chapitre 13

1.3K 36 1
                                    

Ma première journée de classe s'était enfin achevé. Ce n'était pas si mal que  ça. Je rentrai donc chez moi. À mon arrivée je vis mon père,  ma mère, mon frère et un homme assis dans le salon. Je ne savais pas de quoi il était question et je ne voulais même pas le savoir. Je pris donc la dirrection de ma chambre quand, soudain, mon père m'appela.

- vient par la fiston, viens nous rejoindre mon fils. Dit-il calmement et posément.

On aurait dit que je suis un bébé qu'il voulait flatter. Je savais que tout ceci était loiche ça avait sûrement un rapport avec moi à cause de Lydie.
- qu'est ce qui se passe? Demandais-je.

- du calme chéri. Me dit ma mère en me carresssant le revers de la main.

- cet homme est là pour t'aider à...

- allez donc tous vous faire foutre. Vous n'essayer même pas de m'écouter pour savoir ce que j'ai vous appelez immédiatement un psy. Je croyais que le linge salle se lavait en famille. Je me rend bien compte là que nous n'en  sommes plus une. Même toi Louis  je croyais que toi tu maimais que tu croyais en moi. Je ne suis pas fou et si vous le penser c'est votre problème. Et puis que ça vous déplaît autant je vous ficherai la paix je partir...

- mais mon..

- ne me touche pas femme. Ma véritable mère m'aurait écouté et m'aurait laissé le bénéfice du doute!

Après ces mots je montai en toutes vitesses dans ma chambre. J'étais abattu à cause du comportement  de ceux que j'appellais mien. Ils n'ont même pas essayer de m'écouter, ils n'ont même pas voulu savoir ce que moi je vis réellement. Ils n'ontmême pas voulu savoir ce que j'en pense.

J'étais bien décidé à partir de cette maison. Mais où pourrais-je bien allé?
Luc et moi, notre amitié s'était bien dissipé en plus il ne vivait plus ici. Il avait eu son diplôme il devait sûrement être dans une grande université quelque part. À part lui je ne savais vraiment plus sur qui compter. Si je decidai d'aller à l'hôtel je n'allais sûrement pas men sortir mais si je restais là ils allaient me soumettre à leurs volontés et il en était hors de question. 
Je me mis donc à réfléchir à où je pouvais bien allé. Mes parents et mon frère faisaient des tours  devant ma porte pour me faire entendre raison mais je ne comptais laisser personne entrer. J'avais déjà fait ma valise.

Le temps ne cessait pas de passer il était déjà 3heures du mat. Je n'avais toujours pas trouvé où j'irai. Puis j'entendis quelqu'un frapper à la fenêtre. Ça ne pouvait être ni papa ni maman.  Peut-être Louis donc je n'irai sûrement lui puvrir peu importe le danger auquel il était exposé. La personne insista encore et encore. Finalement ça ne devait pas être Louis. Si c'était lui il aurait déjà crié et je me souvins même qu'il ne savait pas escalader.
Mais qui est-ce alors?

Je décidai donc d'aller voir. Quand j'ouvris
Je vis...

- marilyn?

-il n'est pas trop tôt,  tu as un sommeil de fer toi!?  Dit-elle en entrant.

Elle se mit à fouiller dans mes affaires. Elle ouvrit même ma valise qui était encore sur le lit.

- surtout ne te gêne pas!

-  mais bien-sûr!

Puis elle s'assit sur le lit et me fis signe de m'asseoir.

- qu'est ce que tu veux?

- baiser, tu peux me rendre ce service?

Je ne répondis rien

- tais toi donc et écoute moi. Une seconde s'écoula avant qu'elle  reprenne. Ma soeur est vivante.

- tu ne vas pss t'y mettre toi aussi! 

- oh que si!

- c'est quoi? C'est à cause des rêves que tu fais?

- comment es-tu au courant?

- je fais les mêmes!

- mais je t'assure que c'est vrai!

- quels arguments avances-tu?

- je fais ces rêves depuis un bon bout de temps déjà. J'en ai eu marre je l'ai même supplié parceque c'était déjà comme une obsession. Je l'a voyait partout et je me suis même battu le jour de l'exam parce que j'avais prise une fille pour elle. D'où ma présence en Tle cet année encore. Mes parents m'ont amené chez un psy parce qu'ils me prenaient déjà pour une folle je le consultais déjà chaque deux jours mais rien avait changé. Mais cependant je trouvais l'attitude de mes parents très louche et suspecte. Ils ferment leur chambre à chaque pas ils ont des appels mystérieuses sans parler de leurs nombreux voyages sans destination.  Et quand ils reçoivent un homme là ils m' enferment toujours dans ma chambre.   La dernière séance était hier après les cours.  puis le psy a proposé  à ma mère de me faire interner. Moi non plus  j'étais certaine que  ma soeur était morte mais  j'avais quand même des doutes à cause de tout ça.le hier matin pendant que ma mère m'accompagnait à l'école , je lui ai soutirer la clé de leur chambre et  hier encore pendant que mes parents discutaient  avec le psy pour mon internat je suis allée fouiller leur chambre.  J'ai trouvé une grosse enveloppe avec beaucoup de factures d'hôpital et des virements j'ai pris le temps de bien les observer. Tiens les voici dit-elle en me donnant l'enveloppe.   Ils ne se doutaient de rien jusqu'à ce que ma mère a commencé à chercher la clé et que mon père a découvert la disparition de l'enveloppe. Ils se sont tous dit que c'est moi. Ce qui est le cas mais je me suis cachée très bien même jusqu'à présent parce qu'ils voulaient m'étriper

et pourquoi tu viens m'en parler à moi?

- je connais cet hôpital je veux qu'on y aille.

- hein!?

- oui, je reconnais le lit tout ce qu'il ya dans cet hôpital dans mes nombreux rêves c'est là-bas que ma défunte grande mère avait été interné. Et les factures le confirme. On y va dès que tu veux mais avant l'aube!

- tu es folle? Je n'irai nul part.

-je croyais que tu l'aimais.

- l'aimais tu as bien dit aimais c'est le passé maintenant!

- je ne vais pas te prier j'y vais alors.

*******************************************************************

MA PREMIÈRE FOISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant