-Chapitres II-

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«Mes...mes parents... Mes frères... Mes sœurs. »
Je pleurais tandis que lui parti de ma chambre. Le souffle coupé je me mis à pleurer.

« Vous... VOUS... Êtes un monstres ! Un monstres des ténèbres  ». Criais-je en frappant sur le mur de mes points. Quand ils devenairent rouge je m'abaissa en glissant par terre, la tête contre le mur et les larmes qui coulaient ne voulaient plus s'arrêter. Je me retourna et regarda la soupe par terre, je senti mon ventre gargouiller  « J'ai tellement faim...  »

Deux jours déjà   enfermé, sans manger ni boire, je senti le désespoir et me disais quand finira-t-il par me tuer. Je pouvais plus attendre, après la mort de ma famille, que j'allais boire, je ne pouvais plus respirer, ma jolie robe faites par ma mère, qui était une grande couturière, était fichu, pliens de boue et mes larmes la tâchaient, et puis le sang rouge se faisait vif sur la robe, mes yeux rouges, enfermé dans un endroit, seul. Je finissa par dormi sur la couche, mes affublement me servaient de couverture, je me mis en boule.

Deux heures plus tard, j'entendis des voix dans le couloir, je me précipita sur un coin de la chambre et regarda les ombres derrière la porte.

Il rentra dans ma chambre, mais pas seul, il avait quelqu'un d'autre, mais qui est-il ?
Il l'avait jetter par terre, puis il me regarda et claqua la porte, le garçon était couché par terre, les bras cachaient son visage, je ne pouvais pas le voir dans ce noir, je resta collé sur le coin du mur en attendant qu'il se mis à bouger ou montrer un signe de vie. Je pouvais voir la couleur de ses cheveux bouclés et noir, il portait des affublement grossiés et ne portait pas de chaussures.

Toujours contre le murs, je fini par me levais doucement, en le fixant toujours, je m'approchas de lui doucement, la main devant moi. Le regard pétrifié de terreur face à cette inconnue qui pouvait être menaçant et le coeur battant à milles chevaux.
J'arriva devant lui et m'abbaissa en lui demandant  « Est-ce que tous vas bien ? Monsieur ?  »
Pourquoi dire monsieur alors qu'il avait au moins mon âge, il avait l'air d'être jeune, et moi je l'appela monsieur, où ai-je la tête. C'est peut être parce que ça va faire deux jours que je suis enfermé ici. Je continua à l'appeler quand tout a coup, il se leva brusquement et se mis à me regardais aussi pétrifié que moi . Je tomba par terre sur le choc et le regarda le cœur battant aussi vite.

Nos yeux se fixaient longtemps, et finissont par nous calmez. Je n'arrivais toujours pas à bien le distinguer à cause du noir de la chambre, je pense qu'il faisait noir dehors  la nuit était tombé. Mais je pouvais voir ses yeux, ses yeux brillant, aussi beau, ses yeux bleu emerode, il avait un reflet bleu, bleu ciel.
Il se leva en essayant ses habits poussiéreux. Je le fixa toujours, puis il se mis à marcher vers moi, mon cœur batta encore plus vite, je sentais que mon cœur aller me quitter dans peu de temps -cela n'était pas si grave puisque j'allais mourir-.

Il me présenta sa main pour m'aider à me relever. Je lui la pris et me releva toujours en le fixant, lui aussi avait l'aire d'avoir peur, mais il le cachait, il était courageux, pas comme moi, qui avait peur même d'une fourmis innocente qui passait par ma chambre pour ce diriger vers l'autre pièce.  «Merci...  » lui dis-je.

Il me souria en signe de réponse, est-il mué ou ne veut-il pas me parler ? Aurait-il peur ?

Non je ne pense pas, je fais pas si peur que ça , si ? Et mué, se serais possible.

Mais qui est-il ?

Pourquoi est-il là ?

J'ai peur maman. Mère, père, frères, sœurs, vous me manquiez tellement, pourquoi fait-il ça, qu'avons-nous fais ? Je ne peux pas rester ici sans raison, pourquoi m'a t-il pas tué en même temps que vous ? Je voudrais une raison, merde quoi!

Je me mis à pleurais de nouveau, mais là, il avait quelqu'un pour me consoler, et il me pris dans ses bras, ils étaient chaleureux et degagaient une chaleure aimable. Il me caressa la tête puis on s'assia sur le lit. Il me regarda, toujours souriant.
Puis il me sécha mes larmes, et me sourir, ses mains était aussi chaude et douce, je vis son visage un peu mieux, je voyais qu'il avait des tâches de rousseurs, qui lui donnait un certain charme, et le visage aussi doux.

Je fini par le sourire en m'excusant d'avoir pleurer.  « Cela n'est grave, vous souffrez, depuis combien de temps êtes vous ici ? Que vous a t-il fait ?  » me dit-il.

«Depuis deux jours maintenant » Je regarda le lit, je ne pouvais pas le regarder dans les yeux, j'avais honte de moi.  « Deux jours ici, il m'a prit et m'a mis ici sans raison, pourquoi me tue-t-il pas ? POURQUOI !?  »

Il me caressa mes épaules puis me dit : « Je comprends, vous inquiétez pas, nous arriverons à sortir d'ici.»

Puis la porte s'ouvrit brusquement.

[À suivre...]

Face à lui. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant