un sourire gêné et la serveuse vint vers sa table.
Arborant un sourire amicale, elle lui dit :
- Vous ne devez pas être d'ici .
- je....
- Non, ne dites rien, je vais trouver, vous devez être américain et par vos manières polies, vous devez avoir les poches pleines. Ai je raison ? Disa t'elle .
Le père de Lauren sourit et regardant la serveuse droit dans les yeux, il lui dit :
- Vous avez tout juste.
Elle sourit et rétorqua :
- Comme pour ma récompense, vous m'invitez à danser.
Le père de Lauren regarda surpris et semblait embarasser, la jeune femme le remarqua et dit aussitôt :
- Je blagues ! Détendez vous !
Le père de Lauren força un sourire , il savait que sa fille, si elle était là l'aurait dit :
- d'y aller ! Mais depuis la mort de sa femme, il ne pense plus vraiment avoir le temps pour une conquête, il l'avait passé l'âge .
- je vous ramène une autre boisson, l'étranger . Déclara la jeune femme, qui l'interrompit dans ses pensées, il acquiesça de la tête : puis lorsqu' elle s'éloigna , il l'interpella et elle se tourna immédiatement vers lui.
En croisant ses yeux, il fut inoptisé .
- Oui ? Disa la serveuse.
Sa voix le sortit de ses pensées et il rétorqua :
- Je... Quel est ton nom ?
Puis se pausant un moment, il fût embarassé par sa question et répliqua aussitôt :
- Ne te sens pas obliger... Si... Maintenant je bèguais ! Lauren à sans doute raison. Pensa t'il .
- Camila . Entendit t'il ,
Surpris il répliqua :
- mmh ?
- Camila, c'est mon prénom . Répondit t'elle , le sourire aux lèvres .
Puis après un moment elle dit :
- Et vous ?
Il fût surpris par la question mais répondit aussitôt .
- Alberto .
-  Alberto . Répéta Camila . C'est un beau prénom .
Puis elle partit .
Le père de Lauren dit rêveusement :
- Camila .











Prochain chapitre ! 🤠
Et certaines choses vont être modifiées pour l'histoire . Le père de Lauren pour cette histoire s' appelle Alberto .

les fleurs meurent en automne  . Où les histoires vivent. Découvrez maintenant