Epilogue

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La musique est importante autant pour l'ambiance que pour la fille de cette histoire.

Pdv extérieur

La jeune fille étant assise sur son canapé c'est Alice. La tête reposant sur le dossier. Elle se détend, essaye d'oublier tout ses problèmes.

La musique l'envahissante. Elle était joyeuse et si triste en même temp.

Son meilleur ami ne vas pas bien... Mais pas bien du tout. C'est quelqu'un de très important dans sa vie.

Il est le seul à ne pas la prendre pour une folle par rapport aux voix qu'elle entend. Le seul en qui elle a vraiment confiance. Mais son ami n'est pas en bon état...

Tout ce qui se passe dans sa vie est tellement compliqué.

Tu es tellement idiote tu devrais mourir.

Elle ne veux plus les entendre. Ces voix qui la suive ou qu'elle aille. Il y a bien ce garçon qui lui plait. Ils se sont déjà embrasser, et se font des câlins tout le temp. Mais ils ne sont pas en couple pour autant.

En fait leur relation est plutôt ambiguë.

Il la fait sourire, lui fait tout oublier.

Elle releva la tête pour poser son regard sur les objets se trouvant sur sa table.

Vas y. Fais le.

Devait-elle les écouter ?

Elle se penche et vide la plaquette de je ne sais quel médicament sur la table. Elle pris le verre d'eau et les avala un par un.

Elle repose le verre une fois ceci fais puis se laisse glisser par terre devant sa table.

Elle tend le bras vers la table et attrape le couteau papillons. Ce couteau qui a tant de significations.

Elle posa le bout de la lame à l'intérieur de son poignet.

Aller fait le. Ça fait longtemps que ça devrait être fait.

Meurs

Crève

Salope

Tout le monde te déteste.

Même lui.

Tu n'as jamais mérité de vivre.

Si tu avait eu la maladie génétique de ta mère jamais ta sœur ne l'aurai eu.

Une chance sur deux ? Ta sœur à payer le prix de ta chance.

Toutes les voix lui parlait en même temp. C'était un enfer... Elle voulait les faire taire. Et elle savait comment.

La lame s'enfonça dans son bras. Elle appuya et traça un trait profond le long de son avant bras. Elle serrait les dents et quelques gémissement lui échappait ainsi que des larmes, malgré que les médicaments pris précédemment l'aidait à divaguer.

Elle laissa tomber le couteaux. Elle entendais des coups.

Comme si quelqu'un défonçait sa porte.

Serait-ce ces voix ? Elle veulent rentrer ? Ou fuir ?

Ses yeux fermer.

Son pouls ralenti.

Sa respiration faible.

Les voix ne parlait plus.

Dépression... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant