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J'ajoute une dernière couche de fond de teint sur ce bleu causé par le connard autrement nommé mon père. Il n'est pas méchante seulement lorsque ca pute de "collègue" (son plan cul) vient a la maison il doit être un homme un vrai et un vrai homme ne se laisse pas dicter par ca gamine de 17 ans voyons tout le monde sait cela. J'enfile mon manteau et chausse mes souliers puis descend les escaliers.

-princesse vient ici.

je soupire puis me dirige vers mon père.

-je ne pense pas rentrer ce soir je dois aller arranger des trucs avec Jackson. il a encore eu des problème à faire passer la marchandise donc ne m'attend pas.

il dépose un chaste baiser sur mon front puis m'ébouriffe les cheveux. je lui souris et par pour l'école. sur mon chemin je me demande ce que mon père a bien pu faire passer la frontière cette fois ci. La semaine dernière c'était des armes, il y a un mois c'était des femmes de mon âge environ prête à être revendue. pfff je m'en fou de toute façon la seul fois ou je l'ai menacer d'aller tout balancer a la police j'ai un les deux bras caser et les jambes bourrer de bleus et je me suis fait enfermer dans le placard, donc ça m'a fait passer l'envi d'aller en parler a qui conque et puis sachant que ce qu'il m'avait fait subir n'était qu'un avertissement et je le sais qu'il peut faire pire. je ne suis pas conne quand son père est le chef d'un des gang les plus réputer dans Séoul tu ne fais exciperai de le provoquer.

J'étais enfin arrivé à l'école. je me rendis directement à ma classe et m'assit a la place du fond comme ça j'ai la paix et je peux faire ce que je veux et les profs me fond pas chier. le prof rentre et commença son cours.

*ellipse du cours*

je traça une nouvelle ligne sur ma cuisse plus profonde que la précédente. ma jambes avait des spasme mais je n'en fis rien la douleur est l'une des seul chose qui me permet de me sentir humain, de savoir que je suis vivante et qui me permet de m'évader d'un monde dont je n'ai pas ma place.

la cloche sonna. J'applique du papier de toilette pour absorber le liquide rouge et remonta mes pantalon pour me diriger dans mon cours. le prof nous parla de sa femme qui venait d'accoucher durant tout le cours. il avait nommé ca fille comme ma mère Cho. me cœur ce serra a cette penser. ma mère était morte quand j'avais 5ans donc les souvenir son flou mais elle me manque. Elle est morte d'un cancer des poumons. je me considère chanceuse puisque je n'ai aucune souvenir d'elle lorsqu'elle était malade.

Les grosses mains de mon prof venait de rencontrer mon bureau ce qui avait causé un son plus que puissant. Je ne sourcillai points a quoi lui porter attention.

-Ma demoiselle Jennie dit le si je suis ennuyant.

-enfaite je n'osais pas vous le dire mais comme vous m'en donner le droit. Oui vous l'est. Je m'en fou de savoir que votre fille s'appelle Cho que votre femme avait pleuré de joie quand a la tenue dans ses bras pour la première fois je m'en fou et tout le monde s'en il n'on seulement pas le culot de vous le dire.

il me regarda choquer. ma un mots sorti de sa bouche. il tenta de dire quelque chose mais je le devança. Je pris mon sac et sorti de la classe. Tous les yeux étaient river sur moi. Le prof ce mis à hurler mon nom pour que je reviens mais je ne l'écoutais plus. J'étais déjà dans mon monde ou le silence régnait tout comme la noirceur.

Je marchais déjà depuis un moment sans aucune idée de où me menait mes pieds. Épuiser je m'arrêtai devant un vielle immeuble délabrer. Lisa me pris la main et me tirer vers l'immeuble. Elle s'arrêta devant moi me sourire puis disparue. J'ouvris la porte et monta les escaliers qui menait au toit. Je m'assis sur le rebord laissant mes pieds dans le vide et je contemplai la ville. Lisa me parlai de ce que je pourrais faire comme sauter du toit ou je pourrais m'ouvrir les veine ici sur le toit et puis pleins d'autre chose mais je ne l'écoutais pas j'étais absorber par la ville.

-je sais bien que tu ne m'écoute pas mais je voulais te dire que je ne veux pas te faire du mal je veux seulement ton bien et je sais que tu seras mieux dans mon monde et je sais que tu le pense aussi car je t'entends le dire quand tu t'inflige ces blessure sur ta cuisse tu le murmure si bas que les gens de ton monde ne l'entend pas mais moi je l'entends viens avec moi.

Une larme coule sur ma joue. Je voudrais bien partir avec elle mais je le sais que si je pars elle partira aussi et je ne l'entendrais plus jamais me parler et je ne la verrai plus jamais. Elle n'en semble pas consciente mais elle fait partie de moi.

je me releva, sorti du bâtiment et pris ladirection de la maison    

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voila voila bon il est plustot boffe mais bon il fau bien commencer quelque parts question autre je repond ;) au plaisir de vous revoir. 

dreamerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant