Poème 2

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Lorsque les fleurs de cerisiers, effleurent doucement tes épaules et se déposent dans tes cheveux. Mon regard s'illumine comme si l'on me redonnait la vie que j'ai perdu à force de chercher la vengeance.

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Lorsque que je vis ton effroyable silhouette, tout mon corps se raidit, mon sang ne fit qu'un tour. Mon humeur, qui ce matin était joviale, retomba et laissa place à un océan de terreur...

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