Homosexuels en Tchétchénie

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On en parle de la Tchétchénie et de la cause LGBT ?

Une histoire qui a su se taire pendant bien longtemps avant d'être découverte. Mettons nous donc en situation, en 2016 des tortures, passages à tabac, violences d'Etat sont exercées de façon injustifié sur la communauté LGBT et nier de façon catégorique par Ramzan Kadyrov le dirigeant actuel de la Tchétchénie.

Quel héroïque massacre si bien justifier !

Cet homme c'est quand même lever un matin, a réfléchie sur tout les problèmes qu'il pourrait résoudre et c'est dit : « Je buterais bien quelque centaine de personne exerçant leur droit de liberté car ils ont oser aimer. ».

Juste après cette décision mûrement réfléchie, aucun ne pouvait se sentir libre.  Non seulement ils ont enlevés des droits fondamentaux mais cela devaient leur sembler encore trop facile, et c'est la que l'un d'entre eux à eux un éclaire de génie : les camps de concentration, quoi de plus merveilleux ! Ainsi enfermer les homosexuels attendent le prochain garde qui les tabasseront à mort, oubliant de les nourrirent.

Mais le peuple n'est pas en reste pour autant, oh que non. Certaine famille tellement déshonorer par leur propre enfant décide de faire une petite ballade en forêt d'où ils ne reviendront jamais.  Les parents qui renient leur enfant parce qu'il est gay, vous pourriez au moins faire un effort, lui il accepte bien que vous soyez cons.  Que l'on soit claire, c'est une purge, le peuple et l'état sont ligués contre le terrible envahisseur que sont les gays !!

Bien sur je n'oublies pas ton passé soviétique radieux Tchétchénie, empreint dans ta police et ta politique. Mais il faudrait commencer à avancer avec son temps et arrêter de te croire supérieur car tu préfère coucher avec Mathilde plutôt qu'avec Patrick. ( et inversement pour les filles)

Pour exister, la Tchétchénie a besoin d'ennemis, intérieurs et extérieurs. En Tchétchénie, ils s'en sont pris aux femmes qui ne portaient pas le foulard, puis à celles qui ne le portaient pas comme il fallait, puis à ceux qui conduisaient en état d'ébriété. Maintenant, c'est les homo.

Enfin, bon la Tchétchénie n'est qu'un cas parmi tant d'autres.

Et tout le monde s'en fou

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Tout le monde s'en fouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant