pdv Angel :
Je me réveille le lendemain matin. Hier, j'ai eu toutes les informations que je voulais avoir sur l'enleveur de Zoé.moi: Itona ?
Itona : quoi?
moi: je me demandais si ça te dérangeait pas du coup qu'il y ait Lexy avec Sébastian. ..
Itona : Je ne sais pas vraiment. .
moi: Si tu ne veux pas m'accompagner se soir je comprendrais t'en fait pas.
Itona : Ça me dérange mais ce n'est pas pour ça que je te laisserait y aller seule.
moi: ... Merci.
Itona : t'inquiète pas.Je me lève et décide d'aller "m'acheter" des nouveaux vêtements et accessoires plus pratique pour se battre qu'un jean. Je me rend dans le centre commercial le plus proche et craque pour un ensemble mini jupe noire et un haut proche du corps blanc. La tenue est souple ça fera l'affaire.
je glisse les achats son mon manteau et m'en vais d'un pas nonchalant vers la sortie. Les détecteurs ne sonnent pas et je repars vers l'abri d'Itona.
Celui - ci est accroupi le dos contre un arbre du parc la tête tournée vers le ciel.
Après m'être changée, j' appelle Liane.Moi: Je retourne au lieu ce soir avec Itona. Occupe toi bien de Zoé pendant ce temps là.
Liane: *OK. Soit prudente*
moi: oublie pas: pas un mot!
Liane: * je sais.*
moi: bye
liane : *Bye*Je retourne voir Itona.
Moi: Liane est à l'aise avec se genre de missions. On dirait qu'elle a fait ça toute sa vie.
itona: Ouais.
moi: C'est partis?
Itona: Go.On embarque avec nous trois couteaux, un pistolet et une mitralleuse. Je vais lui faire la peau, le faire souffrir comme jamais il n'a souffert. J'imagine déjà sa tête tordue de souffrance... PARFAIT.
On marche pendant une bonne partie de la journée. On arrive au lieu en milieu d'après midi. Je reconnais à peux près le décor que j'ai vu dans les écrans. J'avance prudemment vers la fenêtre du bureau où dormais la cible il y a 2 jours. Il n'y a personne. Nous avons élaboré un plan pendant notre marche. Itona restera à l'extérieur de la maison, en haut d'un arbre pour tirer sur la cible à travers les vitres et moi je rentrerai à l'intérieur, trouver la cible et le torturer jusqu'à ce qu'il en crève. Et si je croise Lexy, j'essaye juste de l'enfermer. Je ne lui ferait pas mal; DOMMAGE.
Je rentre donc dans la maison. Il y a des affaires sans dessus dessous. C'est comme si personne n'était pas venu ici depuis des années. Le plafond s'écaille et il y a des trous dans les murs. Je reste collée à ceux - ci malgré la saleté qui s'accumule sur mes vêtements. Je tourne à gauche pour suivre le couloir et j'aperçois dans la pièce d'en face, une femme, sûrement Lexy.. Je m'avance, claque la porte et renverse une vielle armoire pour la bloquer.
M*rde! En tombant, le meuble a fait un fracas qui a résonné dans toute la maison!!!
Couteau en main, je me mets en position de défense, prête à toutes éventuelles attaques. Je regarde à droite,
gauche,
droite,
gauche,
droite,
gauche,
droite,
gauche...
Sébastian : bou.Je sursaute. Je me retourne lentement vers la droite en cachant mon couteau dans le dos. Il est à quelques mètres de moi.. SLASH ! Je lui envoie le couteau dessus!
Je l'ai eu! Il s'agrippe l'oreille! Bon c'est pas grand chose mais ça doit quand même faire mal. Non?moi: Bonjour.
Sébastian: tu m'as eu si facilement....
Mais maintenant, ton effet de surprise est gâché.
moi: tu vas en avoir encore. t'en fait pas.
sébastian : Ho mais j'en suis sûr très chère.j'agrippe un vieux cadre photo et lui écrase sur la tête. Des bouts de verre volent en éclats. Il en a deux ou trois plantés dans le crâne. Du sang coule sur son visage. Il porte sa main jusqu'à celui-ci et mis ensuite son doigt à la bouche.
Sébastian : Tu vas me le payer.
Il bondit vers moi et m'agrippe par le col de ma veste. Il me plaque contre un mur et me donne un énorme coup de poing dans le ventre. Ma réspiration est coupé et pendant un court instant mon esprit s'éteint. Il me lâche et je m'écroule sur le sol le dos contre le mur les bras ballants.
Il lève la jambe et m'enfonce sa chaussure sur la face. Je tombe sur le côté tout en essayant de continuer de respirer. Il suffirait que j'atteigne son bureau pour que Itona puisse faire son boulot mais je n'ai plus de souffle et la chaussure de Sébastian et encore plaquée contre mon visage..
Sébastian se lance dans un fou rire moqueur. Il a bien compris la situation. Ce qu'il ne sait pas c'est que il y a quelqu'un qui l'attend dehors..
Prise dans un élan, J'attrape sa cheville et le fait tomber à la renverse. Je prend le couteau qu'il me reste et le plante dans son pantalon de sorte à ce qu'il reste coincé dans le parquet et que je puise gagner du temps pour atteindre mon objectif.
Je cours tant bien que mal dans le couloir à la recherche du bureau. Je jette un rapide coup d'oeil sur Sébastian: il se relève le couteau à la main. Je n'aurait pas réussi à gagner plus de temps que ça..
j'aperçois la pièce au fond du couloir j'accélère mais je trébuche sur un tabouret laissé en plein milieu du passage. Un sifflement retentit à ce moment à quelques centimètres de ma tête. Il M'A RELANCÉ LE COUTEAU! Ma chute m'a sauvé la vie! Je rampe contre le sol toujours à bout de souffle. Sébastian m'attrape par l'épaule et me soulève d'un coup au dessus de lui. Je profite de l'élan qu'il m'a donner pour lui rendre le coup de poing de tout à l'heure. Il me lance par terre et plaque ses mains devant son visage. Plus le combat avance moins il a l'air sur de lui...
Je m'élance néanmoins dans la pièce qui semble être la bonne. Il me suit enragé que je me soit encore échappée de son emprise. J'aperçois Itona perché dans l'arbre, prêt à tirer.
Je sait qu'il m'a vu et qu'il sait que Sébastian va arriver.
Celui-ci arrive dans la pièce et lance un rictus me voyant bloquée par des meubles. Je le regarde dans les yeux et lui fait non de la tête. Il prend un air étonné mais continu d'avancer dans ma direction. Un coup de feu s'entend et dans la seconde qui vient mon adversaire et au sol, un trou dans le crâne.
Je m'approche de lui, reprend mon couteau et lui enfonce plusieurs fois dans l'estomac.
Itona arrive 2 minutes plus tard et me prend dans ses bras. Il constate mes blessures et m'enlève le couteau des mains.
Nous repartons ainsi vers la ville.
Une dame nous prend en stop et nous ramène devant le parc.
Je m'endort fatiguée de la bataille mais heureuse de ce qu'on avait accompli.