- Bonjour Harry.
La jeune Fleur avait lancé cette phrase de politesse le plus doucement du monde, le bouclé caressait les touches du piano, le regard dans la vague, ses yeux étaient rouge les traces de larmes encore présente. Depuis plusieurs semaines Fleur le retrouvait dans ce piteuse état, il semblait se mourir à petit feu et elle ressentait une grande peine pour lui. Elle aurait voulu le prendre dans ces bras, le sérré fort à l'en étouffer mais elle s'en sentait tout simplement imcapable, sinon , à coup sur ,elle fondrait en larmes à son tour tel un torrant. Mais elle ne s'attendait pas à ce que le jeune homme l'invite à s'assoir près de lui, sur le siège en bois si inconfortable. Et surprise elle le rejoignit, baissant le regard pour ne pas exploser.
- Je suis tellement désolé, tellement... Si tu savais.
Il posa une main compatissante sur le genoux de la rousse couvert simplemnt du tissu de sa robe beige pour la rassurer. A ce moment là, Fleur sentit ces yeux lui brûler, la tirailler. Elle secoua la tête de droite à gauche, ces cheveux ondulés volant par la même occasion,juste pour se vider la tête de toutes ondes négatives, sans grand succès. Sa respiration se fit plus brûte, appuyant sur sa cage toracique et compressant son coeur. Comment celà avait il put se produire? Comment les autres faisaient ils pour tenir? D'un coup, Fleur les trouvaient égoistes et repoussant avec leurs bonnes manières et leurs faux sourires, ils la dégoutaient et la rage faisait place à la tristesse. C'est avec violence qu'elle frappa le piano dont une mélodie macabre jailli. Elle se leva du tabouret en un saut et se mit à faire les cents pas dans la pièce.
- Hooo, tu n'y es pour rien Harrold, ce n'est n'y ta faute n'y la mienne. C'est juste eux, ils ont préféré se déchirer alors que la solution était à porter de leurs mains. Et bein entendu, qu'ont ils gagné en échange? Rien, strictement rien. Leur minable rêve de famille parfaite, pouf... envolé aussi vite qu'il était arrivé. Nick avec d'ailleur. Il en avait tellement marre qu'il a préféré se pendre; au fond, il est bien mieux ou il est et il doit bien rigoler en ce moment. Mais tu sais coi? Moi, je ne suis pas une lâche, je ne laisserais pas les gens que j'aime ce tuer. Non, non, non... Je vais me sauver, partir loin, personne ne me reverra. Je vais vivre, qu'importe l'endroit, je disparaitrais de leurs vie.
Mot de l'auteur: Ce prologue est loin d'être génial et j'espère sincérement m'améliorer. Je tiens à m'excuser pour les piteuses fautes d'orthographes, je croise les doights pour que vous n'y faisiez pas attention, du moin, le moin possible. Coi qu'il en soit, que vos pensez soit négatifs ou positifs, je vous souhaite une bonne nuit ou une bonne journée.
Biasés fleuries.