Dans l'avion

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Le jet privé du jeune homme etait luxueux: les fauteuils en cuire de première qualité sur lesquels on a brodé en fil dorés le symbole de la marque Gucci, de l'or plaqué sur presque tout les meubles et une moquette gris cendré tapissait tout l' avion. C'etait l'endroit le plus petit pouvant renfermer autant de luxe qu'elle aie jamais vu de sa vie. Elle n'arrivait pas à croire qu'elle dormait sur de l'or et que sa couette etait du Gucci. Elle buvait tranquillement une infusion faite par Fred dès leur arrivé pour calmer les nerfs après une nuit comme celle-ci.
La voix de Fred tira Joyce de ses rêveries ou plutôt admirations.

- Señor Aldini a appelé onze fois et a laissé sept messages sur le répondeur. informa Fred

- Il doit vraiment t'aimer ce Aldini pour te montrer tant d'intérêt! fit-elle pour s'incruster dans la conversation

Le jeune homme sourit en regardant vers la jeune fille comme s'il venait de se rendre compte de sa présence évidente.

- Señor! Señor Aldini.

- Ca change quoi que je dises "señor" ou pas?? fit-elle avec son ton de défit habituel

- Controlez votre langage jeune effrontée. Ne savez-vous pas que vous parlez à l'un des hommes les plus riches et important de la planète...

- Vá beně Fred vá beně dit le jeune homme à Fred avant de se tourner vers Joyce toujours le sourir au lèvres.

- Aldini est mon nom de familia et lorsqu'on place señor devant un nom familial, c'est faire preuve de respect et de consideration envers cette famille et son chef qui est en l'occurence mon pâdre.

- Comment j'aurais pu savoir moi. En y repensant j'ai aussi quelques raisons pour élever ma voix mais sûrement pas contre...Fred?!

- Eco! Je vous écoute j'y repondrai volontier

- J'aimerais en premier savoir avec qui j'ai affaire et ensuite pourquoi tout ca??!

- Pardon j'ai raté mon devoir de gentleman.  Je suis Marc-Antonio Aldini de la quinzième generationè des Aldini. Si je vous ai amenée jusqu'ici avec moi, c'est parce que j'ai besoin de vous.

- Mais encore...
Marc-Antonio leva un sourcil et lança un regard reprobateur qui laissait comprendre qu'elle avait tort de ne pas le croire.
Il filla dans sa chambre. Joyce s'attendait au pire, pensant l'avoir blessé. Il rentra dans la pièce avec un ordinateur, le lui donna et lui demanda de faire une recherche sur internet. Ce qu'elle fit et tout etait vrai.

- J'ai compris vous êtes un prince et tout et tout mais ca ne me dit toujours pas ce que vous me voulez!

- C'est pourtant simple comme dire bonjour

- Allez droit au but j'ai mieux à faire.

C'etait faux car quoiqu'elle le voulait, elle ne pouvait descendre.

- Je vous  veux.

- Quoi?? l'air ahurie

- Du moins j'ai besoin de vous. Ca va de soi.

- Et qu'est-ce qu'un homme comme vous espère d'une fille comme moi!!

- Evitons de nous étiqueter en nous jugeant sur les apparences. J' ai enquêté sur vous señorita Joyce Pies. Vous avez 25 ans, avez fini avec à Liberty dans la faculté d'agronomie avec mension B+, avez fait de la prison deux fois à cause d'un homme qui vous a trompé, votre couleur c'est le vert  -orignal ! -, vous avez un tatouage sur la taille depuis maintenant neuf ans,... 
dit-il en regardant evasivement un dossier qu'il déposa nonchalamment sur la table en bois d' ébène,
Bref j'en connais bien plus sur vous que bous ne l'imaginez.

Le Millionnaire qui avait tout sauf moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant