Mon Bazar 💩 II

Texte #1

Tu as été si stupide de croire que tu allais t'en tirer comme ça.
De croire que tu pouvais lui faire autant de mal sans en reçevoir les conséquences.
Oui vraiment tu as été stupide.
Tu as été donc assez naïf pour croire que rien n'allait de tomber dessus ? Que tu étais plus fort que tout le monde ? Que personne ne la vengerait ?
Non vraiment, qu'elle naïveté.
Tu t'es crû au-dessus des règles de morale.
De gentillesse tu n'en a pas eu là, tout ce que tu as su faire preuve maintenant c'est de stupidité et d'une bien grande naïveté.
De vainqueur tu n'en a que le titre, car tant je serais là. Tant que moi je serais là, tu ne gagneras jamais.
Tu as même déjà tout perdu à l'instant où je l'ai appris. A l'instant même où je l'ai appris, tu avais déjà signé ton arrêt de mort.
Personne ne touche à mes amis. Personne ne la touche.
Ou si jamais quelqu'un si risquerait je tiens tout de même à le prévenir, tout comme toi tu ne le fus pas, que si jamais il se retrouvait par une hasardeuse coïncidence en face de moi, il pourrait se considérer comme mort.
Je vais t'humilier.
Te faire redescendre au niveau le plus bas de la condition mentale humaine.
Tu vas souffrir mon cher, ne te crois pas sauvé parce que ce ne sont que des mots pour toi... Ou que tu sois, qui que tu sois, si tu la touche je te tue.
Tu vas me supplier de mettre fin à tes souffrances.
Tu vas me supplier de te tuer.
Oh oui tu vas me supplier.
Et pas qu'un peu, car je t'aurais toucher là où ça fait vraiment mal.
Tu veux que je te dise quel est ton point faible ? Ce sont tes propres "amis" mon cher. Ce sont ces gens qui ne croient qu'en la loi du plus fort, de l'homme qui sait qu'elle est la sois-disante place d'une femme. Ces mêmes gens dont je vais me servir pour te détruire.
Une rumeur fait mal. Très mal. Et sache qu'en la matière j'ai eu un excellent enseignement.
Non décidément tu n'aurais pas dû te jouer d'elle sous mes yeux.
Tu aurais dû être discret tu sais.
Mais cache toi, méfie toi qu'on rende le jeu un peu plus intéressant.
Sache tout de même qu'en matière de jeu, tu n'es qu'un pion pour moi, un pion que j'éliminerais pour mener ma reine de l'autre côté de l'échéquier.
Alors si jamais tu réussissais à lire ces lignes avant que je ne me venge, considère toi comme un homme mort.