Mon corps et le sexe.

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Je pénètre dans ma chambre, bien nettoyée toujours avec le même décor, Je vérrouille  ma porte , je me déshabille. Une forte sensation s'empare de moi, je me mets nue, je me mets à  caresser mon ventre, je remonte à mes seins,ils sont pulpeux et raides de plaisir, je me sens transcender une autre réalité. Je m'appuie contre ma closette fait de mirroir, je me caresse encore et encore, je descends plus bas, entre mes jambes, passe mes doigts tout doucement sur le bastion de mes plaisirs, mon clitoris. Dieu aurait-il mis une chose aussi sensationnelle et si atteignable dans mon vagin si ce n'était pour un but bien déterminé ?  Me rendre heureuse et ivre de plaisir ?
Je m'allonge sur mon lit, ouvre mes jambes,glisse mon majeur entre mes lèvres vaginales gonflées  de plaisir toutes mouillées.  Je me caresse chaque endroit, chaque muscles, mon plaisir s'intensifie. Je me pénètre avec mon doigt, je soupire de plaisir en effectuant des petits mouvement circulaires à l'interieur de moi. C'est si bon, mes jambes ne tiennent plus, j'appuie plus forts en changeant le rythme de mes mouvements en faisant des va-et-vient. J'essaie de me pénétrer encore plus profondément je sens un muscle si sensible à l'intérieur qui branche tellement, je gémis, jouis, je sens un plaisir encore plus fou arriver, je respire plus fort, mon corps s'unifie, mes hanches tiennent pas en place. Je crie fort, mes yeux fermés, j'extasie, mes muscles vaginales tremblent, mon clitoris se gonfle. J'atteint le maxime de cette sensation, continue à me caresser et à en jouir  jusqu'à la fin de mon orgasme. Je me sens si bien, et heureuse. Je me rourne puis me rendors.

Les cloches de l'Eglise ont sonné, 6h am me voilà moitiée endormie qui pénètre la cathédrale avec ma famille qui se veut"parfaite" aux yeux de la société. Mes parents faisaient tout pour garder la belle image qu'on avait de notre famille. On était condamnées mes soeurs et moi à incarner les feunes filles parfaites que tout parent aurait aimé avoir.

On s'assoit devant comme d'habitude car mon père tout ce qu'il souhaite c'est de nous voir devant, plus haut dans ce que nous faisons dans la vie. C'est sa philosophie et nous ses apprentis-philosophes. Comme toute règle ayant exception, je n'ai jamais été une élève docile et fidèle car je voulais ma liberté, je senrais enragée de me voir d'être obligée de me courber à des normes stupides qui vraiment m'empêche d'expérimenter ma liberté de femme.

Je me suis levée pour m'asseoir dans le deuxième banc feintant que j'étais coincée. J'ai laissé ma mère et mon père Rita et Roger puis ma soeur, Ana l'aîné 25 ans pis moi 19ans. Je me sens si bien à l'écart de la pression de ma famille. Quand je suis dehors,la maison ne me manque pas. Je rentre à l'université que mes parents ont choisi et je vais étudier ce que mes parents m'ont comme"suggérée" mais Dieu seul et moi sait ce que je m'en vais faire.

Après la messe, nous déjeunons comm d'habitude en famille, le moment où mon père sort son petit lexique de dictateur en renouvelant sa liste d'interdit et d'ordre. Ce matin, je le prends avec plaisir vie que demain je pard. Je laisse la maison de ma famille pour m'envoler vers Paris. La ville de mes rêves, le seul choix que mon père ait fait et que j'aie pas à m'y plaindre mais a m'y plaire.
Découvrez ce qui attend Amelie dans sa nouvelle vie loin de ses parents au prochain chapitre. Xoxo

(N'hésitez pas à aimer et laisser votre  impression si vous avez hate de ma nouvelle erotique mmmuuaahhh😘) sinon j'ecris pas le prochain 😩😫. Luv you guys