Tout était noir.
Rien que du vide, l'obscurité.
Le loup ne savais plus ou il se trouvais. Il fouilla dans ses souvenirs, mais sa mémoire était vide, il ne se rappelais même plus de son nom. Ce fut a cet instant qu'un immense portail s'ouvrit , laissant place a la lumière. Une lumière aveuglante. Le loup ne voulut pas se cacher les yeux , il craignait de se retrouver encore dans l'abysse. Il fut happé dans un tourbillon de couleurs, de formes, d'âmes. Un bourdonnement lui rentra dans les oreilles, tel une profonde inspiration . Des fragments d'esprits s'entremêlèrent, s'assemblant afin de créer un écran noir. Quand l'écran s'étendit au point de l'entourer , tout bruit et mouvement cessa, avant d'exploser avec une telle force que le loup se replia sur lui même. Et puis plus rien.
Plus un bruit.
Plus de lumière.
Il paniqua lorsqu'il réouvrir les yeux et de retrouva dans l'obscurité. Mais quelque chose avais changé. Il y avais de l'air autour de lui. Il n'étais pas le rien. Et il pris conscience des frontières de son corps, de sa forme. Il couina; il était entouré de ronces. En essayant de s'y fregnier un passage , il fut attiré par un bruit. Un croassement rauque, suivi de craquements de branches. Il avança tant bien que mal vers le bruit et se retrouva face a un corbeau. L'oiseau était prisonnier des ronces et battais furieusement des ailes , en vain. Il était piégé , comme lui. Le loup s'approcha du corbeau , qui cessa de se débattre et le fixa. Très prudemment , le loup tendis la patte afin d'écarter les épines. Il se servit de ses crocs pour en trancher certaines , grimaçant de douleur. L'oiseau réussit a se dégager, mais ne s'envola pas pour autant.
"- Qu'est ce que tu attend ? Part ! Envole toi ! Toi qui peut t'enfuir, fait le! fit le loup.
-Crowa! lui repondit l'oiseau.
Il s'approcha de son museau, et le loup remarqua que son aile droite pendais mollement.
-Oh... ton aile est cassée... je ne suis malheureusement pas en mesure de t'aider, mon ami.
Le loup se retourna et contempla avec tristesse son corps mutilé, tailladé par les ronces.
-Nous sommes tout les deux condamnés a agoniser ici. soupira t'il.
-Croow..." fit tristement le corbeau.
Il sautilla avec peine sur les épines jusqu'à la tête du loup, et se recrovilla entre ses oreilles. Il passa maintes et maintes fois son bec sur la fourrure noire de la bête avec douceur, comme s'il le caressais. Le loup soupira longuement, apaisé, et ferma les yeux.
L'obscurité se déchira en une bombe de lumière. Une nouvelle inspiration brouillante.
Le loup reperdit conscience de ses frontières et se sentit comme aspiré par la lumière blanche et froide. Il fut recraché sur un sol meuble, de terre. De terre et d'herbe. Le silence était revenu. Il haletait. Tout son nouveau corps tremblais. Une goutte de sueur coula sur sa trempe. Il ouvrit ses yeux , les cligna, puis les leva et les referma aussitôt.
La pleine lune brillait au dessus de nous. La brise froide de la nuit joua avec sa fourrure noire. Un corbeau se posa sur son épaule. La créature leva la tête. A présent , elle savais quel était son destin ; le vent le lui avais dit
Son nom était Pensée, et son compagnon Souvenir.Fin ! :]
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Pensée et Souvenir (introduction je suppose? )
Paranormal" La pleine lune brillait au dessus de nous. La brise froide de la nuit joua avec sa fourrure noire. Un corbeau se posa sur son épaule. La créature leva la tête. A présent , elle savais quel était son destin ; le vent le lui avais dit. " Soyez indul...