L'endroit où l'on m'a amené m'est tout à fait étranger. Je me trouve au sommet d'une colline verdoyante en amont d'une vallée faite de petits bois et de rivières. Le calme et le silence profonds qui pèsent sur ce monde le rendent irréel. Seul le mouvement des branches agitées au loin par le vent me prouve le contraire. Je réalise alors que je suis enfermée par une barrière d'énergie générée par les Lyrims, les êtres Purs qui appartiennent au à l'au - delà. Leur fondement se base sur la force intérieure et l'énergie. Ils veulent me canaliser avant de venir à ma rencontre mais je ne leur ferai pas ce plaisir. Un jour je reviendrai et ils subiront ma vengeance. Le temps sur Terre sera court et je compte bien revenir. En attendant j'irai voir ces pauvres humains en me faisant un malin plaisir à torturer leurs âmes. J je me delecte d'avance en imaginant leurs corps déchiquetés... Mes pensées furent interrompues par l'apparition d'un vortex à juste quelques mètres de moi.
Un Larym se tenait à l'entrée et me fit signe d'y entrer. Je ne bougeais pas. "Soit. C'est donc la mort que vous choisissez . " Aussitôt je me jetais sur cet être infâme mais ne l'atteignis pas...Celui-ci n'était pas réel. C'était une simple image. Aussitôt Je je poussait un cri de rage en frappant le sol avec mon poing, celui se mit à trembler. Je me relevais, cherchant une solution pour m'échapper lorsque je compris l'origine de la secousse. Une armée de soldats blancs arrivaient sur de grands chevaux. Ceux-ci s'arrêtèrent à l'entrée du vortex, mirent un pied à terre et curieusement traversèrent sans problème le champ magnétique. Je me ruais sur eux, mais l'un d'eux m'attrapa le bras et d'un geste...me brisa les os. Je compris aussitôt que je n'avais aucune chance de m'en sortir face à de tels êtres. Je couru et entra dans le vortex.
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Tout peux changer
ParanormalOn m'a souvent demandé : " de quoi as-tu peur ? " La plupart des personnes censées répondraient qu'elles ont peur des araignées, des serpents, du noir, des monstres ou bien encore de la mort.. Mais moi, ce qui m'effrayait le plus où plutôt ce que je...