1.Récit d'un survivant

77 1 0
                                    

Le repas du soir fut terminer à l'heure habituelle, un moment ni tôt ni tard. Comme chaque soir je décide d'aller me promener dans Philadelphie. Je marchais petit a petit dans la rue; il faisait beau, il faisait chaud, une soirée d'été habituelle. J'avançais dans une rue qui menait à un pavillon soit-disant hanté par un démon... Je n'y croyais pas réellement, j'étais septique mais je me disais qu'il pourrait peut-être s'y cacher une force spirituelle dans la battisse. Je me dirigeais vers la maison lorsque un arbre tomba après mon passage, je sursauta d'un coup, heureusement qu'il ne m'est pas tombé dessus! Je continua alors ma route vers la maison , il se mit brutalement à pleuvoir, je me mis donc à courir vers la porte d'entrée. Après être passée devant une bicyclette un coup de tonnerre retentit. En arrivant sur le palier je constata que la porte était fermée à clef, je me mis donc à chercher la clef. Une fois la clef trouvée, la porte ouverte je rentra à l'intérieur pour me sécher. La première chose que je voyais était une pièce mal rangée, les meuble était renversés, la tapisserie déchirée, le sol griffé et plein de taches rouge sang... Je vous avoue que c'est à ce moment là que mon aise prit son envole! Je marchais dans la pièce quand un tableau tomba du mur, je fut pétrifiée. Mon sang se glaça d'un coup, mon corps ne faisait plus que trembler. Un bruit qui venait de l'étage attira mon attention, je décida donc de monter la quinzaine de marche qui menait à la deuxième pièce principale. En arrivant je ne vis rien à part une souris blanche devenue grise à cause de la poussière, alors je redescendis. Je descendais les trois marches qui restais lorsque je vis une ombre s'enfuir dans le pièce d'en face, je lui courus après, sans succès. En regagnant la pièce principale, je vis une femme debout devant le vieux téléviseur; elle avait le teint plus pâle qu'un linge, elle étais vêtue d'une robe blanche salie par du sang et de la terre, ses cheveux étaient d'un noir si profond que cela faisait contraste avec sa peau, elle avait les bras en sang et les deux jambes lacérées... Elle ne disait pas un mots, jusqu'au moment où elle s'avança vers moi et agrippa mon haut avec ses ongles pointus. Elle leva la tête soudainement, dans ses yeux je vis un mélange de colère et de terreur avec un fond de tristesse. Ses mains étaient congelées comme si elle venait de passer je ne sais combien d'année dans une tombe mais elle était pourtant debout devant moi. A ce moment là, tous les membre de mon corps se figèrent en un seul temps, une sorte de griffe coupa violemment mes côtes du côté droit. Je mis à courir dans les escaliers et je m'enferma dans la salle de bain je m'arrêta devant le grand miroir qui étais accrocher au mur lorsque soudainement je me sentis pris d'une douleur au niveau de la coupure, je soulevais mon t-shirt lorsque je vis que la plaie commençait à s'infecter. Je cherchais un produit désinfectant quand je vis une bouteille d'alcool. Je pris un mouchoir dans mon sac et versa une bonne partie de la bouteille dessus, je l'appuyais sur ma plaie ce qui me brûla pendant bien 5 minutes. En relevant la tête je regardais si mon visage avais des traces de l'incident lorsque je vis une ombre derrière moi, les murs se mirent-à trembler, les shampoing et les gel de douche se mirent-à tomber au rythme des tremblement de le pièce quand, soudain, tout s'arrêta. le miroir fissuré laissa apparaître la jeune femme de tout-à-l'heure, elle pleurait en disant qu'elle était désolé de ne pas l'avoir arrêté à temps, qu'elle avait peur et que "la chose" allait me tuer si je ne partais pas lorsqu'une main viens tirer la jeune fille hors de mon champs de vision. Alors qu'un rire grave et masculin retentit dans la pièce, je tentais d'ouvrir la porte qui était bloquée. L'homme apparut derrière moi et me sourit avec son regard qui m'effrayais. Il me fixais depuis le miroir lorsque la glace explosa en petit morceaux me coupant à diverses endroits du visage. La porte s'ouvrit enfin et je sortis en courant de la salle de bain, lorsque j'arriva dans le salon tout était calme... Puis, en un temps, tout le mobilier ( téléviseur compris ) s'envola pour atterrir face a moi comme un barrage pour que je ne puisse pas sortir du bâtiment. La police m'a retrouver au bout de 10 jours... Griffé, affamé, assoiffé, blessé. Le seul souvenir que j'ai de ces 10 jours est celui-ci.


[ histoire vrai et remanié] 

Histoire d'une nuitWhere stories live. Discover now