destruiction paisible

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Voilà quand le rose terni
Dans l'étendue de ma douleur infinie
Celle qui semble difforme
Mais qui est bien enorme
Que se passe une eclipse
Celle qui sonne mon appocalipse

Je pensais rester de marbre
Lorsque je verrai tomber mon arbre
Celui de mon bonheur sublime
Si grand qu'on ne voyait la cime
Je ne pensai être une cible
Cela me semblait impossible

Mais voilà je m'endors
Dans la prison de mes efforts
Voilà qu'ils ont tous oser
Prendre plaisir à m'écraser
Je vois alors mon bonheur propice
Jetté dans un precipice

Je pleure....

mes petits délire(poème et blague)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant