Mauvaise Influance ~ Chapitre I

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Dans la grande maison situé à Follos, la maison au style américain et impécable, je me réveil pour une nouvelle journée. Une nouvelle journée, seul. Je me douche, me brosse les dents et m'habille pour enfin passé une heure à faire en sorte que mes cheveux soit impéccable. Je dois être parfaite pour ma mère. Depuis que mes parents on divorcer, ma mère s'est encore refermé, déjà qu'elle n'étais pas très ouverte. Alors j'ai décidé de devenir parfaite pour qu'elle soit plus tranquile, heureuse et fière de moi. Ma mère est une chirurgienne très réputé dans le milieu médical. C'est pour celà que je vis plutôt aisément.

Replaçant encore et encore la raie de mes cheveux qui n'est toujours pas parfaite, je perçois la vois de ma mère.

-"Chérie, tu es prête?" Finalement, je réussis ma raie.

-"Oui! J'arrive mère!"Non, pas maman. Se serais trop grossier et si je veux devenir parfaite au yeux de ma mère, il faus que je m'y mette à fond. Donc, pas de maman, pas de m'man, pas m'ma's et encors moin mamimounette d'amour, alors là, autant me couper la tête directement.

Je descends les marches de l'escalier en marbre blanc recouvert d'un tapis rouge. Arriver devant la table à manger, j'y trouve ma mère dégustant un café en étudient quelques dossiers. Je me prépare un bol de "spécial K" et m'assois devant ma mère. Pas loin d'elle, sur la table se trouve le journale quotidiens de Follos. Terminant de mâcher et après avoir avaler, j'ose demander.

-"De bonne nouvelle à Follos?" Ma mère lâche un soupire. Je n'aurais peut être pas dus en fin de compte. Sans quitté des yeux le dossier du passiant "Benna Yanis" d'ont j'ai pus voir le nom sur le dossiers, elle me répond.

-"Plutôt mal, un accident, des morts... Que veut tu? Le monde va mal ma fille. À en croire que les démons se lâche sur le monde et particulièrement, sur cette ville." Elle dit sa dernière phrase en baissant le ton à chaque mots et en plissant les yeux, voyant surmant une anomalie dans le dossier de "Benna Yanis". Elle déplisse finalement les yeux et tourne la tête vers moi.

Ma mère est toujours impeccable. Impeccablement coiffé, impeccablement maquillé, habillé... Elle est toujours impeccable, parfaite. Tendis que moi, c'est pas encore sa.

-"On n'y vas?" J'hoche la tête et vais ranger mon bol ou il ne reste que quelque goute de lait au fond . Arrangant mes cheveux une dernière fois, je monte dans le 4x4 gris, mon sac de cour en main.

Nous traversons les rues, longant les maison qui se ressemble, les mêmes buissons de rose et toujours la même pelousent bien verte. Les voisins sourians vous salut en arrosant leurs hais. Les commèrent du quartiers se réunissent pour parler de leur nouveaux voisins. Attendez... Des nouveaux voisins?!

-"Il semblent que nous ayont de nouveaux voisins." dis-je en regardant droit devant moi à ma mère.

-"J'espère juste qu'il ne dérangerons pas la tranquilité du quartier. Et qu'ils n'ais pas de petit voyout comme enfant." Ma mère tournas à gauche, sur la rue St Macquès et nous passâme devant l'église.

-"Ils ont des enfants?"

-"Oui. En tout cas, un de ton age. D'ailleur, cette semaine il y a eu pas mal d'eménagemant et d'inscription dans ton lycée. Tiens, j'ai oubliée de dire au prêtre Marc que je ne pourrais venir à la messe dimanche, j'ai un passiant à opérer d'urgance. Tu lui diras?"

-"Pas de problème."

Donc, il y as des nouveaux au lycée. Je me demandent pourquoi ils arrivent tous d'un coup et comme sa, sortie de nul part! Se sont peut être des voyous, des malfras ou des brigans venue troublé la paix déjà mouvementé de notre petite ville.

Enfin, qui suis-je pour me permettre de juger. Qui sais, se sont peut être de bonne personnes. C'est peut être juste un hasard. Après tout, on dit que "le hasard fait bien les choses". Je dois rester confiante et croire en notre Seigneur qui nous protège.

Pourquoi je me m'ais à prier tout d'un coup? C'est comme si j'en avais besoins... Oublions sa.

Ma mère s'arrête devant la grille de ce que les adolescents surnome "L'enfer". J'embrasse ma mère et sort pour aller dans le bâtiment gris. Une fois dans le couloir remplis de divers sorte d'adolescent, comme les filles dégageant une grande dose de phéromone, les garçons au habils trop moulant, ceux collé à leur PSP ou encore, celle qui on soif de ragot... Passant devant eux sans un regard, en traversant se couloir, je me suis plusieurs fois fais bousculé intentionnellement. Je ne suis pas très apprécier. Etant la petite intello trop parfaite on ne daigne pas vraiment venir me voir. Mais je laisse couler. Arriver devant la petite porte rectangulère du casier bleu en fer, j'enfonce ma clé et me rend compte que le cadenas à été forcer. Super. J'ouvre alors la petite porte sans peine mais rien n'a changer. Tout est rester intacte. Bon, t'en pis. J'aissais out de même de désler un piège, on ne sait jamais. Rien. On n'a du se tromper de casier. Je prends mon livre de français, celui de physique et celui d'histoire et les rangent dans mon casier. Je ferme le casier et voie un jeune homme à coter de moi. Il fais je-ne-sais-quoi les mains dans le casier habituellement vide. Il le range? Le nettoie? S'installe paut être... Et puis, sa ne me regarde pas. Mais se doit être un de ses nouveaux qui ont emménager. Je devrais au moin lui souhété la bienvenue.

-"Bonjour. Tu es un des nouveaux n'est ce pas? Je te souhaite la bienvenue à Balzac. Si tu as besoins d'aide pour rattraper les cours ou que tu n'arrive pas à comprendre certaines choses ou autre, tu peux me demander." Je lui fais un sourire courtoix.

Il tourne sont regard sur moi. Sont regard d'un bleu nuit absolument superbe. Il y avait aussi quelques pointes de rouge dans son regard. Il à aussi un petit sourir un peu pervers et diabolique sur le visage. Ce genre de personnes sont pour moi, m'épprisable et infréquentable. Mais ce n'est pas pour sa que je vais être impolie, ou grossière avec lui. Et puis, comme on dit: "On ne juge pas un livre à sa couvertur". Il se tourne finallement vers moi et m'offre un sourir particulièrement étrange. Un mélange entre la sournoiserie, le sadisme, l'indiférendce, la froideur,...

-"Bonjour. Je suis bien un des nouveaux, je m'appelle Florian Heutson. Enchanter de te rencantré."

-"Excuse moi je ne me suis pas présenté, je m'appelle..." Il m'a pris la main et ma fais un baise main. Mais... Mais c'est quoi ce délire?! Il est pas bien?! "...Jessica. Mais qu'est ce que tu..."

Il m'a fais un sourir et est partie. Il est vraiment gouflé celui là! Calme toi Jessica, calme toi. Je souffle un bon coup. Je m'apprète à patire mais Angela Stans, une "populaire", surrement la futur reine du lycée et véritable conasse. Malgré ses aires de petites fille sainte et très bien élevé, c'est une véritable putain qui fais de sal coup à tous ceux qui sont sur sont passage. Seulement là, c'est elle qui est sur mon passages.

-"Alors microbe, on drague les beaux gosse maintenant? Alors sache une chose, lui, c'est derénavant ma propriété. Pas touche capiche?"

-"Capiche."

A quoi bon me créé des ennuis alors que je ne drague pas et que ce gars ne m'inspire aucunement confiance? Se serais idiot. Et je ne suis pas idiote. Elle passe en me bousculant. Je vais finallemant en coure. Que dirais donc ma mère si je séchais les coures? Tous mes efforts serais réduits à néant. Pas questions. J'entre en cour et m'assois au milieu, devant, au premier rang. Le cour passe lentement et je répond à chaque quéstions qu'on me pose ou qu'on pose, ma main est presque toujours lever et je prends des notes, des notes et des notes. Je suis, comme vous avez pus le comprendre, une élève plus qu'assidue. Les heures passe et voilà enfin la pause. Je me dirige vers les toilettes des filles. J'entre dans une des cabines et prend bien soin à la fermer. Je sort de mon sac un petite Ipod avec des écouteures et les enfonces dans mes oreilles. Montant le son, j'appuis sur start et du rock explose dans mes oreilles. J'ai avant pris bien le temps de fair en sorte que personnes ne remarque ma présence.

Ma mère n'est pas au courant de cette petite passion pour le rock. J'ai acheter cette Ipod avec mes économies. Si ma mère savais que j'écoute du rock, elle me blâmerais. Mais il me faut quelque chose pour libérer la rage et toute les émotions en moi. Touts ses moments ou je me suis privée de crier, de pleuré. Oui, le rock est libérateur. Un bruit régulier et métalique m'annonce la reprise des cours. Je range mes afferts avant de soufflé et retourné à ma routine quotidienne.

Mauvaise InfluenceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant