Ding, j'appuie le bouton qui indique que l'arrêt prochain est celle où je débarque l'autobus de ville. Il y a que moi et le conducteur dans l'autobus, mais ce n'est pas abnormal, très peu de gens vont quelque part à minuit les lundis. L'autobus arrêt et je dis merci au conducteur en partant. Une fois dehor l'air froid envoie des frissonnements dans mon corps. Après un court march je me trouve devant ma maison petit et dégradée. La peinture est vieille et ébréchée, les fenêtres sales sont tout absentes de lumière, appart qu'un. La chambre de ma soeur émet une lumière faible. Ça me concerne un peu car comme elle est que 8 ans, elle se dort tôt. Je rentre dans la maison, le bâtiment est en silence total. Je l'escalier je réalise qu'il n'est pas aussi silencieux que je le pensais. Des cris faibles viennent de la chambre allumée. J'accélère dans un moment de panique, j'espère que rien à arriver à Darla. En tournant le coin pour rentrer sa salle mon coeur s'arrête. J'essaie d'analyser la scène d'horreur qui me face. Mon regard se concentre premièrement sur le corps s'allonger à terre, ma mère ivrogne qui n'a jamais été heureuse depuis le jour de ma naissance. Elle est complètement immobile, à part la montée et la chute de sa poitrine à chaque respiration lourde. Savoir qu'elle est vivante est toujours réconfortante, même si elle est une mère terrible, mais elle n'est pas ma préoccupation en ce moment. Je lève les yeux vers le lit de Darla, elle pleure penché sur le corps mou de notre père. Son petit corps est recroquevillé, sa tête reposant contre la poitrine de nos pères. L'homme est mince et frêle, ses cheveux courts et noirs, contrastant avec les cheveux blonds cendrés que Darla et moi avons hérité de notre mère, sont en lambeaux et en désordre. Je commence à marcher vers les deux quand je réalise que le mouvement de sa poitrine provient de Darla et non sa respiration. Je retire doucement mais rapidement la petite fille effrayée de son père pour vérifier son pouls. Je murmure à Darla:
«Chérie chérie, ça va.» Je ne sens aucun battement de coeur et soudain je ne peux plus respirer. Mon corps est froid, mes mains commencent à trembler, ça prend tout mon pouvoir pour rester fort devant ma soeur, je la demande: « Ça va, qu'est-ce qui est arrivé Darla?» Doucement, je brosse ses boucles hors de son visage. Elle a clairement des difficultés à former ses mots, mais elle réussit à expliquer:
« J'ai eu un cauchemar», elle goule «et papa est venue me faire sentir mieux, mais maman était à la maison et elle s'est fâchée». Elle hésita «Elle criait et et papa essayaient de la faire sortir. E-Elle l'a frappé très fort et il est t-tombé et maman à trébucher sur mon jouet et elle est tombée aussi.» Je regardais en choc lorsqu'elle parlait, son visage trempé de larmes. Je fais de mon mieux pour la calmer:
«D'accord ma chérie, ça va, t'est correct ma belle, écoutez je dois fair un appel, d'accord? Je vais appeler la police pour qu'ils nous aident.» Je la ramasse du lit. «Maintenant, sortons-nous d'ici.»
Je la porte à travers le couloir jusqu'à ma chambre et je la pose sur le lit avant de sortir mon téléphone et appeler 9.1.1.
***
Je me réveille avec une secousse et je frappant la tête sur la vitre du camion. Des murmures de voix viennent de la radio. Je frotte la zone de mon crâne qui palpite maintenant. Je regarde par la fenêtre, en ne sachant pas exactement où nous sommes. Après avoir accepté que je ne peux pas trop voir dehors dans le noir, je rejette la pensée et déplace mais mener et mon regard à l'intérieur de l'ancien pick-up battu avec de la peinture bleu pâle écailler. À côté de moi, ma petite soeur dort, ses cheveux sont emmêlés et miteux, ce qui rend difficile de voir ses petites taches de rousseur et ses yeux verts profonds, bien qu'elle dorme, donc on ne voit pas ses yeux de toute façon. Je déplace mon regard une fois de plus, cette fois vers l'avant du véhicule, rencontrant dans le rétroviseur mon propre reflet. Mes cheveux blonds cendrés sont un désordre, tombant devant mes yeux, dont la couleur correspond à ceux de ma soeur. Je frotte mon menton, sentant une légère éteule apparaître à cause de mon manque de rasage ces derniers jours. Dans le coin du miroir, je remarque des yeux bleus fatigués qui me regardent à travers la réflexion avec ce qui semble être inquiétude. Une émotion qui ne me surprend pas venant de la seule femme que je n'ai jamais vue comme une mère, la personne anxieuse qu'elle est. Comme elle était toujours la meilleure amie de mon père, elle a toujours été là pour Darla et moi. Ses longs cheveux noirs son dans un chignon désordonné, bien que plusieurs brins de cheveux tombent et encadrant son visage maigre à la peau d'Olive. Elle ouvre la bouche pour parler:
YOU ARE READING
S'enfuire
General Fictionfrench version of a story i wrote, the english version is not finished yet but until then here it is in french