Ma maison est ta maison

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Un jardin tout aussi grand que magnifique, tellement beau et distrayant. La verdure d'un vert profond: celui de la nature, était souvent sublimé par d'autres couleurs comme le rouge, le jaune, le bleu, le violet, blanche,...

Tel était le spectacle qui s'offrait à Joyce depuis maintenant quatre jours. Elle admirait ainsi en contemplant dans le vide quelque chose qu'elle avait rarement l'occasion de contempler de la sorte d'où elle venait. Elle avait la paix en elle. Même si son pere n'etait pas encore sortit d'affaire, au moins elle avait la garanti que les meilleurs avocats des USA sont sur son affaire.

Joyce se mettait ainsi sur un fauteuil en tournant la tête vers la fenêtre. Elle passait maintenant plus de temps dans la bibliothèque, que dans n'importe quelle autre pièce de la maison. A vrai dire, elle ne pouvait que s'occuper qu'avec des livres en attendant désespérément le retour de Marc. Elle passait ses journées avec Fernandez et le restant du personnel. Elle a même eu le temps de se trouver une confidente qui s'appelle Lupe ( Loupé). C'est Lupe qui se chargait de tout faire pour elle. A ce que Joyce a crue comprendre, c'est aussi la nièce de Fernandez.

Fernandez avait curieusement affiché une attidude stupéfiant du fait que dès les premiers instants, le courant ne passait pas entte eux. Il avait toujours été hautain, froid, sévère et ne ratait aucune occasion d' humilier.
Mais lorsqu'ils étaient seuls, il se transformait en veritable goujat. Des allusions par-ci, des regards insistants et menaçants par-là. Joyce commençait à être anxieuse à chaque fois qu' elle voyait Antonio partir et lui faire des éloges de son majordome le plus fidel.
Si seulement elle pouvait sortir! C'était interdit  pour une fiancée Aldini de se montrer au public avant la présentation chez sa belle famille.

- Foutue traditions!! Je suis prisonnière.

- Que vous êtes charmante aujourd'hui Señorita!!

Joyce se retourna brusquement

- Fernandez ? ?

- Oui mademoiselle. fit-il en faisant la révérence. Tous vos désirs sont les miens.

- Arrêtez ca s'il vous plait.

- Arreter quoi??

- Votre grossièreté!

- Ce que vous appelez grossièreté, je l'appel désir. Vous a-t-il déjà regardé comme moi je vous regarde? Vous a-t-il déjà désiré comme moi je le fais?? Vous a-t-il déjà au moins touché comme je m'apporte à le faire??

Il se rua sur elle et lui prit la main. Elle eu un flash-back de sa soirée au Ramses et elle fit ce qu'elle aurait voulu faire à Johnny.
C'est alors qu'elle lui assomma un coup de genou juste en dessous de la ceinture ( dans les couilles si vous voulez!). Fernandez se plia en jurant en italien pendant que Joyce fuyait vers sa chambre. Lorsqu'elle y fut, elle le trouva debout au milieu de la pièce.

- Il y a du bien à connaître une maison comme sa poche.

- Foutez-moi la paix sale pervers.

- Je vais vous posseder comme la catin que vous êtes et après je vous tuerai

- Mais...

Il lui empoigna les mains et les lui colla sur le mur . Elle tenta de se débattre tant bien que mal mais non. Fernandez lui dechira la robe commença à lui embrasser le cou. Joyce pleurait maintenant à cause de son impuissance.

- Tout ceci aurait été moins douloureux si tu avais consenti à t'offrir à moi.

- S'il te plaît laisse moi et je promets de ne rien dire à Antonio.

- Crois-moi tu ne risque pas de lui dire car après ma jouissance, je vous jete aux chiens qu'ils jouissent aussi de vous.

Il la cloua maintenant au lit et lui immobilisa le corps en se mettant sur ses hanches. Elle avait mal. Joyce toujours l'espoir au coeur, se saisit du vase qui se trouvait sur la table de nuit et donna un coup sec sur la tête. Elle eut l'effet désiré et s'enfuie vers le couloir en criant

- A l'aide!! A l'aide!!!

Fernandez la rattrapa, mais cette fois-ci avec une arme à feu à la main. Il la pointa sur elle. Joyce ferma les yeux. Le coup partit mais elle ne se sentit pas touchée alors elle rouvrit les yeux et grâce au ciel, à en juger par la fumée qui en sortait, c'est Antonio qui venait de tirer en l'air permettant de stopper son majordome.

Il avait un regard noir emplie de rage et de déception. Il fit un bond et atterrit avec un coup de point sur la face de Fernandez. Celui-ci se débattait tant bien que mal mais l'avantage allait clairement  à Marc. Il lui donna des coups répétitifs sur le visage jusqu'à ce qu'il se fit lui-même mal. Il aurait continué, il serait mort c'est Joyce qui intervint et lui demanda de ne pas le tuer.

- Sort d'ici salaud. Va-t-en bastardo! Cane

Il sortit en toussant et en crachant du sand par presque tout les orifices. Marc embrassa Joyce - leur premier baiser spontané - pendant qu'elle finissait de pleurer. Elle avait quelques bleus sur le visage et sur les cuisses. Mais elle préférait son état actuel à la mort.

Après avoir été soignés par Lupe, ils dinèrent. L'ambiance était plutôt maussade.

- Pourquoi m'avoir empêché de tuer ce chien.

- Si vous étiez en prison, qui aurait sorti mon père de sa situation??

- Êtes-vous sûre que c'est pour votre père??

- Pourquoi d'autre  j' aurais tenu à vous garder près de moi??

- Pour mes beaux yeux !

Elle sourit et sentit ses joues s'empourprer. Elle se leva car elle avait fini son assiette.

- Je suis désolé mais je dois me reposer.

- Ok ok bon repos je passerai plus tard pour voir si tout va bien.

~ Bien-sûr ils font chambres à part. C'est la " tradition. " ~

- Pas la peine. Soignez votre bras avant que ca ne s'infecte.

Quelques heures après, Joyce alla ouvrir sa porte car on y a frappé. Elle portait une magnifique robe de nuit rose claire. Lorsqu'elle ouvrit la porte, la lumière interne créait un contraste avec celle du couloir. Celle-ci entre-autre, tracait les contours internes de sa toilette et le spectacle était des plus parfaits. Marc était encore entrain de la contempler comme dans l'avion. Joyce avait mis un coude sur une chambranle de la porte. Cette position poussait son corps à mettre en avant la poitrine dont le tout se dessinait sous le tissu.

- Je vous ai dit de ne pas vous déranger. Tout va bien.

Elle décidai alors de fermer la porte vu que son inspection venait de se terminern

- Non... non... ne ferme pas Joyce.

Pourquoi sa voix était si calme, presque suppliante. Cela perturba Joyce.

- Vous avez un problème ??

- Oui.

Avant qu'elle ne posât un autre mot, Marc l'embrassa tendrement pendant un moment. Elle n'imposa aucune résistance, alors il continua. Le baiser devint un peu plus fougueux et toride jusqu'aupoint où ils commencèrent à reculer en direction du lit de Joyce.

Couchée sur le dos, elle recevait sans broncher les baiser de Marc-Antonio. Leur respiration synchronisée, ils communiquaient par un sensuel langage des yeux et du corps. Jusque là, chacun répondait à la demande de l'autre. Marc sentait Joyce plus calme et plus exigeante alors, il commença à la déshabiller.

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Désolé de mettre fin au chapitre en plein milieu d'une action mais... bon!! La suite au prochain chapitre.

Merci à Julia Tcheb

Le Millionnaire qui avait tout sauf moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant