partie de la fin de l'histoire

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Ma mère ,si tu me voyais sur la route , Aïwa _ô !aïwa !
La route de la source qui mouillera le pagne noire
Aïwa, ô!aïwa
Le pagne noire que l'eau du fromager refuse de mouiller
Aïwa _ô !aïwa !
Et toujours souriante ,elle poursuivit son chemin .
Elle marcha pendant des lunes et des lunes ,tant de lunes qu'on ne sen souvient plus . elle allait le jour et la nuit ,sans jamais se reposer , se nourrissant de fruits ceuillis au bord du chemin , buvant la rosée déposée sur les feuilles
Elle atteignit un village de chimpanzés ,aux quels elle conta son aventure .les chimpanzés ,après s'être tous et longtemps frappé la poitrine  des deux mains en signe d'indignation , l'autorisèrent à laver le pagne noir dans la source aqui passait dans le village . mais l'eau de la source,elle aussi ,refusa de mouiller le pagne noir .
Et l'orpheline reprit sa route . elle était maintenant dans un lieu vraiment étrange. La voie devant elle s'ouvrait pour refermer derrière elle. Les arbres , les oiseaux , les inséctes, la terre, les feuilles mortes , les feuilles séchés , les lianes , les fruits , tout parlait .et dans ce lieu ,nulle trace de créature humaine. Elle était bousculée , hélée ,la petit aïwa !qui marchait ,marchait et voyait qu'elle n'avait pas bougé depuis quelle marchait. Et puis , tout dun coup , comme poussée par une force prodigieuse , elle franchissait des étapes et des étapes qui la faisaient s'enfoncer davantage Dans la forêt où régnait un silence angoissant .
Devant elle, une clairiére et au pied dun bananier ,un eau qui sourd . elle s'agenouille ,sourit  l'eau frissonne. Et elle était si claire ,cette eau ,que là _dedans se liraient le ciel ,les nuages,les arbres .
Aïwa prit de cette eau ,la jeta sur la pagne noir .le pagne noir se mouilla .agenouillée sur le bord de la source ,elle mit deux lune à laver le pagne noir qui restait toujours noir .elle regardait ses mains pleines d'ampoules et se remettait à l'ouvrage
Ma mère ,viens me voir!
Aïwa _ô !aïwa !
Me voir au bord de la source ,
Aïwa _ô !aïwa
Le pagne noir sera blanc comme le kaolin
Aïwa _ô !aïwa !
Viens voir ma mains ,viens voir ta fille !
Aïwa _ô !aïwa!
A peine avait _elle fini de chanter que voilà sa mère qui lui tend un pagne blanc ,plus blanc que le kaolin . elle lui prend le linge noir et sans rien dire ,fond dans lair
Lorsque la marâtre vit le pagne blanc ,elle ouvrit des yeux stupéfait . elle trembla ,non de colére cette fois ,mais de peur:car elle venait de connaître lun des pagne blancs qui avaient servi à enterrer la première femme de son mari
Mais aïwa ,elle souriait .elle souriait toujours
Elle sourit encore du souvenir qu'on retrouve sur les lévres des jeunes filles

Fin de l'histoire sa vous a plus commenter et voter je vous aime et je vous adore et pardonner moi pour les fautes je kiff trop la pagnes noire c'est pour cela que je les tirés Dans la  livre en mois de mars je vais crée mon propre histoire si sa vous intéressent
Bon je vous salut à la prochaine
Inchallah et surtout n'oubliaient pas de voter et de commenter

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 25, 2018 ⏰

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