Autodestruction

Se perdre

La route vers son autodestruction

Tu ne sais même plus qui tu es,

Enfermée dans la cage que tu t'es créer,

C'est pourtant toi qui voulais en finir,

Tu as voulu ne plus souffrir quitte à ne plus rien ressentir,

Tu as pourtant chercher la stabilité,

Mais les péripéties que tu as rencontrer,

N'ont fais que t'engouffrer,

Dans un cercle devenant impossible à se dépêtrer,

Alors tes bras tu as commencer à tailler,

La douleur de l'autodestruction t'aidais à respirer,

Et les mois sont passer,

Les cicatrices se sont multipliées,

Papa et Maman ils disaient,

C'est l'adolescence qui l'a éloignée

Non c'est toi qui t'es renfermée,

Pour pas qu'ils se mettent à s'inquiéter,

Mais ce jour là pourtant ensoleiller,

Tu es rentrée le visage inonder,

Comme d'habitude les camarades ils s'étaient marrer,

A frapper, à crier, à harceler,

Et tu as fais ce que tu savais faire de mieux, pleurer,

Tu ne cherchais pas à être sauver, tu attendais que La Faucheuse vienne te récupérer,

Papa a demander à ce que tu sois interné,

Mais heureusement les médecins ont refusé,

La solution n'est pas de se retrouver enfermé,

Quand ton problème c'est de t'être perdu au fond de tes pensées,

Tu voulais t'envoler, te délivrer,

Du fardeau que tu portais,

Enfermé dans les douleurs de ton passé,

Tu ne savais plus comment avancer,

Dans ton monde tu ne connais que la pluie,

Tu sursautes au moindre bruit, tu ne dors plus la nuit,

Tu es seule et pourtant tu ne connais plus l'ennui,

Tu cours vers le bonheur mais tu crois qu'il te fuis,

Souvent t'approche du but mais tu n'en récolte jamais les fruits

Qui passent du vert au pourri

Ta pluie est devenue diluviale,

Tu t'es noyée en position fœtale,

Ils disaient pourtant les médocs sont capital ils t'aideront à redevenir normal,

Le rival étais déloyal, à vrai dire ta vision de toi n'étais pas idéale,

Ta rage était animale et ta peur viscérale

Ta vie était bien trop infernale

Et pour un bon final, fin brutale