Je me sens vide... Tellement vide...
Il est 3h du matin il pleut. Alors que tout le monde est endormi, je suis la et je domine le monde. La nuit. Cette magnifique nuit, pour certain c'est un long sommeil qui commence pour d'autre c'est le monde inversé. Les lumières de la ville reflètent dans les yeux. Ces yeux qui me disent " ne t'en va pas ".
Je m'en vais pour vous rejoindre, j'arrive. J'arrive et dans quel que heure je serais de nouveau parmis vous. N'est ce pas une bonne nouvelle que de savoir ses proches près de vous.Pardon.
Mais pardon à qui ? Est-ce que quel qu'un ici ne veut pas me voir partir ? Les gens de mon immeuble, les gens de la ville ou bien même les gens de l'université.
Personne.
Il n'y a personne pour qui je compte dans ce bas monde alors pourquoi rester ? Pourquoi ne pas monter la haut et peut être que je rencontrerai des gens à qui parler. Je veux rester encore. Encore une heure à regarder cette nuit illuminé des lampadaires de la ville.
" Pour dans pas longtemps ".
Sur le toit j'avance.
J'ai froid, j'ai peur, j'en peu plus je veux partir. Je me sens vide. Le vide que tu as laissé quand tu es parti. Ce vide je le ressens à chaque fois que je regarde nos photos, que je relis nos messages. Chaque fois que je pense à toi je suis pris de violents tremblement et à chaque fois je m'écroule au sol, en pleurs.
" C'EST DE TA FAUTE TOUS SA POURQUOI TU ES PARTI ? Pourquoi tu m'a laissé toute seule ? Reviens mon amour, reviens moi, tu me manque tellement ". Nous étions tellement heureux. Ma famille aussi. Ma mère, mon père. J'avais une meilleure amie et le meilleur des petit copain.
Elle est venue, et sur son passage elle m'a tout prise. J'ai la hais, je la hais tellement. Je vous hais tous. Tous à sourire, tous à être heureux, tous à être en vie. Lorsque j'étais petite on m'a demandé qu'es ce que je voulais être plus tard, j'ai répondu être heureuse, les enseignants mon dit que je ne comprenais pas la question, j'ai répondu qu'il ne comprenait pas la vie. Maintenant se que je veux c'est juste les revoir, qu'ils soient tous la pour fêter mon 17 ème anniversaire. Je n'ai plus rien, j'ai tout perdu.
Avant de sauter j'ai fais un bilan de ma vie. Tous se que je retiens : de la haine, du dégoût, du mépris, des larmes. Beaucoup de larmes. Des morts beaucoup de morts. Accompagné de tout ça, la dépression.Nous étions le 20 janvier et se jour là le début de la tragédie. Ma tragédie. Ma mère, mon père. Il revenait de vacances quand un automobiliste ivre les a percutés. Le 21 m'a meilleur amie est morte dans un avion, ils ont eu un problèmes avec je ne sais quoi, je n'ai même pas voulu savoir. En tout cas le lendemain j'ai vus au infos l'avion qui était écrasé quel que part sur le globe. Le 23... Je ne veux même pas y penser. C'est sans doute le souvenir le plus douloureux. Il était à côté de moi et d'une seconde à l'autre il est parti. Sans même m'avertir, sans même me dire au revoir.
Ma vie depuis toute petite jusqu'à maintenant n'a pas cessé d'être un enfer. Au collège lorsqu'on m'harcelait. Au lycée lorsque des mauvaises personnes me prenais comme leur souffre douleur. Maintenant ça ne fait plus mal.
Seul leur absence me fait mal. Je pourrai me faire torturer pendant des jours, ne pas manger ou encore tout recommencer mes années de lycée et de collège, même ça ne me ferais pas mal.Après ce petit bilan de cette vie complètement merdique je vais sauter et en finir. Je pourrais enfin les retrouver.
" J'arrive mon amour ", " tu m'a manqué ".
Je m'élance et au moment ou je veux sauter des bras m'entoure. On me porte comme une princesse.Non, non NON. Pourquoi ? J'allais en finir, j'allais les rejoindre, alors pourquoi.
La seule réponse que je reçu et un doux sourire. L'homme m'avais porté et m'a emmené à l'intérieur. Je ne sais pas ou nous sommes mais peut m'importe. Laisser moi partir c'est tout ce que je demande.*Le lendemain*
Je me réveille dans un lit, il fait jour. Il doit être un peu près 11h. Je me lève tellement brusquement que j'en ai des vertiges. Je reprend mes esprits et me dirige vers la porte. J'ouvre discrètement et sort de la chambre pour atterrir dans le couloir.
Un homme apparaît. Nous faisons connaissance et il me propose quel que chose. 100 jours. 100 jours pour essayer de me faire rester dans ce monde. Quel que part, je n'ai pas du tout envie, je veux partir et rapidement mais si sa peut rendre heureuse une personne en faisant ceci peut être que ça vaut le coup.
Non. Je ne doit pas penser au autre je doit penser qu'à moi. Si je pense au autre c'est que je me suis attaché, si je me suis attaché c'est que je vais forcément être blessé. Alors non je ne vais pas rester plus longtemps. Je prend mes chaussure et m'apprête à sortir quand mon voisin m'arrête pour me demander ma réponse. Je baise la tête et je lui répond que je part pour de bon ce soir. Il a l'air triste mais je pense qu'il a compris mon choix.Je ne penser pas que ma réponse aller faire de ma vie une vie meilleure. Il m'a simplement siffler ces mots. Ces mots qui résonne encore dans ma tête "prend au moins un petit déjeuner avec moi".
Après ça je ne voyais plus tout en noir, même si tous n'étais pas rose, il a réussi à me faire changer, il a réussi à me faire sourire, à me faire devenir une femme heureuse et pleins de rêve comme autrefois. J'ai beaucoup ris et comme autrefois j'aime la vie.
J'ai cessé de pleurer ou du moins j'ai essayer. Les premiers jours j'étais toujours tenté d'en finir, mais il a réussi à me faire relever la tête et aujourd'hui je me suis relevé et, je marche droit devant moi sans jamais me retourner. Il faut vivre l'instant présent et ne plus regarder en arrière. Si dans le passé nous avons pu faire des erreurs le futur nous aide à avancer la tête haute.************************************************************************

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Короткий рассказ《Il est 3h du matin il pleut. Alors que tous le monde est endormi, je suis la et je domine le monde. La nuit. Cette magnifique nuit, pour certain c'est un long sommeil qui commence pour d'autre c'est le monde inversé. Les lumières de la villes reflè...