15 ans de plus.

Chapitre 8

Plus l'ascenseur enchaîne les étages et plus mon cœur se sert. Il est là, à quelques étages de moi et peut être que je suis entrain de faire la pire erreur de ma vie, mais on dit toujours qu'il faut écouter son cœur. Et là ce n'est même pas mon cœur qui me dirige, c'est bel et bien mon âme qui se rattache à lui.
Les portes s'ouvrirent sur ce long corridor au couleurs chatoyantes dans un DING qui fit palpiter mon être entier.
J'ai les mains moites et la boule au ventre. Mes jambes bougent seule, je suis angoissée mais je n'ai qu'une hâte, que tout cela se finisse enfin. Alors je me mit presque à courir pour l'atteindre : la chambre VIP bien évidement.
Devant la porte, le souffle cours, je posa ma main sur le bois. Je n'ose pas frapper. Si il avait changer d'avis ? Je vais paraître ridicule ! Il est à quelques mètres de moi. Ma paume tapa contre la porte, inaudible, ridicule. Il ne m'aura jamais entendu mais je ne peu pas faire mieux. Je crois même que j'ai oublier comment respirer.
La porte s'ouvri précipitamment et il me tira à l'intérieur en claquant la porte. Il me serra contre lui de toutes ces forces et c'est à ce moment là que les larmes me vinrent.

Il m'a tellement manquer.

Je m'agrippa à son pull callant ma tête dans le creux de son cou. M'enivrant de cette drogue que je n'ai pas eu depuis plus d'un mois. J'arrive à peine à parlé.

- Tu m'as manqué Ikuto.
- Toi aussi tu m'as manquée Amu. Dit il en embrassant mon front.

Il descendit ses baisers sur mon nez et embrassa mon arc de cupidon avant de poser ses lèvres sur les miennes.
Ses baisers ne me suffisent pas, je ne sais pas mais j'en veux plus. Je veux l'embrasser à en perdre haleine, nos deux corps en total effervescence. Mais il m'embrasse avec une douceur infini qui me fait perdre la tête. Il me caresse lentement le dos et rompt notre baiser avant d'enfouir son visage dans mes cheveux roses.
Je ne pouvais que sourire et le serrer contre moi. Nos respirations sont lente et nos coeur battent ensemble. Je n'ai jamais été aussi bien. Envelopper de chaleur et de confort. Il arrêta ce contact et m'entraîna vers le salon, et j'aperçus en face du canapé sur la table basse, une bouteille de vin blanc, deux verres à pied et un énorme bouquet de rose rouge et blanche.

- Sérieusement ?

     Je me précipita en souriant vers le bouquet qui m'est destiner et le pris entre mes bras. 1...2...3......24 roses. Il se tenait face à moi, un verre semi rempli dans chaque main et m'en tendit un. Je le pris toujours en souriant, rassasiée de bonheur.

- Merci... Susurais-je.
- De rien mon ange.

    Il m'adresse son plus beau des sourires et rapprocha son verre pour trinquer.

- À nous. M'adressa t'il.
- À nous.

Mon coeur battait à tout rompre et je laissa l'alcool se déverser dans ma bouche petit à petit. Ses yeux m'impressionnent toujours autant. Si captivant et si bleu, que la lune les confondraient avec son ciel nocturne. Ils ont le pouvoir de faire arrêter le temps. Tout se stabilise lorsque je l'observe. Ses lèvres luisantes de vin se collèrent au mienne dans un baiser plus passionné, plus humide.

     Entre 2 baisers il reposa nos verre en cristal sur la table en verre, laissant les cristaux se frictionner dans un bruit clair et envoûtant.
Il passa sa main derrière ma nuque et m'embrassa, encore et encore. Il me colla à lui et caressa mon dos d'une main lourde. J'en voulais plus.

Lentement je le fis reculer sans stopper nos baisers ardents et je le fis basculer sur le canapé. Je m'installa sur son bassin et il se releva pour coller son torse à ma poitrine.
Il dévora mon cou en agrippant mes fesses et je sentis sous mon intimité son penis se durcir. Il ne tarda pas à retirer son pull et moi mes vêtements aussi. Nous étions en sous-vêtement, ma culotte étais trempée et il le ressentais lui aussi à travers son boxer.