histoires en vracs ou batmaman a histoire

Douleurs

L'obscurité, la vision floue, qui petit à petit devient plus nette. Mon esprit qui embrumé ne reconnait pas les lieux ou je me situe. S' éclaircit tel brume par jour d'été.

Humm, où suis je, que fais je ici et ... Pourquoi suis-je ceinturé de partout, attachée de la tête au pieds sur... une table d'opérations?!?! Alors soit tous cela est une illusion, un cauchemar soit... Je n'ais pas le temps de finir ma réflexion qu'qu' un homme, grand, tout de noir vêtu, un charisme marmoréen, mais d'où sa prestance dégageait la même froideur que ce matériau, avait une aura pusillanime et une lueur de folie démentiel dans son regard noir ténèbres.

Un sourire carnassier illumina son visage, visage dénudé de toutes émotions. Mes limites allaient vite être éliminées, par ces nets pointues, sûrement et visiblement tranchantes. Soudains il prit la paroles, sa voix rocailleuse, comme si, on s'était amusé à jouer au contorsionniste avec ses cordes vocales, - allait bien avec son visage tortueux.

Il s' avança, lentement, lentement comme une ombre, comme une ombre des enfer. Il prit entièrement la place dans l'exiguïté de la pièce où nous nous trouvions.

« - Bien le bonsoir la chère, ma douce et délicieuse, PROIE ha ha ha ha ha. Et bientôt mon dîner de ce soir. Je suis ravi que vous soyer enfin réveillée, je vais pouvoir commencer les préliminaires des festivités.

- A-attendez vous avez dit proie ! Dîner ! PRÉLIMINAIRES ! Espèce de goujat rationnaire, pusillanime sans foi ni loi, je vous jure que...

- Hum c'est vrai que j'aime le foie. Je me suis même arraché le mien pour bien... le MANGER ! Hin hin hin hin... Saviez-vous que le foie de bœuf est bien médiocre par rapport au foie Humain qui est un vrai délice. Moi je ne suis pas Humain ou plutôt je ne le suis PLUS... »

UN MONSTRE ! J'était en présence de... d'un monstre d'un démon sanguinaire et tortionnaire.

Il me retourna et dit :

« - Ho, hum, ma partie favorite, le muscle crurale. Une partie de choix ! »

Douleur, agonie, il m'enfonçait son scalpel dans la jambe et prenais un malin plaisir à prendre tout son temps et lécher avec délice son couteau sanguinolent. Il continua des heures qui furent une éternité et fini par faire faire taire mes hurlement de désespérance mortelle avec mon nerf crurale. Beurk ce goût écœurant du sang, ce goût ferreux qui me retourne les tripes. En parlant de tripes il m'en fit un joli collier qu'il arrachât scrupuleusement avant de me le mettre délicatement autour du cou.

Je ne voulais que pourrir, je ne voulait que « Cessante causa » la toiture qui n'était pas fini loin de là, pure que le purgatoire. Il m'arracha le foie et le dévora sous mes yeux implorant grâce, d'abréger mes souffrances.

Mon sang et sa bave dégoulinait sur son menton pour taché son haut obscure.

Le temps n'avait plus de signification, douze coup sonnèrent. Midi pub soit je ne sais. Mais ce fut le glas sonore qui à la vue de mon cœur arraché puis lacéré entre les griffes de ce monstre démoniaque emportait dans mon dernier souffle, la vue magnifique de la dernière douleur.