Spica Enquête

Chapitre 2: Décés

Spica et le monsieur attendirent 1 heures, 2 heures,3 heures...Au bout de 3 heures et demis ne tenant plus Spica posa la question qui lui brûlait les lèvres depuis belle lurette:

"-Vous vous appelez comment ?

-Je m'appelle Luc Pelletier et toi ?

-Moi c'est Spica Pyrus."

Et le plus gros blanc de la terre repris . Une heure , 2 heures.......

Enfin la dame de l'accueil les appela et leurs dit de se rendre le plus vite possible dans la chambre 219.Il se précipitèrent dans le premier ascenseur disponible et y rentaire in extremis alors que les portes se fermèrent et se dirigèrent en courant le long d'un couloir blanc neige.

Enfin il aperçurent la chambre,la porte était ouverte et un infirmier attendait devant la porte ,il avait le visage fermé. Spica pénétra dans la chambre alors que l'infirmier retenait Luc à la sortie. La chambre était blanche et ne contenait qu'un lit et un siege, sur les murs aucune decoration n'était présente se qui faisait qu'elle semblait bien triste. Elle se jeta au pied du lit où reposait son père, il était pâle comme un linge, son corps était relié à un tas de machine par des perfusions et un tuyau l'aidait à respirais et  lorsqu'il l'aperçut un faible sourire éclaira son visage ,il lui saisit delicatement sa main et dit d'une si petite voix qu'elle du tendre l'oreille :

"Ma chérie , ma chère petite fille ça va te faire de la peine mais il faut que je te le dise, je ne suis pas ton père.

-Quoi ? Tu......tu......n'est pas mon père ?

-Oui ,ma petite. Ta mère est ma sœur, une super intello comme vous dites ici, tout comme toi sur se point tu lui ressemble beaucoup. A Niuessila,elle était la première de sa classe dans toutes les matières ...

-C'est ou Niousila ?

-Niuessila pas Niousila. C'est la seule école a des kilomètres à la rondes la où j'habitait quand j'étais plus jeune.

-Tu habitait où?

-J'habitait dans un peuple de surdoué. Moi jetai surtout fort en SVT. Ton père est un gars génial, mon meilleur ami depuis des années.  Drôle mais sérieux lorsqu'il le faut sauf pendant les cours où là il faisait le pitre. Toujours à faire des blagues et des âneries. Lui il était très fort en astronomie. Il s'appelait Arcture et ta mère Wendy.

-Mais si tu n'est pas mon père ,mais que tu est mon oncle, je ne m'appelle pas Spica Pyrus.

-Ton sens de déduction ne te trompe jamais et ne laisse rien passer. Ta mère est pareille.Non tu ne t'appelle pas Pyrus mais Spica Sextant."

Spica resta silencieuse pendant un petit moment puis dit sur d'une voix posée :

"-C'est un joli nom.

-Ma chérie , je sais qu'un jour tu voudras retrouver tes vrais parents mais sache que si tu es habitée par une mauvaise intention le portail ne te laisseras pas passer. Tes parents t'ont aimé dès qu'ils t'ont vu,mais ils avaient peur qu'on se moque de toi là bas à cause de tes problèmes et parce qu'ils avaient quelques soucis là-bas.

-Je ne leur en veux pas le moindre du monde, j'ai eu le meilleur père que je pouvais espérer.

-Et moi la meilleure petite fille.

-Mais toi pourquoi tu es venu ici ?

-On va dire que moi aussi j'avais quelques soucis. Bon c'est bien beau tout ça mais il faut que je te dise comment te rendre près de tes parents. Passe moi un stylo et une feuille." 

Spica lui passa le tout et il écrivit  ces quelques lignes :

Va là où il ne pleut pas, loin de toute civilisation accepté celle qui est partout. Sous une coupole de verdure, tu trouveras le tronc de la vie près duquel tu te verras tel que tu es. Dans son cœur, tu y mettra la marque et alors le portail s'ouvrira

Alors quelle arrivait enfin au dernier mot du petit texte se qui pris environ 10 minutes puisqu'elle était assez lente pour lire,elle sentit la main de son père adoptif se desserrer  sur son bras. Elle releva la tête et cria lorsqu'elle s'aperçut qu'il avait les yeux fermer, la bouche grande ouverte,la peau blanche comme la craie,la tête en arrière dans une position très inconfortable...Aussitôt l'infirmier se précipitation vers lui pendant que Luc la prenait dans ses grands bras alors que des grosse larme descendait du coin de ses yeux.  

Enfin, l'infirmier troua le silence en poussant un long sourire de soulagement puis il se retourna et leur dit :"Il n'est pas mort ,il est juste tombé dans le coma, il ne fait que dormir".Spica et Luc poussèrent un soupire de soulagement.Quelle trouille, ils avaient eu. Spica s'assit a côté de son lit et elle attendit. Luc était rentré chez lui et l'infirmier était partit lorsqu'une infirmière avait pris la relève. Au bout d'un moment, la main que Spica tenait dans sa main se refroidit lentement et devint rapidement translucide. pour Spica c'était très claire et la vérité se révéla plus dure que la pierre . Celui qu'elle avait toujours aimé comme son père l'avait quitté, pour toujours.