Chapitre 20 : Laure et Gabi

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Hey tout le monde. Je viens de le rendre compte que je n'avais pas oublier ce chapitre en même temps que le 21. Du coup, je le fais maintenant.

** le soir **

PDV de Laure

Je suis devant la porte de la maison des GARCIA avec mon gros sac à bandoulière sur une épaule et Koneko dans mes bras, à attendre que quelqu'un m'ouvre. Et je fus surprit de voir que c'est Riccardo qui m'ouvre.

Moi : Riccardo ? Qu'est-ce que tu fais là ?

Riccardo : Je pourrai te poser la même question.

Moi : Sauf que je l'ai poser en première.

Riccardo : Gagné. Gabi m'a demandé de venir pour l'aider à ne pas flancher.

Moi : C'est trop chou. Mais on est bien d'accord que tu vas partir avant que l'on dorme.

Riccardo : Bien sûr. Mais un jour tu devras lui dire que tu sais. D'autant plus que Rosie l'avait dit.

Moi : Depuis quand Rosie et Gabi sont une seule et même personne.

Riccardo : Depuis...

Moi (l'interrompant) : La ferme. J'ai toujours été prête à lui dire mais lui non. Sinon, je peux entrer ?

Riccardo : Euh... OUI.

J'entre et me dirige vers le salon où Gabi est en train de dormir comme un bébé.

Moi (bas à Riccardo) : Je comprends pourquoi c'est toi qui a ouvert.

Je me dirige vers la cuisine et cherche le chocolat, la chantilly et des fraises puis revient dans le salon avec mes ingrédients.

Riccardo : Tu vas faire quoi avec ?

Moi : Tu verras.

J'enlève son tee-shirt et son pantacourt puis verse le chocolat sur ses petits tétons et son torse. Je mets de la chantilly dans les cheveux de Gabi puis dit à Riccardo :

Moi : Je vais te demander de sortir parce que je ne veux aucuns témoins.

Il sortit et je tira son caleçon afin d'y mettre de la chantilly puis m'assoie en silence sur un fauteuil en mangeant les fraises et en admirant mon chef d'œuvre. Enfin... jusqu'à ce que Koneko, qui était sencé être gardé par Riccardo le temps que je réalise ma farce, arrive en courant et en miaulant ce qui réveilla Gabi.

Il se frotta les yeux puis se rendit compte qu'il était en sous-vêtement recouvert de chantilly et de chocolat.

Gabi : Abi ? C'est toi qui a fait ça ?

Moi : J'aurai bien voulu mais non. Tu étais comme ça quand je suis arrivé.

Riccardo arriva dans le salon et commença à rire de mon chef d'œuvre.

Riccardo : Je ne vois pas ce que tu as fais de plus sur lui ?

Moi : Regarde en bas.

Riccardo : AH.

Gabi regarde ses jambes et ne remarque rien puis bouge un peu et finis par sentir mon passage. Il se mit à rougir de la façon la plus adorable qui soit et finis par me dire avec une voix menaçante :

Gabi : Abi, ma vengeance sera terrible.

Moi : Tu sais que tu es en mauvaise posture pour faire des menaces. Mais je retiens.

** 3 heures plus tard **

Je suis seule avec Gabi, à caresser Koneko, dans sa chambre. Riccardo est partit après que je lui ai demandé une énième fois. On regarde un film en bouffant que des cochonneries : pizza, bonbons, chocolats, pop-corn, soda, ect...

** Eclipse du film **

Gabi : Rappelle-moi pourquoi Riccardo est parti.

Moi : Il avait oublié ses vêtements de rechanges.

Gabi : Tu veux dire les vêtements qui sont sur cette chaise ?

Il me montra la chaise où se tenaient les vêtements de Riccardo.

Moi : Oui. Il a oublié de partir avec.

Gabi (avec un air insistant) : Abi !

Moi : Quoi ?

Gabi (avec le même ton) : Abi !

Moi : Je lui ai demandé de partir.

Gabi : Pourquoi ?

Moi : Parce que tu ne veux pas que soit seul ?

Gabi : ...

Moi : C'est bien ce que je pensais.

Gabi : Comment tu as deviné ?

Moi : Je te connais. Tu es le même. Et en plus, ça fais trois ans que l'on ne s'est pas vu.

Gabi : Ta logique est imparable.

Moi : Comme moi.

On se mit à rire et je posai ma tête sur son torse en m'allongeant. On étant dans un silence reposant et on finit par s'endormir comme ça.

** Le lendemain **

Je me réveille lentement jusqu'à que mes yeux soit complètement ouverts et qu'ils se plongent dans le regard bleu turquoise qui m'a toujours envoûté.

Gabi : Salut. Bien dormi ?

Moi : Oui très bien. Et toi ?

Gabi : Comme un garçon qui dort avec une jolie fille.

Moi : C'est-à-dire ?

Gabi : Très bien. Tu sais je vais être en retard pour l'entrainement.

Moi : Mais aujourd'hui samedi. Et en plus je suis bien comme ça. Avec toi.

Gabi se mit à rougir.

Moi : Bon. Je te laisse y aller. Mais à une condition.

Gabi : Laquelle ?

Moi : Que je vienne avec toi.

Gabi : Euh... D'accord.

On se leva, se doucha et s'habilla. Puis nous nous dirigions à Raimon.

** Sur la route **

Gabi : Tu sais, avant de te connaître, j'étais une vraie brute. Je faisais même peur à mes parents.

Moi : Je sais.

Il tourna la tête vers moi l'air choqué.

Gabi : Comment tu sais ?

Moi : Je l'ai toujours su. Depuis que tu as battu Riccardo.

Gabi : Hein ?!

Moi : Oui. Quand je t'ai vu le pousser, j'ai eu peur. Mais après, quand tu m'avais sauvé, je me suis dit que tu n'étais peut-être pas aussi méchant que je l'aurai pensé.

Le reste du trajet resta dans un silence pesant.

Laure d'InazumaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant