1. La Curiosité ou la Nécessité

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(Je m'excuse pour les trop grosses fautes si il y en a)
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J'étais descendue dans mon garage pour allumer le chauffage de ma maison. Vous savez les vielles maisons de campagne, sont facilement froides et en hiver la température est plus que glaciale. À telle point que pour moi, le simple fait de sortir mes mains de ma couverture m'est pour moi encore plus désagréable que le réveille en lui même. Qui est à partir de six heure du matin, je tiens à le préciser.

J'avais donc remplacée mes chaussons en coton par des bottes en simili cuir noir. D'habitude je les aurai gardée, mais aujourd'hui il pleuvait. Et je tiens énormément à mes chaussons, il ont la forme d'un très célèbre personnage. Si on peux appelé ça un personnage. Et puis ils tiennes particulièrement chaud, mes petits petons. Autant vous dires que je suis comblée, par ces chausson en forme d'émoji caca. Comique n'est pas ! La personne que je suis l'est d'autant plus.

Après avoir allumer mon chauffage j'ai monté mes escaliers qui me mènerai tout droit à ma porte d'entrée. Puis l'envie de contempler les environs me pris. Je me suis alors retourné et là ce fut mon cœur qui fut retourné.

Je ne savais pas ce que c'était ni même sa taille sachant que j'arrivai à le voir. Et il semblait être sur la colline. Qui était à plus de dix kilomètre d'ici. J'ai cru alors que c'était une hallucination ou même les visons que je voyais. De temps en autre. J'ai aussi voulue me convaincre que ma myopie me jouait des tours. Pourtant cette chose au corps immensément fin et au visage semblable à un bec. Bougeait bel et bien et semblait observer lui aussi les alentours, sans pour autant chercher quelqu'un ou une chose en particulier. Ses bras encore plus gigantesque et hallucinant se déplace lentement. Elle était faite probablement d'une main et de trois grande épaisse tiges.

Dans un cas ou je pense que j'aurai eu toute ma tête, j'aurai prévenue mes parents, j'aurai pris mon portable, et j'aurai mitraillé le bouton de l'appareil photo. Mais poussé par je ne sais quoi. Peut-être l'envie de prouver que je ne suis pas faible et plutôt courageuse. Peut-être pour me prouver que je ne suis pas une putain de casanière, mais plutôt une aventurière. Peut-être ou tout simplement pour me prouver que je ne suis pas moi même. Mais une autre personne que je jurerai meilleure que moi....peut être. Ou tout simplement pour me libérer de cette simple vie monotone, de jeune adolescente vivant dans une campagne perdu de France. Entre crise et découverte de sois même. Tellement de raisons prouveraient mon envie d'aller voir cette chose, si jamais il m'arrivait une bricole.

Tellement de raisons que j'ai préféré garder pour moi, pour ne pas inquiéter les autres.

Tellement...

Je suis descendu encore une fois de mes escaliers, sans pour autant faire attention. Puis j'ai traversée la cour qui était en plein milieu de mon jardin. J'ai sautée par dessus le grillage, ce qui m'éclairai bien sur mon état psychologique. À telle point qu'il influait sur mon corps. Au grand jamais je n'aurai sautée en temps normal. J'aurai bien trop eu peur des représailles. J'ai détalée alors la grande plaine en pente qui nous servait de potager et que j'empruntais tous les matins pour me rendre à l'arrêt de bus. Et cette fois ci je ne me suis pas arrêtée pour constater la tonne de boue, qui c'était accumulé sous ma chaussure.

Non ! L'excitation, la frénésie et la curiosité formait une entité qui m'empêchait de penser à toutes ces pensés futiles, pour le moment présentes. J'ai alors traversé la grande route qui me séparait du bois menant à la colline.

J'ai courus de toute mes forces, j'ai sauté au dessus de plusieurs souches. J'ai endurée les griffures de branchages sur mon chemin. J'ai enduré ce picotement au cœur, qu'on ressent lors d'un grand effort physique. De toute manière elles me semblaient inexistante. Pour une fois je ne réfléchissait que sur une chose, voir cette créature. Et je priais pour que celle-ci change ma vie à jamais, pour que celle-ci me délivre. Pour que je découvre qui il est, pour que pour....peut être savoir et prévenir les autres par nécessité....

Mais est ce si nécessaire?

Ou tout simplement assouvir ma curiosité naissante...

Pas que!

Pour aussi combler les trous de tous les défauts, dont je me suis couverte au fur et à mesure de ma petite vie.

J'ai vus, j'ai vus cette clairière au loin. Je me suis donc approché cette fois ci avec plus de retenue. Ma vrai nature reprenait le dessus.

Puis derrière mon tronc d'arbre mouillé, le cœur battant la chamade. J'ai vus tous ses enfant et adolescents marcher en direction de cette chose entouré de plusieurs elle, en version miniature. Leurs regards semblaient vide, aucune émotions de peur d'excitations. Non le vide.

Ayant vus énormément de films, j'ai crus un moment que l'un d'eux allait s'arrêter devant moi pour me dénoncer à cette créature. Quand un de ces enfants âgé de huit ans est passé à coté de moi. Non, il a continué son chemin malgré la pluie qui c'était faite plus violente. Un à un les enfants trop prés de ces petites version, s'écroulèrent sur place. Il eus une vague d'adolescent ainsi que d'enfants, mais elle s'atténua au fur et à mesure.

Puis une chose me dégouta, m'horrifia à telle point que je recula de trois arbre et grimpa sur celui-ci. Les petites versions commencèrent à sortir de leur léthargie. Puis elles se mirent à dévorer, un à un les enfant de leur grand mâchoire agrémentait de dents acérés. En commencent pas le ventre. Tandis que je m'éssuie les lunettes pour voir mieux, paradoxalement. C'est à ce moment là que j'ai aperçus mon amie, au début je me suis violemment mordue les lèvres pour ne pas pleurer. J'ai froncée les sourcils, comme à mon habitude. Pour forcer mes yeux à contenir leur crie liquide. Mais plus rien ne pus m'empêcher de pleurer en silence, Quand ce fus à son tour de se faire dévorer.

Je ne pouvais rien faire, sinon j'allai mourir. Tout le monde allaient l'oublier, et personne n'auraient su la véritable cause de sa disparitions. Et celle de sa mort. Si j'avais osé agir, cela se serai aussi appliqué pour moi. Je suis descendue de manière lasse, comme je pouvais de cette arbre. Une fois que ces choses n'étaient plus proches de moi, et cette fois si j'ai marché vite puis lentement. Un éclaire me fit me retourner et constater que tous se beau monde avait disparue ainsi que les corps des inconnus que j'avais vus pour une partie mourir.
La nuit fus tombé quand je suis rentré trempé et presque fiévreuse chez moi. Fiévreuse et gravement malade du cœur. Après les cris d'inquiétude transformé en rage de ma mère et de mon père et mes faux prétexte. J'ai pris une douche et je me suis mise en pyjama.

Et devant mon miroir en train de me brosser mes dents, je me suis contemplée, et je n'ai pas pus m'empêcher de pleurer et de pleurer sans pour autant crier. Pourquoi ? Je ne pleurai pas que pour la mort de mon amie. Mais pour aussi de ne pas avoir sus tenir en place mon ignorance sur tout.

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Hey, j'espère que cela vous à plus n'hésitez pas à me faire communiquer vos impressions, merci de m'avoir lus.

ɪɴ ᴍʏ ᴍɪɴᴅOù les histoires vivent. Découvrez maintenant