Laure d'Inazuma

Chapitre 21 : Laure et Victor

PDV de Victor

Je sors de chez moi et me dirige vers le collège dont je devais à la base détruire le club de football. J'arrive sur le terrain et vois Arion, Riccardo et le reste de l'équipe sauf Gabriel. J'arrive près du terrain et me dirige vers Riccardo.

Moi : Tête rosé n'est pas là ?

Arion : tu veux parler de Gabi ? Non.

Riccardo : Il est juste en retard.

Moi : Il arrive toujours en retard ?

Riccardo : Non. Il est toujours à l'heure. C'est juste que je sais qu'aujourd'hui il a du retard.

Arion : Le voilà.

Je me retourne et vois Gabriel avec le Laure. MA LAURE. Mais qu'est-ce que je raconte ? Il faut que je me reprenne.

Gabi : Désolé du retard. Quelque chose m'a empêché de me lever ce matin.

Laure : Alors je ne suis qu'une chose ? D'accord.

Dit-elle en boudant.

Gabi : Désolé. Quelqu'un m'a empêché de me lever ce matin.

Laure : Parce que tu aurais préféré que Koneko t'empêche de dormir ?

Gabi : Non. Mais tu n'étais pas obliger de dormir sur moi.

Laure : A ce que je sache, tu aurais pu me repousser.

Gabriel ouvra la bouche pour la refermer tout de suite puisqu'il n'avat visiblement rien à contester.

Arion : Sans trop d'indiscrétion. C'est qui Koneko ?

Gabi/Laure : Notre chaton/Son chaton.

Laure : Notre chaton ?

Gabi : Oui. Si tu veux bien.

Laure (avec un grand sourire) : Bien sûr que je veux.

Elle a un sourire magnifique. Sourire qu'elle ne montrait que très rarement aux impériaux. Et tous ses rares sourires m'étaient adressé. Mais celui-là, il n'était pas pour moi et ça me faisait mal, je dois l'avouer.

Coach EVANS : Bonjour à tous. A partir d'aujourd'hui je serai secondé du coach SHARP. Allons-y pour les échauffements.

Arion commença à courir avec le ballon lorsqu'une ombre apparue dans son dos. Comme si c'était un...

Laure : Un Esprit Guerrier ?

Je m'approchai d'Arion et lui dit :

Moi : Arion, ça te dérange si je t'aide à t'entrainer.

Arion : D'accord.

Je me mis à tirer plusieurs fois vers lui, mais ce que je croyais voir sortir de lui n'était pas un esprit guerrier.

** Le soir **

Je suis assis sur l'un des bancs du terrain lorsque je sens une présence près de moi. Je me retournai vers ce que je considérai comme intrus et vus le magnifique sourire de Laure. On resta environ 5 minutes en silence jusqu'à ce qu'elle me tende la main.

Moi : Pourquoi tu me tends ta main ?

Laure : Bienvenue parmi les rebelles.

Je lâchai un petit rire et lui répond :

Moi : Merci. Dit moi, tu penses qu'Arion a un esprit guerrier ?

Laure : J'en suis sûr et certaine. Mais...

Elle s'arrêta et se mit à penser :

Moi : Tu penses à quoi ?

Laure : Tu as bien remarqué, le jour de la rentrée, ce qu'Arion a lâché ?

Moi : Je croyais qu'il allait lâcher un esprit guerrier.

Laure : C'était bien ça. Ce que je me demande c'est comment se fait-il qu'il ne l'a toujours pas relâché ?

Moi : Je me demande aussi. Il faudra que tu m'aides.

Laure : D'accord.

Moi : Bon. Je vais voir Vlad.

Laure : Je t'accompagne. Je dois parler à Sol.

On se dirige vers l'hôpital et entra dans l'établissement. Je me dirige vers la chambre de Vlad et elle de Sol.

Moi : Salut Vlad !

Vlad (avec sourire sournois) : Salut Victor. Laure n'est pas avec toi.

Moi : Si. Elle est juste avec Sol. Et pourquoi j'ai l'impression que tu veuilles que je me remette avec elle ?

Vlad : Parce que c'est le cas. En plus vous allez bien ensemble.

Je soupire et voit Sol entré dans la chambre avec Laure.

Laure : Salut Vladinounais.

Vlad : Salut Abichou.

Sol était mort de rire et moi je les regardais avec de l'incompréhension.

Moi : Je peux savoir ce qui se passe ?

Sol (en riant) : C'est juste que quand Alex ZABEL est venu chercher Laure, il l'a appelé Abichou. Pauvre Laure.

Laure : LA FERME SOLOUNAIS !

Sol : AH NON. TU AIS TRÈS BIEN QUE JE DÉTESTE CE SURNOM !

Laure : JUSTEMENT !

Vlad : De vrais gamins. A croire que vous allez sortir ensemble un jour.

Laure et Sol : BEURK !

Sol : Elle est juste comme une sœur. Alors pas touche Victor.

Moi : C'est plutôt à Gabriel qu'il faut dire ça.

Laure : Par contre, le premier qui le touche aura mon poing dans sa figure.

Sol : Tout doux tigresse.

Laure : Oh, mais je peux être douce. Mais pas à ceux qui veulent du mal à mes meilleurs amis.

Vlad : Tu es sûr que ce n'est qu'un ami, ce Gabriel ?

Laure : Oui. Pour le moment.

Sol : Comment ça, pour le moment ?

Laure : Au revoir.

Elle commença à sortit de la chambre de mon frère.

Sol : Revient ici.

Laure : Je n'ai pas de compte à te rendre.

Ils sortirent me laissant seul avec Vlad.

Vlad : Je suis désolé.

Moi : De quoi ?

Vlad : Pour Laure.

Moi : C 'est pas grave. Après tout c'est son meilleur ami et son premier amour. Donc on y peut rien.