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PDV de Niall Horan. Londres. Angleterre. (Le lendemain) (Vendredi 22 Septembre 2023) (10h30)
La douce voix de ma brune me fait lentement ouvrir les yeux. Je ne sais pas l'heure qu'il est, mais a en croire les rayons de soleil qui traversent la pièce, le jour est bien avancer. Je me frotte les yeux avant de les ouvrir complètement, découvrant qu'il n'y a plus personne à mes côtés et que le bruit provient du babyphone.
Je viens passer ce qui est probablement l'une des pires nuits de ma vie. J'ai été debout jusqu'à presque deux heures du matin parce que je n'arrivais plus à trouver le sommeil. J'ai garder un œil sur le babyphone jusqu'à ce que le sommeil me gagne, c'était plus fort que moi et à chaque fois qu'il se mettait à tousser, je réagissait comme-ci il allait s'étouffer. C'était dans ma tête mais plusieurs fois je me suis lever pour aller voir si il respirait correctement. C'est certainement excessif et j'en suis conscient mais hier, il avait tellement de mal à respirer que sur le moment, j'ai vraiment cru qu'on aller le perdre. J'ai cru que j'allais perdre mon petit garçon...
Après quelques instants, j'attrape mon short et un tee-shirt que j'enfile avant de rabattre les couverture pour faire un lit plus correct et sort de la chambre.
... - Tu montres à maman, mon ange ?
Je passe une tête dans l'encadrement de la porte de sa chambre pour y découvrir ma brune assise sur le tapis avec notre fils. Ils semblent tous les deux sortir de la douche puisque ma brune est vêtu d'un jean et d'un tee-shirt tandis que mon fils est vêtu d'une pantalon camel et d'une marinière. Ce dernier est assit entre les jambes de sa mère et joue avec ses gros cubes envoyés par la mère d'Elia il y a quelques semaines. À sept mois, c'est vrai que jouer est un bien grand mot pour lui puisqu'il passe plus de temps à contempler les cubes ou à les jeter qu'à les empiler mais ce qu'il fait m'arrache un sourire. Il a l'air d'avoir repris quelques couleurs et semble un peu plus en forme qu'il ne l'était hier bien qu'il soit en train de se frotter les yeux, signe qu'il commence à fatiguer et qu'il est temps de le mettre au lit.
Élia - Tu vas aller dormir maintenant, elle glisse sa main pour caresser ses petits cheveux. Tu es trop fatigué...
Elle se lève en prenant Sacha avec elle qu'elle cale contre sa poitrine. Elle enjambe les quelques cubes qu'il y a d'éparpiller sur le tapis et relève la tête vers moi lorsqu'elle arrive près de moi. Elle sursaute à moitié avant qu'un sourire ne vienne se fendre sur ses lèvres.
Elia - Hey ! Moi - Bonjour, j'articule en souriant.
Je me penche et dépose un tendre baiser sur ses lèvres avant d'embrasser la joue rougit de mon fils.
Moi - Comment il va ce matin, je questionne ma brune en articulant. Elia - Sa fièvre a baissé et les médicaments ont l'air de faire effets... Et toi, ça va ? Moi - Je vais bien... Elia - Tu n'as pas à t'inquiéter, elle me caresse la joue. Tu as fais tout ce qui fallait...
