Chapitre 1: Le début ou la fin

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Moi, c'est Peter et ce que vous allez lire est l'histoire de ma vie.

Tout commence à Nice, en cette année 3017 je suis élève dans un collège d'on je ne dirais pas le nom, j'ai 12 ans et demi et je suis né le 05/03/3005.

Ce matin c'était la veille du nouvel an, je m'étais levé très tôt car nous partons dans la montagne faire une randonnée pour « s'aérer un peu » comme disais maman. Comme d'habitude les montagnes du Mercantour était magnifique pourtant je n'étais pas très attentif aux paysages qui m'étais peut-être trop familiers, les tensions entre les états me préoccupaient. Ce n'est qu'a l'heure du pic Nic que je commençais à prendre gout à la beauté du paysage et à la souffrance dans la descente. Finalement je n'avais ramené de cette balade que des courbatures que j'allais devoir porter pour le nouvel an.

Le lendemain nous passâmes toute la journée chez nos cousins. A minuit moins une, la moitié des enfants étaient endormis. 15 secondes avant minuit pile, les adultes commencèrent à chanter le compte à rebours puis crièrent « bonne année » ce qui dut réveiller tout l'immeuble.

La fin des vacances fut sans évènement important, nous étions tous préoccupés par la rentrée.

Puis le début d'un grand désastre arriva, un jour horrible ou je perdis ma famille, mon foyer et presque tous mes proches. Ce jour fut prédit par un lundi en plein court de math et la dernière heure de la journée.

Tout d'abord il y eu des éclats de voix du côté de l'entrée mais, comme nous étions en cours, personne n'y fit attention jusqu'au moment où nous entendîmes des coups de feu toute la classe se leva et se mit à courir dans tous les sens, sauf moi et quelque autres qui se mirent sous leurs tables pour se cacher comme nous avaient enseignés nos professeurs dans le plan Vigipirate.

Cela peut être considéré comme de l'égoïsme, mais pour ma part c'était une marque d'intelligence.

A peine m'étais-je mit sous ma table qu'ils entraient, des hommes habillés de noir avec une cagoule et une mitraillette tirant sur tous ceux qui était debout. Je fis mine d'être mort en ferment les yeux heureusement pour moi, le bruit s'arrêta vite laissant place à un silence de mort. Je retenais ma respiration pour ne pas qu'on me remarque. Après quelque seconde, j'entendis une voie masculine dire quelque chose dans une langue qui m'était inconnue puis des bruits de pas qui s'éloignaient et enfin plus rien. Je me permis de respirer puis ensuite d'ouvrir les yeux.

Ce que je vis m'horrifia : c'était un véritable bain de sang, des corps gisaient, parfois adossé contre des tables ou à moitié debout. Terrifié, je me relevais brusquement et me cognais la tête à ma table...

Je me réveillé sans comprendre ce qui s'était passé après cela. Tout autour de moi était blanc, j'entendais des voies qui disaient :

- « Il n'a pas été touché, il a dû s'évanouir.

- Il va se réveiller, ne vous inquiété pas. »

Je me rendis alors conte que j'étais dans un hôpital, que ces voies étaient celles d'infirmières et qu'elles parlaient de moi.

- « Tiens, il se réveille.

- Bonjour, je m'appelle Agnès.

- Et moi, Sara. Comment t'appelle-tu ?»

Je les regardais puis je leurs répondis :

- Je m'appelle Peter. Que m'est-il arrivé ?

- Tu es un des survivant à l'attentat qui s'est produit dans ton collège. Les autres de ta classe son aussi ici. Vous avez eu un très bon réflexe de vous protégez, tes parents sont là avec tes sœurs, ils veulent te voir.

- Bonjour Peter, nous sommes très contents de te revoir Camille n'a heureusement pas assisté à l'attentat car elle au théâtre avec sa classe tu n'as donc pas à t'inquiéter.

Après cela, tous me dire leurs mécontentements sur cette violence gratuite et meurtrière, puis mes parents m'expliquèrent que moi et les élèves qui avaient survécu allions être transféré dans un autre collège près de notre ancien et que nous pourrons choisir avec qui nous serons.

Comme je n'étais pas blessé, je devais retourner à l'école le lendemain avec d'autre de ma classe. Parmi ceux-là se trouvait et Lucien. C'était un garçon intelligent, très grand et un ami que je m'étais fait en début d'année. Il aimait marcher, courir et surtout jouer aux jeux vidéo. Il en avait plusieurs comme : Star Wars Battlefront 4 ou Rome Total War 4. Il était sympathique et j'étais très content de savoir qu'il était vivant.

Une fois rentré chez moi je mis de la musique pour me reposer un peu de tous ces évènements, quand tout d'un coup, la musique s'arrêta et on entendit :

- « Bonjour, la guerre a été déclaré par la Russie après que le Président de la République l'ait accusé d'être à la tête de l'organisation terroriste qui a tué les élèves d'un collège français niçois. Tous les français en âge de se battre doivent aller s'engager dans le poste le plus proche de leur domicile. »

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 31, 2018 ⏰

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